Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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tortures ausi cruelles que si elles uiuentiat jethes aumilie de flammes.

Le mal, db son origine, se dis Emina, sevit dans o utet 'Allemagnes ici' rεpandit avec plus de rapidit & de Violence que partout ait leurs cies habitudes de dεbauche d 'iurognerie u euple favorisξrent a plus haut degrEla propagation 1).

tio des simoires de Leber, a dis sertation de Koch, membre Usocid de

Mater Berier, protre de Russach, dans es omoires, a trae Un UgU-bre tableau de Ce qui se passait sotis sesyeuxuria description confirme celle de Hultem v mmyait les malades, leg

temporibus morbus ille turgentium pustularum quem nUllo medicis ustu lato nomine exprimere possum, o Gallicis incipiens, per Italos venitu ad Germanos. Est mirabilis, Conta- giosa, . nimium sormidanda infir u mitas, quam etihm detestantur le- Prosii, Misi infectos secum habitare non Permittunt, metuentes graviori quhm it lepra, infici morbo. J'a reproduit Ces notes POur On-

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Les avant qui consultatent les astres valent prεditque te bai ne durera itaque sepi ann Fesci iis soni tomb Es

de Hulton elle vient 'appui lour se resadre compte de 'extrsime ce qui a sit dit par Astrue confiance accordhera de areilles bil- 1 Un avant mode in de Vhrone, leve es, it aut se appeter que es Pierre Maynard par a publication sciences occultes, clites abali si ques, de son iure surcia maladi Dan ςais math aliques, 'astrologi , exer- De Morbo Gallico, 316), avait Con- aient hi gran empire su tous leStribu64 propageries idcies. Le mal espriis Les hornmescies plus minents venati, sui vani tui, 'une constellatio se montra ierit auri faibles, aussi su- particuli lire qui avait ait, depui peta, perstitieu que te euple. Louis XI, une ovolutio dans 'orbe; orsque Charies IlI, Lotiis Sirce, Duc decette constellation 'olo ignerat du Milan, te pape aut III, Corvin rotglobe, se mal evait disparalire ave de Hongrie, favori talent e pratiques

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nai Tance venanti flessacer dans et intervalle .li faut e re connaitre la mala die ne conserva que sept

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L'aptitude , es disposition constitution nelles, es conditions d'existence, te bes in physiiologique qui en 6- coulent, a distinistion des races suffi-sent pour explique latitareno signa-lcle ous te appor de 'iurognerie, parmi es divers habitanis 'Europe. Ce vice est antipathique aux instincts,h a nature, aux sicessit6 physiiques de Italiens . cles magnoi S. LeUPmodgratio est molns o ruit de a sa- gesse quem expression forosi de leurtempsirament M u milie dans le-quel iis vivent Leur 6rite est donestinguli serement amoindri par Ces aitS. I a plus grande injure que t 'o puisse adresse hin Castillan est de 'appeter ivrogne Ce vice ne flati aucun

Du temps 'Utrie, es observations servatent de thome, de retexte hie longues ControVerses enire les historiens, es moralistes, es sa- vanis Ll'esprit de nationalit6, 'amour-PrOPre, attachatent ne grande importanee Dia solution Onse ut jugerdu caracthre de Ces disputes par lapi hc Inter Itala ri O Germanum altercatio. Ille hane bibendi consue u tudinem tanquhm probosam obji- cit; ille inconcessam Venerem exPTO- bat perniciorem ebrietate n

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De causes de a maladie.

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ci sit contribulirent argement h a multiplier. 1 La scien o G dicate tali sub-jugusi par es grossilires erreur clel 'astrologie. ouva it-il VOir ne doctrine philosophique , orsque dansles principales universitos existat enides chairesi' astrologie judiciat res Lasimples observatio de tot de a nature tali aban donnsie our uiure latrace, es thoories des astrologues, des magiciens qui 'attribuatent a saeuit6,le ouuoi de salsiir, 'explique leschoses surnature es, de laire progres- r 'esprit humai par eur travaUxsecretS, par leur ari divinatoire Legsciences occultes dans es coleso talenticlfinio : a perfection 'ac complijsemen de sciences naturelles. POUr Comprendre , di te lavant

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valent prbs ager que de mala die mu queus es, bilieuses, longues, rebelle S, chronique S par eXemple 'εlephantia sis, a thpre, 'imp ε tigo, es dar tres malignes, es pustules, es dεsordres qui dEsorment e corps lassio ut te,

te humatisme, a paralysie, es do ut eur de membres, en un mot, oute les εsion de cet te nature Ces ε- sons, vivant leurs rem arques devalent surto ut atteindre

cholora, des doctrines analogues Otre admises propager iani cles

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vertis, es ouffrances clataient ussitot les tumeurs Elatent promptes a se montrer, uis survenalent les nodositεs, es tubercules qui oulevalent oute la eau, mδme celle de laetδtes la constitution e u mot, tali compromise minε dans son ensemble. Queique S-uns, ans entre dans de plus amples expli

1 Nous rentrons dans les thhortes non pasci malire L'6Chautament, lapure de alien qui durant ph de docomposition, a putridit de hu-

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Quel avantages es*εrer 'une pol Emique en gagεe suriane semblable question Et cependant que 'opinions binis es, que de disputes ardentes 4 Eriles surcia naturemξme, suries cause dii mal I l . . . Le se ut pol ni sur equel es bdec in pu is sient tred' ac cord est que a maladi date de Otre poque pen

Cδdentes, elle appartient h a doc trine gal6nique. Ora ait te ole im portant que 'illustre malire ais ait jouer a sole avant a Connaist ance exacte de a circulation. 'est dansce vi schre qu'il avait placo une des troissor es essentielles, pr6sidantra a vie, celle qui dirigeat fles Mnctiora nutriti-Ves Ainsit, C est d'un vice pro inci do lanutrition qu'en dernilire analys Ul-ri fais ait d6pendi e les manifestations g6nsirales de a malacite sin6rienne.lli' pas asse clatrement incliquo legesset Comme provenant 'Un principe trange introduit dans 'heono- mie. 'est, en uel que sorte, Untravait 'olaboration au sein des Or- ganes U'il attribue a putridit6, adclpravation dis angs ili'est ici quet' interpi lite des opinion de Stromeria de icius, Comme 'indique nersiponse, ne letire de Ce dernier hHultera qui 'avait consult6.

1 Ces discussions 'sitaieni potnt

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au tres animau qui, comme lui, prbsentent des mala-

probablement sur 'observation sui vante ditarent genres de pol S, epifumsativum e particulier soni fr6 Uemment altaqu6 par de larves qui produisent de petit insectes leur