Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

21쪽

Ouisemble ne plus chercher a nous domine que parta perversit de votre coeur. Par exemple, qu estwedonesque cette halae prolande, cuisante, inextinguibie, que ous me poli notre race Peut-on timer Dieueomine uous mites, et detester si cruellement se ceu res ' Comment aecorde ce melange de sol sublime etd impisit endurete, es elans vers te ciet, et eoaetemee renser ancore une sols, d ou eneg ous, Lelia' Quelle mission de salutisu de Vengeane accompsisse Vous sura terre

23쪽

LgLIA. 33 de Iemme que la presenoe de Die aurai dii remptiro 'attendrissemen o de terret curquo e catae Superbe et e mepris apparent pou Ie rites de notre culte di adoreχ-vous pas te res Dieu, Lelia Veneχ-vous des contrees brutantes ou ron sacrisne si Brama, cudes bord de oes grand neuves sans nomisit rhomine implore, it-on resprit dii mal ear nous ne avons ni vove famille, ni tes elimais qui Volisint vile naitre. Nullo te sali, et te mystere qui votis uvironne nous reiad superstitieux mal e nous lVous insensibies votis impiet hi ela ne se eulpas Mais dite moi, a nom dieiel, que de lentione Aies heures terribies, cette ume, eette grande ametu laposiste ruisselle, ou renthousiasme dὐborde, et doni loseu nous gagne et nous entrain au dela de toti e quenous axions senti quo songieZ ous hier, qu a te votis init de votis-meme, quand uous euecla niueite et glace dans le temple debout comme te pharisien me-surant Dieii sancirembler, fourde aux Saint eantiques, insensibie a rencens, aucueurs esseuillees, auisoupires de rorgue, a touteda poesie dii faintheu' Et comme esse et ait belle potiriant, cella e se impregnsie 'humides par-hinas, palpitanted harmontes sacrees Comme lanam modos lampes 'argent s exhalait blandite et malo dans tesnuages 'Opale duietiuoi embrase, tandis que les cassolet tes de vermen enuo aient xla volite les graeieuses spirales d'une sume odorante Comine les lames d'ordu tabernael f enlevalentaggeres et rayonnantes solis te renet des eiergos lint quandrae retre, e grandistbeau pro re triandri doni es hevelix soni si nolrs, doni'a aille est si majestueuse, te regard si austere et la parole si sonore descendit lentemen tes degres derautet, trainant m les apis son long mantea de ve-

24쪽

Εhalai Lelia, que Diei in Ie pardonne encoret pendantis moment e ra er et 'at milli tui retirermon hommage potu votis rostris. Je me suis lais ebluuir et subjugiter par latuissance qui etait en ous. Helas i ii aut avouer, e ne votis vis amatis belle.

26쪽

bien lolii de tui: il est bien roid bien pale, et bien

servitude.

27쪽

pas plus que lesbonheu et rinfortune. Ne demandegdoneis a ciet ni rense te secret de ma destinee. Gest a Ous que leto res reproche de medeter sans

28쪽

don uous et ''odet, o volt que celeupla est eges mentiret a se metire a deux genoux Sur Votre passage, O a viis conjure comme unieau Les intelligene plus sileuees votis observent attentiVement, lesines parcuriosite les antres par sympathie; mais oucundine semit contine molisne question de vi et de mori de lasolutioni probleme; moi sevia es le droit d'eue audacteucet de uous demander qui Ous sites; car,ue Iesens intimementi, et cette sensatio est ite a cesse de

29쪽

tu a salsi te bout de ma charie, et Moliaque instant tu roublie , tu laclaisse tomberlli aut qu' chaque instant, esst si de me voi sevi et abandonne, je appelle et te larce a descendre deces

region inconnues Ouinisilances sans moi Cruelleig-lia que ous etes heure ed'a oi aissi rame libre et de pomoi rever exile, ainter seule, iure seula motu ene te peuultus, jelous uime dei'aime que ous Tousce gracleux types dela beaute, tous ces anges,gius ensemines qui passaient dans me reves, me jetant desbaisers et des leurs, iis soni partis. Iis ne Viennent plus ni dans la veille ni dans te sommeti Cest ous deso mais, tot oum Ous, que je vois pale, alme et sile elause, a me eotes ou dans mon eiel. Je suis bien miser lolia siluation Kestias ordiniare illae s agitias seulement mur moi de favoir si je suis digne d'otre alme de vo . 4'en suis a nepas -- cir si uous etes ea bis 'almei uti homine, et uene trace ce motinu aveo essor tant ii est horribis jecrois que non I