Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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bie de intero de reste si uous eroyeg que e suis

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et de dire Ie suis plus grandinue cetiοmme qui senuit a lubmem et ne proste personne na bieni sint; e suis jeune, e ne inice que e deviendrai, en aiioin traversedes preuves decla vie mala Ous, Lelia, ous, plus grande par votre ame et Otre gente

stire' oue indulgente compassion o voire admiratio imprudente de ne sat comment dire te fuit aumilieu de ses coupabies triomphes, applaudit se Suc-

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mme, helas Stento , tu es bis imprudent de venis edeter dansiisve in billoni Volcce que tu me sordes , te diret . ,

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thrent moi, mais iis mentalent parda gorge les hypocritest on triste regar plongeait a land de leuram eon' uouvait que vanite La vanite est, apres r mour, la plus belle passion de rhomme, et sache, pamvre ensant, qu esse est encore bieniare La cupidite, legrossie Orguet des distinctiores soMalos, ta dehauche, tous les viis penchanis la paresse meme qui estio quelque uncune passio sterile', mais Opiniatre, volitiles ambitious qui meuvent la plupari des hommes LaVanusi, a molns.c est quelque ebose de grand dans sesesseis Esse nous ore Detreions,par renViesque nous avom de te paralire elle nous potisse usqu'ii rhM-roismo, tant i est doux de se vola porte en uiomphe, tam la popularite, de pilissantes et adrones siduotio lsit la vanite est quesque chos qui ne η'moue amais. Les aut res passioris ne petivent se donne te change lavarit petit se cache derriere, auue motoque les dupes acceptent. Liphilanthropio L O mon Dieulquelle puerile musset et Ou est-il rhomme qui pres et bonheu des austes hommei in propre lolae' Le christianisme lubmemo, qui a produn ceriu'ss, e de plus ἡro1que surria terre, te christianisme, qu'-t-iliour base 'a'espoi des recompenses, unirone sileve dans te ciet. Et ceu qui out mitine grandiode, leplus beau, te plus vaste, te plus poetique monument de resprit humari, saxatent si bien te ceu de rhomme, et ses vanites, et ses petitesses, qu)ns οὐ arrano enconsequende leu system do promesses divines. Lisex

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tinee. Et fouvent te ruit que rinsecte alique, o quele bec de Polseau a entame, est te plus vermeli et te plus

A mati de ma vie, e ous eusse presere a lovi. Alor tout etait siveri e Symbole, Spolr, aspirationpositique Lemannees de soleti et demievreint passe surma site, et ii me saut de ali enis robustes it saut lima douleur, a mariatigue, si mo deco ira gement, non te spectacle decla beaute, mais te secour decla force; non te charme de la grace, mais te biensait de lari gesse. 'amour eui putempli aut1 esuis mon ame out entilire atriourd'hui, i me aut furtout ramitte, une amitte chaste et sarite, une amitte solide, inebrantable. Les premiers seront les dernierasin our vini dans la vi de retimor oti, precipit du ait des prosperilsis molidaines dans u abim de douleur et d'igno minie ilaravant a deveni ceruulit aves cruratre, equ'ilis'avait amnis ete. Depuis queique annees, lance surrane pente satale, ne pouvant se rattacher Maueune croyance, si aucune poesie, ii sentatos eteindre e luile flambeau de lalaison. Une lammelui iii spira uncin- stant te desi vague de quitie lidebauche et de cher-elier ailleur te mot de s destinee mais ceti senime, tout en devinant melligetice et a grandeur salivageensouies dans te bourbier dixiec, dglourna sontegardavec estrui, avec degoiit Elle lui gardain sentiment de compassion et Onteret qu'elle lui a manifeste plus tard et doni ii s est monue digne cara quelles amitisis hu- mainein alas droi la creature afflige qui s'est reconcilige ave DieulΤr mor aves une ait resse belle et impudente commea antique menade On rappetati a Mantovana.

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I la imiarait avx utres, et ilis'imagines paries de- couturis en elletne tincelle de ce seu sacr&Θ'il ne sa-vat pa Mfinis, malis γ'il appetat sincerite, et quucherchait parisin avectangoisse et ladsitresse du mau- vias riche. Damsine nuit de bruit et de vin il lasappa, et elle ira de son sein vii mimari mur te tueri Cette vellest de ingemce plut , remor u crut vola de Iariore et de la passion dans ummouvement de mine. v alma, instantiis se passa Mors en tu que ue

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motas sans Mute. . . . La Manisvana vient d'expirer, tui repondi te, o rates son me trier. Repente Uus

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chers dimam n me paria longiemps, et, en te qui tant, 'otis a si une temelle pulsi, commeci'ai jura depulsin temet respect4 rinfortunsi'u'on appelle amjouin' i remor, et qui, durant cim annis, , .

EN esset, c'esti secret terribies, et e dola sentis enmon commune grande reconnaimance mur rhomme qui

dissimul pas, mala que je 'ai plus latamit dei,

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40 MLΙΑ. to qui es maudit, e te rendrai te ciet que tuas perdui Viens , moi qui suis sans lacte, et qui cachera tessouissures, ave ma mala que micilinii bieni mus et grande, Lesia, plus grande en re que e ne pensais. Votre boni me lait mal, e ne sessio quoi messuel admire, malacie ous adore. - queae ne pias sum porter, 'est que et omme, que je ais et que jeplains, ait ossi inuine la mala que uous tui me ON seris; 'est γ'il est e romueli 'accepter oue amissi, mire amiti Minte que les plus grand honinies de