Aristippe ou de la cour. Par monsieur de Balzac

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jburs, dans laiaute region de ranae.

I cs Rassincurs , qui agissent uti cinent, ni bon a troubter les Negociations Sciae Valent rien a conclurre les Asfaires Cesontra excellens Brouillon , ou remuervii Estat , de mauuais Ministres , potirle gouuerner It rcussissent dans te defor-dre comm les Demons deci Air, isse messent armi e Tonnerreri Mais iisn on plus de force, si tost que escat me est venum c cite poliat qui nous blouit , nestant quin lumiere d Eclairs, i est tres Vangercu de prendre ne pa- reille adresses, dans a variete des accidens, d dans te diuers destour de la te ciuile.

Mais quand ce seroit ne veritabieraccontinuelle lum iere , de laquelle iis se-roient guide ; quand ce scroi te oleilluv-mesim , qui es conduiroit cesta est pas dire inviis trotauassent ousiour laranquit cherclient, quiis arriuassent, ouil vont. Et de cela monseigneur, 'aurois encore quelque chose a dire, si te bruic

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d vn carosse dc de plusleuis uoi queviens dolii , ne mauertissol que voicyrheure de raudience, que Monsileurae Ducd Espernonis enuore demander a vostro Allesse.

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QVATRI ES ME.

O, s le Laiadgraue ne malaqua a de se faire porter, te tendemain a rheure ordinaidans a Chambre de la

Conuersation. Apres auoi tesimoigne a Aristippe , a satisfaction quia uolt euedidernier Discours il le pria de ne passe se poliat a viae nouuelle mallere , ansacheue celleriti it auolt laissee imparfaitte.

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plus habiles, destes plus intelligens Qv lj

qui tu ressemble Tant que resprit ense, tant O il rais anne personne ne te trouble, en a possession deson obiel Il est maistredes dessetns,rides entrepris es It cour aprcs de belles dees , qui se laissent prendre,

comme

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conam ii eut ne rencontrant, ni de

contradiction, ni de resistance, it otii dela pure te dii bicia intellectuet, qui ne sestpoin cncore altere, par adhion. Mais c ncilias tota que cla I fautcnsin quit ter c licta enchanter, de sortirde es space Vagues, Our entre dans leveritable Monde Il aut metire a main aroe iure, dcagir, pres auoli medite. Et cestator que les choles prennciat ne notauellefice, bd quelles ne bia plus si belles, ni silaisees C est alors, queram cst dans e tra-uail dans es tranchees de rensante-ment m est en e temps la que es pe-nibles esset succedent aux aisonia emens voluptueta que e qui parotis it amid fauorable , dans a pense , se reuolate deuient contraire, dans operation.

Ce n est plus e Marchand ait Ort, qui trasque surcia Carte se propos des gain sans anger ne nauigation ansorage jest via Faseu de voeux, aumiliet de la tempeste; qui se repent 'esse ite parti u logis ue qui cite a marchan-

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disse, en later , qui cherche ne planche

y figure des choses, qui sint absentes , des obteis, qui sola eloignea Daillaurs, la intur a beau representer a chose, cen estia elle ourtant est y a totasiour dela differcnceri Et it ne fautrius commencement de passion , quin folbie bouillon de cholere , quin legere teliatur dehonte, quin petite rimace, pota gastertoute la essemblance , de pou faire ne ire chose, voire ne cliose contraire, de celle quin estimes la estas, o pota lemoincla semblabie. Ie laisse, Monseigneur, a vostre pensiae, a seconde partie de cette comparaison, conclus que les affairesin des ours desilais de postures, qui ne se voyent, me

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t remar luctat que dans es Asfaires , qui brottillent totis es traiis, S toute les notions, qu on 'en stoi formees, hors de a. Ce soni certain motiuemens, certainstemps , qui nous cndent mes connotis ablenostre propre connotis ance est ude ne scauroit les preveni discolar ne es petit separe de faction Qt y liennent cs attachen si fori , qu ilis V a potiri cn oven de les en de prendre aut e part , iis pasciat si iste , d si imperceptibi ement , qui est impostibi de les

copier.

Les Romainson vovit te dires, quandilsint dii, quo deuolt deliberer auecio caesion ,, en D prefence de Asfaires; quo se deuot consilier aue i Ennem,

s se res ab seria mine , seu fa

is prense. Cela Penteiad principalement acla Guer re , de des actions militatres Mais it ra

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decla guerre , qui te rotra' me me dansles actions aistbles, des armees est aut

tre Et a Dout , Obiection , lasaison

Les dissiculte qui 'estoiciat achees a nostre sprit , se presentent subitemen anos eux Le temps ait naistre se empe Dchemens ue les Homines es leurs. Viae seule circonstanc change totite a nature de Occasion Apres auoi conclu, i arseriuera ec o cela is cec ni cela iamr-riue mal via troisiesime euenement , qui met a reuoyanc ei defordre les Conie stures en confusion.

Le deii aut est dans res osse, non pastans Entrepreneur 'Art sera bien en- tendit, ese dessein bien conduit Maistes instrumens seront mauuati mal le mal bre te bronae seront asteg. D Llleurs, milla accidens, te ne qay queis, peuuent sorti de, te iacita oti Ilicut veni des matheur da

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A boniae , d la rauu ais Politique

contreste Ciel Mais fans que te Cie s en messe , a Politique , de laquelle notas par lon , ne laisse a destre matheuretisse. Elle volt te chelites, les umes de ses Ouurages , en es bastissant ou iustost cile naen volt que les plans cies proteis, parce u elle csseigne iustost quelle nebastit Elle se figure de Alinire dc des En-trepris es , comme on cst figure uires- is de Republique , 5 de Princta inuin estolent quin sprit ne ouuoiciat estre que par miracle. Que sont-ce n

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esset, ces Asfaires, ces Entreprises, que de hardis , da de magnifique songe , qui flattent a Parti imaginatiue, musciat inutilement a Raison 3 Que soni ce quedes contes admirabies , dc de Histoires impossiblas Les peculatis composent a si des Romans, dans es Conseiis , de soni des Proposition ale pres emblabies a celles decet Artis an , si famev dans' Histoire d'Alexandre. Comine votis SaueZ, i trouuales Colosses petits , de les Pyramides basse ses Ilioulut aliter viae Statue , qui dans viae de se main porteroit ne ille, cverseroit ne Riuiere de lautre. Ceux et re vent austi magnifiquernent,d leur pensees ne sontias moin vastes,

ni molia desse ees Ilis a polii de proportion de a grandeur de celauit con- Soluent , a a mediocrite de ce qui est falsable Les matteres ne soni polia capa' bles de leur formes , d leur pieces nes petiuent olier, parce velles ne se peu-uent accommode ati Theatre Ii v aut