Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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crain te, une idεe bien exacte decla satire, qui perdieau- coup, 'εtant pasque dans la langue latine, oh es inter rogations, es Epliques, te comique ni une vivacitε, une fouplesse, un4-propos qu'il est dissicile de rendre en

traduissent.

i regarde, intόresse surtout u public 'Elite; il lais.1in libre est, Dia finesse 'observation deri'auteur, ait brille les graces de son sprit qui aisonne, critique

avec ne parseite convenance. Suivant les paroles de

Bes est nova res est jucunda;

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choisie, obj et de s prόdilection, n est libre, es hostes se passent dignemenis ilis'est don permis de dire coeque je pense Mais, pou dbsarnae lalainein 'envie, j doisajouter que e dialogue est uni adinage Eger, oti quel

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que e me suis donii Dun attre Comprend donc, cette tosse de sole accuse a mollesse, arque ne te indigne de homine La chaine 'or que e porte au

decla servitudo.

surdes est soni siclaves, iis soni captis ceu qui sontadmi dans a coli des princes PMIS AULUS. - Oui, decla manibre a plus triste, a plus misserable d monde laien plus iis soni ausit exilbs car, que eui elui qui nous couvre de ces habiis clatanis, sinon nous loigner k amat des vrais devotr de a vie ΘLes didux eulent bien 'accorde encore a faveti de senti que e ne suis pas libre, que e ne suis plus unliomme, ais te plus matheureu de prisonniers. lsita ciet que 'eusse prεfiar laver es bgumes avec Dio

ghne, pluto que de sui ure Aristippe dans es festing

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de dolgi Ce 'estias triste de ne ouuoi disposse de

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llure incroyable, re qui est restε, dit Herder, ne satire nationale, parce qu'il est plein de seu, 'esprit Z de lapius merueilleus e Xaetitude. Hultenis'est plus arm de laclanthres declamassue,

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mi apparente, mai ave toute humour allemande,

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ritae, de so Acharnement contre leg

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lerte Dan te principe si correspondance Pindique , lapplaudit 1 ces ampliteis it 'applique Die subpandre.

torsque les chirurgiens se disposaient k l'opεrer, i se

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mon trances du cardinal Alberi, non-seulement de poursuiure des abus, des vices notoires, mais de reconstituer

toute entrave, son opposition ne connut plus de ornes; illangamne sErie de nouVeau dialogues, de satires, de lettres contre a papauib, qui ne sauraient ici tro uver leur placeo

qu'il nou sussis de appete les titres rarias Romana, seu Uadi fidus 1 Inspicientes Sulla vel bullicida; monitor.

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lxij NOTICE SUM LA VI EProedonen In cardinales, episcopos sacerdotes inveriliva. en langue alle mande La Peimur naturelle u papi seme; l'Examen de a conduite que es papes on rouour renue ut Oar de empereura Ces ti tres indiquent asse te but,

oratoires, que de pales copies, que des imitations que des

nom, revenant de Rome oti it a tout observo, out appris Trias romana, ctrce qu'il roduit Constam menti trois pol nisi qu'il avanc surchaque arti Ole. st Tria urbis Romoe dignitatem tuentur Autoritas Pontistis, reliquia sanctorum o merx indulgentiarum ... Tria maxi no in pretio Romae sunt: Venusas mulierum, equorum Pr tantia, O diplomata Ponti cis ... Tria sunt frequenti in usu Roma Carnis voluptas, velitium luxuria, animorumfas US ... Tria faciunt qui Romoe oriantur Deambulare. scortari convivia agere. Tria nunqud insatis proveniunt Roma Episcoporum pallae, menseSpapa

Tria sunt Roma extrem despecta:

de plus fortis de plus libre fur es

a-t iidit: si eis principalement escelivresu'il aut attribue te insuvementde 'opinion, 'ot par tui que utiena ait que te no in te plus odi eucen Allemagne soli celui de a curi ro