Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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parmides uoi surie es de la tempese I se hasar eiitredes nouvelles ruine qui eouvraient les anciennes, et me trouva evanouie solis des dεbris qui allatentis e sevella Lapitie Ieriele que donne la mi a ceux m. qui anquentra humanite, tui strent trouverra force cruelle de me sauver It 'emporta in son ineves, utravere lesilaines, les Mis et les vallωs C pr&res appetiat agnus. Par tui e his arrache acla mortet rendue ad douleur. Depuis que e suis rentree dans lasoeiate, monexi tene est plus miserable qu'auparavant. Iei'ai uouIueue refclaves la mestresse, comme ondit de personne; mais, ne me sentant Iim Dauculi homme par cetis comsecratio expresse et volontaire de in possession jeluisses peti, peu mon imaginatis inquisite et avide γ eouri runiver eos empare de re qui s'ossinit si esse. Τrouver te bonheur devini maseule pensee et, s illautavouer , que porit 'einis descendu a dessous de moi eme la sevi regie de ma conduite, te spes but

noue me desius veriles Ombres qui passaient auto de moi it 'arriva de eouri en songe apris elles, deles salsi lila volee, de leur demander impεrieusement, sinon te bonheur, dimoins remotion de quesque jou nees; et comme ce libertinage invisibi de ma pens nes uvait ehoque rausterit de me minure, e m'yli 'res sans remords Iesus insidiae en imagination, non-seulementa rhonime quea 'aimais, mala chaque tende-niata me xit infidἡle Deelui quea'avais time la veille. Biento uiseul amour de ce genre ne sumsant porit a rempli moti tune toriours avide et ames rassasire, j'embrassetu plusleurs antomes alassis. J'aimaidans lemsimebour et dans la mἡme heure te musicien enti u-

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satisitelah quoi pleurer toute la vie rerreur romanesque de radolesceneed semetri et descendre vivante dans la tombe, parce que les homines nou haissent Ohlbien plutot meprisonscles, et eligeon nous de leurdespotisme, non par la tromperie, mais par indisse renee. u'il exhalent leur colere et leur jalouste; 'en velix rire jus tu ad mori. Quant a uous, Lelia, si votisne oule pas en salae aulant, ei'ai qu'un consei avous domer: 'est de retournerdida solitude et si Dieu. It 'est plus temps, ulcherie, de prendre ceparti . a sol est chancelante, moniceu est uise Ilsaut pou bruter de ramour di in plus de jeunesse et de puret que pou tout auire nobi passion de ii ai plus la force d eleve mon sine a ui perpetue senti men d adoration et de reconlinissance. Le plus SouVent j ne pense a Die que our accuser deis que es0uslae et tui reprocher in durete. Si parmis je te benis,c est quandue passe pres d' in cimetthre et que e pense a latri evete decla vie. Vous ave vecti tro vite, reprit Pulcherie. Ehbiei it laut Lelia, que ous changie rexeresce de vos saeuites, que votis retournie ala solitude, ii que uouscherehie te plessi : ehoisisseZ.- de iens de montagnes de Onteverdor. 'aiessaye de retrouver mes anciennes extases et te charmede mes revertes plauses. ais Ili, comme partout jei'ai

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ii sat mit que ou sussie Onchaine uinutat sociat qui ous preservat de voti mome et ous salivat de vos propres reflexions It laudrait que ous mssiegassiijettie amne volonte euangere, et qu'un invalidorce sit diversion auaravali incessant et oi eur de votre imagination. aites ous religieuse.

Il laut motriame virginale; ei'ai de chasin queles moe s. de serias une sipous adultere du Christ. Et puis votis Oublie quede ne suis pas devote Ie ne eroispas, commedes lammes descet te contree, ad vertugenhratrice des chapeleis et a pulsiniice absolutricedes scapulatres Leurpisitsi est quelque ch e qui iesi

mentiees...

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tiere et d'embelli tes impression reelles de crois que elasides seul vous arrote, et que si uous abiurie cette injuste et mile disposition, votis utarie de la-εme vieque moi. Qui init Avec plus 'energi peu in uous

inspirerie de plus ardentes passioris VeneZ, couronSensemblesousces alisies Sombres, ou de temps entempsi vias scintille diiblement rordes costumes et voltigeries plumes Nanches des barrenes Combien d'hommes jeunes et beaux pleins d amovi et despuissance errent solis ces areres en chercliant te Naistri meet,iblia, exciton les si nousio furere passon rapidement presd'eux, me onsdes de nos hiemenis, et puis echap-ponSmous comme ces phalenes que ous voye dans lemyon des lumihres se chercher, 'atteindre, se ssipareret se rejoindre, ou tomber mories et solles d amourdans la flamme qui les devore Venea, ous dis e lemiderat vos a tremblanis, te connais inus ces homines. I appellerat les plus atm les et les plus eleganis autour de votis. Ous sere hautatae et eruelle oue esse hielia; mala uous entencte leurs propos, ous Sentire leur haletne sur vos paules. Vous die regimi eire quanile veni du sola apporteria vos narines dii tres le parsum de leursis vel ures, et peut4tre cessotrsentireZ-vous une saliae curiosite de connatue la vietout entiere.