Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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Quoique certaines critique de Ulia alent revsitu un tondeisiclamation et d'amertum singulthres, e les a lovies acceptees comme sinceres et partant des coduriles plus e tueux. A celoint de ue, 'ai ueste de me rejouir, et dopense que 'avais mal jug les ommes de mon tempsistiles contemplant a traver u doulourein scepticisme Tantd'indignation attestat satis donte decla pari des journalistes la plus haut moralit jointes la plus religieuse philanthr pie J'avoue cependant, . mamonte, quest j a gusiri declamatadie du doute, ei'est pas absolumen a cette consid6- ration que e te dois. O ne 'attribuera pas, 'esphre la pense de vovioirdesarmer austerit d'une critique aussi farouche on nem'attribuerata non plus celle de uouloir entrer en diseu sion ave les dernier champion declario catholique dotelles entreprises soni au-dessus de me forces Latia in et reste dans a pense umessa positique u roman san-

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instant.

isi a pass par mille pretives elle a sichapphis mille dan-gers elle a surmonte mille fouffrances elle a sit avx prises ave tous te sitsiment de dissolutio a mille desqueis elle a pris almance et encore ario urd'hui, combattue et resoule par sigoisme, a corruption et a cupidit destemps, elle subit une sorte de martyre, o sor lentementdu sein des uines, qui 'etarcent de ensevelir. Si es grandes intelligences et les grandes ames de ce siecte onte Diuiter contre de telles preuves, combien es tresd'une condition plus humbiee d 'une trempe plus communeu'on iis pas-d0uter et tremble e traversant cetis rod'atheisme et de dεsespoiri Lorsque nous avon enlenduis eleve au-dessus de cetense de plaintes et de maledictions les grandes voix de nos poetes sceptiquemen religieux, o religieusemen sceptiques, oethe, Chaleaubriand Byron, ickiewica expression puissantes et sublimes de restroi do rennui et de ladouleur doni celte g-nsiration est rappee, ne nou Somme nou pas attribue ave raison le droiti'exhale a si notroplainte, et de crier comm les discipies do Jesus igneur, eigneur, nous perissons Combie sommes-no

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έ qui votis priscia plume pou dire te prolandes lemurss

resignation de rage tir, quelques-uns oguunt . pleines Oiles, remplis 'esperance et de force la plupari haletantset delabres pοur auoi trop4οusseri. Ei biena que que solite phare qui nuus ait eclaires, que que sol le por qui nous ait donne asilo aurons-D0us r0rguet o la lachete,

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ΡΗgFACE.auron nous lamauValse sol de nier nos satiques, nos reverset l' imminence de nos naufrages in puεri amour-propre, vovera' une lavsse grandeur, nous sera-t illasistrer 'effacerte fouveni des Dayeur ressenties et de cris soli sis dans la oui mente ' ouVons-nous, devons-notis te tentera Quant moi, e pense que non Plus nous u ons a retentiond'εtre sinchrement et loyalement convertis Dde nou velles doctrines, plus notas devons consesse la erit et laissor exercer auxis utres hommes le droi do juger nos dolites et no erreur passees Cres h cette condition mutemen qu 'iis potirroni connalire et apprsicier nos croyances actuelles; car, quel e euriu'il mit, chacun de nou tientisne placeda nil histoire du4ihele La posterit n'enrogistrer que les grandes nonis, maici clameu que nous avons leve ne vetomber pas dans te siletice de reternelle uit elle aura 'veille des echos ollo aura Ouleve des controverses elleuura suscite decesprit intoleranis pour en to uiser remor, et des intelligences ensi reusesiour en udouci ramertunae; elle aura, en uri mos, produit out lo uia et out te bien tui etait dans su mission pro identi elle de produi re carle ouis et te desespoli soni de grandes maladies quo lurace humatne doli subiriour, 'complii Son progres religioux L doule est uri dii it farre, ni rescrip, ble de laconscieno humat ne qui examine poti rejeteris adopter sucroyance e desespoir en est a cris satule, te ui Oxysmuredo utable unis, o Diuul e desospoir est ne grando hosel Il est lo plus ardent appul de rame vers ous, i resti plus irrecusabie temoignas de Otre existence en nous

perdrecla certi iude de ceti existence et te sentiment de cetam0ur sans tomber aussito dans ne ui affreuse, pleine de terreur et d'ungoisse mortelles Io 'hesi te pus h locroire in Divinite a de paternelles sollicitudes our ceuxqui, oin de tu nier dans reni remen d vice la pleurent dans rhorreui de la solitude et si elle se Oile . amais avxaeu de ceu qui la discutent axes ne roide imp

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reconnaltre une erreur passe et consesse une sol nouvelle est ii devotri nier cette eri euris la dissimule mur atta

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du genio scepti quo que 'a mentionne plus aut, Hisne petat auoi qu'une bien aibi par dans esset de cesmanifestations idolate. D'ailleuriresset est salutatre, et,pouru qu'une me sorte de inertie qui quivaut aunsiant, pei importe qu'elle tende h4'sileve par a tristesseo parua ole La questio pou nous en cette vie, et en cesiecte particul threment, 'est pas de nous endormi dans de vainiamusemenis et de serme notre ceu Dia grande infortune dii doute nous avons queique hos de mieuchsaires: c'est de combattre cette in sortune et d'en sortir, non-seulementiour releve en nous a dignit humaine, maisen relour ouvrirdo chemin Dia sinsiratio qui nous fuit. Accepton dono commemne grande euon te pages sublimes o Bene, erther, Oberman, onrad, ansred exhalent leur prolande amertume elles on sitsi crites avecte sans de eurs coeurs elles Ont sit trempsies de leurs la mes brutantes elles appartiennent plus encore aliistoirs philosophique dii genre humain qu ses annales positiques. Ν rougisson pasta'avoi pleur avo ces grandihommes. La posterilsi, riche 'uno lai nouvelle les comptera parmises premier martyrS. Et nous, qui avons os inuoque leurs nom et marcherdans la oussilire de leur pas, respectans dans nos Bu-

de progresse comm artistes, et, en e sens, corrigeons nos fautes umblement essayon furtout de progressercomme membres de la lamille humaino, ais an sollevanti et sans hypocrite sagesse : Ouveno -nous bien quenous avon erre dans es tenebres, et que nous y avons

r u plus 'une inlessure doni a cicatrice est messiimble.

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Qui e tua et pοurquoi ton amour mitrii tant de mal Il dost, avola en tot quelque assi ux mystere inconnuauchommes A cou fur, tui es pas unistre petri dumme limon et anime deda mome viesque nous lauisu ange oum demon, mais tuis'es pas une creature humate. Pourquoi nous acher in nature et ton oriagine Τοurquo habiter parmi nous qui ne Ouvοns te suaere ni te oomprendre Si tu viens de Dieu, parte et nous adorerons Si tu viens de renser. . . oi venis de rense lao si belle et si pure laesispriis dii mal onNil e regar divin et detin ves harmonieuse, et cesparoles qui thventam et la transportent usqu'autrone de Dieul

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radieuses, et puis uous me precipiteg dans letoir chaos lm lassile resso succombe a de telles epreuves Epar-gneZ-moi, Lesia Hier, quanimus nous promenions surda montagne, uous siue si grande, si sublime, queri'aurais ovium agenouisse devant uous et baiser la trace embaumee de Vos as Quandrae Christ ut transfigura dans une nuωχ'or et emblinager aux)eux de seca tres dans uincide embrase, iis se prosternisent et dirent:

montagne ave se compagnons, ns se demandisent sans douis avec inquisitude Cet homme qui marche mee nous, qui parie comme nous, qui Vara Per Vee