Chants de la Sainte-Chapelle et choix des principales séquences du Moyen Age

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THE MUSIC LIBRA

HARVAR COLLEGELIBRARY

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DE LA

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ecrite en notes notres fur quatre lignes ouges, ona remurque denombreuses rubriques, 'est-h-dire des texies explicatis de C6r6-

montes du culte Les Messes, lesinsipons de la Procession, IntroIt, te Graduel le Traii P0ssertoire et la Communion, notas dans cemanuscrit, existent encor en grande partie, quoique sinsiralementaltsires, dans e Graduel romain. 'est a parti gregorienne de aliturgi d more age. Compossies dans es premier sthcles de I gglise, appliquεes parmaint Gregoire auxisfices divins, ces mesodiesonti caracthre grandiose lida sol austhre et doux Leusicitatis dela pr6face de la Messe, elui du Pater, te chant de Dultet jam angeliea turba coelorum d samedi fiant, attestent te degrsi de lyrismequ'atieignat parsoicia facture gregorienne Mais e n'a pas k-'o cuper ici de la musique de ceste poque Les chant de la Sainte- Chapelle sontasinsiralement contemporalas de fiant Louis et de aint Thomas 'Aquin Les II et XII siheles euvent tre considgrescomme la seconde poque de rari musica chrsilien Sortant de lamonotoni des sicitatis qui la pracsidisent, inspiratio musicale et usiritablement artistique 'eleva in harmonte les plus sublimes et les plus originales Les chant si connus de Inuiolata, de Avaverum, d Lauda Sion, d Vietimo PMehali, de romce des oris, appartiennent a ce 3cle glorieux Des poetes, qui Maieni ausia de

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saint docteurs, ain Bonaventure, ain Bernard, aint Thomasd'Aquin, Adam de Satnt-Victor, omposisentis grandisombre de pieces appelεes siquences, qui se chantalent ordinatrement vanirgvangite, et qui ont matheure ement dispar de la liturgie en-veloppsies dans la grande reforme qui ut ait a xVI siecte. Cesa enis polliques, Simples, et par-dessus out chrsitiens, ne uou- vhrentias grace devant la renaissance des lettres paIennes Il est, iqu'iis sitaient sicrit dans une autre langue que celle de Virgile et d'Ηorace Le latini moyen age, tro meconnu, testine langue popu- laire, sigligeant laut artifice, exprimant neilement et sansrasitour lapenssie, transparente, et se prsioccupant molnsta'amuser resprii qued'siclaire rame et de touchercle coeur.

Ces poesies o siquences eqvrentisne musique parsaltement consorme aux sentiment qu'elles exprimatent. Les compositeur de cestemps de sol et derasini travaillatent plus ou la gloire de Die et de so gglis que pou leur siputation Aussi est-il ori difficile de connestre leur noms Cependant onseu citer ceuid roi Robert, de Fulberi, voque de Chartres, de Nother, d'Hermann te contract abbδde Reichnau, de fiant Pierre Damien, de aint εο IX, uparmant ovoque de Toul de Raynald, ovoque de Langres, de Maurice de Sussy, ovoque de Paris, d grandiape Innocent III, de saint Thomas d'Aquin, d cardines Frangipani, de Thomas de Celano, de Iacopone da radi de

Herre de Corbeii, archevoque deciens. Les siremontes religieuses jovialent a charmo de ces oeuvres positique et musicales La liturgi alors sitati a laciois ne prihre et umenseignement oueste Peuple. 0 reprosentat dans les glis Iesscenesta Nouueau Testament, non pas comm lerarent deux cenis an plus tard surries places publiques, les Consrhres de talassion et les cleros de la Basoche de dira mhme'u' parti d xiv sthcle, iln' a plus e que des parodie plus ou molns innocentes de ce quei'ai appelsi dos rann6 381 , dans lex Annales archsiologiques Iesse ames liturgique du haut more age, ou Ies distingue de cessource moin pures ou plusleur erudit ont cru troine les origines disthaire moderne Ces sortes de reprosenlations Ont offert, jusqu'au I siecte u msilange si rossier du sacr et du prosane qu'elles oni bie naturellementisiritsi te sεvgriisis du concile de Trente Leaout te plus desicat, a contraire, la pisit la plus scrupuleuSe, ne Ou raten trouver dans les rubriques nigressantes du manuscrit que 'aicit plus haut u seu dsitat qui ne sol empreint de la plus stricte