Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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Chres, po ur donne auX membres plus de Orce, e prati,

d'un and age, 'appliqua is des compresses imbib5es decette lique ur 3 . A a suit de ces lotion salutatres, e

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mation 'arrδtait comme par miracle, cari connait es

de lolii et cloin, de cio iaces transpirations posais

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denis qui me menagaient dans le our de meS Voyages,

oh 'εtais exposse a des fatigues, Ddes privations de toute nature. Si in seu ners ' pas t altaquε, orsque desulchre profonds malin sillonnatent mes ambes, si le

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M opidsimique surcies habitant do

On petit Consulter . Vigo Practica in arte chirurgica copiosa). Cellure, qui remonte δε οῖ, en fermeles observations personnelles de 'au leur, celles de sola phre, qui avsit assist au oge de Napies ; ab . Fallope, dans e travail De Νorbo Gallico tractatus, publio ei geran aprhSi' invasion hi mal procis te Insemes

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gravement atteint, ut reco ur Dce rem h de qui tui ut

indi tu par de indighnes A son retour, i en repanditi'us age dans a patrie, it divulgua es esset mervellieu X

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Les insulatres pro non cent e mot en aspirant, ta bou-che grande ment uverte, iis dissent insi alac cette

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msidocin qui vivat laus Auguste, est verius de cestrogues ne repondalenti'autev d Philonium, panache Uni jamais auctitres imagingsiour attirer verselle, clerite par tui en vers lG- 'attentio M a cr6dulit publiques. giaques, dans u style amphigoUri Pline, alien Celse 'otaient levosque, tro imit Par uel ques-Un de Contre certain antidotes pron6s de se successeUrs, 'essorςant de Cacher eur temps Mais es Arabes, es Alius des formules obscures tabi Zarres, Chimiste les valent remis en rodit. des compositions sit6roghnes, plus our se satre ne id si de leur nom- extravagante enCOre que leur nomS. bre, de leur singularito, it aut pa Les bases principales de ceti in Couri tes iures 'Arnaud de Vill ventio polipharmaque talent te a neuve, 'Agricola, de araeelse, usi an te pyrhthre, 'euphorbe, te pol msime enCore es pharmacopsies duure blane, a jus qui ame, te spica nardi, XVIII silicle.l'Opi Um, .C., MC. . . incorporos an S 'esprit judicieti de Hulte te pomlemi et L philonium se trouvait en tali h criti querit ces compossitions si cor Che cies apothicaires, sihel recher liges par te vulga ire, bien quedernier u Philo cum miscet regia, leto subleur unique morite La main Contra venena, salutaria illa medica du Chri l lait Timplement dilacrementa quae deorum manus appella dispous dans de 'eata de roses dans la

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conssid si rabie que e re ne de nos contrbes, it porte des fruit asse semblabies a des chalaignes Helois est Esi neuX, a couleur approch de celle uiuis, seulementelle est plus soncsieri plus elle ire surcle run, plus onrestime; 'aubie est aura atre, te coeur est rhs-brun Sidans son palsseu l 'arbre est plus colorε, o trouve le

furnagent pas, iis se prεcipitent autond du vase Celsis est plus dii que te cli Ene, ille se fendille oin au seu,

i La omine doni partes trie est a rosine qui constitue e principe te plus actis contenti dans letois

mitive.

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dabie, ne ouit plus que de la faveur