Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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Mais es description laisssies par

silsiment complexe par de reChe ches plus pr6cises, par es ages distinctionsitabiles enire es diverS symp- tomes, te ditarentes manifestations ello ne laisso plus de dout dans 'e prit de homines imparti aux: 'exp6rienee, a Comparat son, 'analyse, lacritiqueint permis 'arrive hi que nou Croyons a verito Astruo, angsa riche monographie surcia mala dictv6n6rienne, ludiant Dion te satis histori ques, a Combaltu, rgito a doctrine de 'antiquit de la syphili il a

science modicate.

t La lupari de historiens ne

mesure Contre la propagation clu maldans a capitale L'6vδque de Paris, leprovo de marchancis, te artement

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dura o Charies i). La France repoussant et te ξnomination commemne injure, ε signa et te assectio fous te no in de ma napolita in Cependant, suivant rus age

jourd' hui, a plus civilis Ee Ha plus hospitalibre qui

a Il est probabis que a questionde 'origines rate de a syphili res

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ne vivat que de mauuaises herbes ou de racines rues, avait u son corps recouveri pari ne ruption darire u se

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ies malades Telles furent, en es moment de terre ur,

laint ut Dappo de a peste prys de

tiolle, aussi bien que dans es prec6dentes opicisimi es, limi popula ire avait os sir uoi te miracle se reprodUire, par 'intercession de cessaint, doni legmalades imploratent 'assistance.

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froyable calamit publique. Suivant les thbologiens, Dieu Evisi ait dans a colhrepou punir es crEature des vices qui utrage aient samajest les prξ tres en chaire prξchatent e doctrines,

ment, par es se ules forces declamature, des maladies nou

velles se dἡvel oppentia des circonstances particulibres λ

permetire vix superest mor-bUS nunc aliquis, cui stationarii Praecone non . peculiarem sanctum tanquhm tabernae M negotiationi praeposuerunt processit que eo usque ejus mali serpigo, Ut PAUPerum ac simplicium illorum quaestuarii

predicatores sanguinem vorent et me dulam Stationarii rusticorum Ple-PUmque abutuntur implicitate, dum omne Vi COS, VillaS, PagOS, Omnia

Ue peragrant Castella M oppidula, praedicantes sancti cujuspiam sanctimoniam, inscribentes que simplices subsanctiali cujus numen ac tutelam Promittentes que, ut ho 3Ut altero mo horUm genera Vacaturus it qui eis

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prὰ tres, metiant les opinion les plus eXtraordinatres, eson donnbes commessi Dieiles e sit admis dans ses secrets. La conduite des mεdecin a sit semblable; au te de cherche des remhdes pou gubrir, ii sint vo ut remon tera uncauses iis fuyalent a prεsence des malades, iis avalent surtout bien garde decies toti cher Dan te principe, es symptomes de 'asseelion talent si po uvantabies, 1 contagieu que, εja, on ne considξ re plus comme pa- reilles a celle du premier temps, te manifestations qui

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tions se montraientiu toutes es partiesci corps dures, rugueus es, elles ouvalent δtre comparεes h de gland s

seule deur cap able de provoque la contagion. Cespiates pustuleus es avalent ne couleur verdatre tirant suri notr. Les victimes ou Uraient, en quelque sorte aulant