Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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Et relubet offrit son palais, ses gens, ses ins et ses

Mon heure ne viendra pas, dit Lelia. out coelme deplait et m irrite Leur haletne est stoide, te schevellares soni rudes, leurceueintes meuruissent, etl'ambre de leurcvεtemenis dissimule mal e ne inisquelles manations acres et grossieres qui me repous sent. Λ milieula'eux mon san se calme, mes ideessiclaircissent, ma volonte s'elhve uela a plus dyautre desis que deis asseola et de les regarde passer en Iesmεprisant Votis auregbeau dire,'ulcherie, une lammen'estias uti instrument grossier que te premierinistre

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une peniae oum sentiment qui essem it a ce que jereve dans l'amour Ce sublims echange des plus uuia saevites ne mutias, ne destias siue reduit a me sem alion animale. - Ε bieni viens parrici,asilia. Emui par in eunehumme que j xlens de re mirer, et que j'agaceeu min. Peut euera compassion sera de pluscae sur tot que te reste.

que suibit dans te lardius reser es et dans cettegrotis, qui est, si te ne me uompe, une decentrees40uterrai

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qui appelle diland desiuees, que rast a1ehi et consol/par nos libations et nos caresses Viens reposerua Mesu mon sein leune Dique tu es tu erras que je ne velix pas te arde et Cendormi longiemps Ie euxseulement eis lager dans in marche phnible, assii quet puisses reprendreis emor plus co ageux ver se poesi et versaelia.

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Comme iis traverinient in mesola silencleuco lebruit des pasis amortissest surrae lapis, Stento erutvola passer rapidement res de lui une lamme v&ue commeasilia o comme Pulcherie. Illae s en inquietapoint, carisilia tenait to ours in main, et ilintra avec

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crete.

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dit Sisinio iour ramo tu ciet ne rede Viensi de specu moqueur et cruei qui venande mire place ala plus belle, a plus sarite, ala plus iam des

lire, rends-moida maluesse qui hinit peste , se rauclerissest a si uraiment que tu es digne de tout monomour, jecle sens. Va, ne ei ainstas de descendre; e viens dei timer reellement potu la premiere sess. on imagin tionsitati seule .rise de tot usqu'iei. Aujοurd hui moti coe 4'oiiure ad tendresse veritable acla recorandis sanee, caesa ourd'hui tu donnes le Mnheur. Ainsi ramour d'une intelligencen est rient sipeta Lella d une voix sombre dites encore, Sinnio, dites encore que e est a si que ouim'aimeat olli inutieque ous votitie de moi Voilli quelle sin miraculeuse et divitie se proposait Otre passio si poetique et si grande . Steni desespere sedet te vis e contre les mussis. Oh -οus me tuerer, du-i en sanglotant, ous

me tuere par os merii l. . .

Ιlaui sembla queasilia sortisit, et i relevada tete

aveo emia. I se uouva dans une obscurite prolande. et se leva mur a chercher dans Ies tenebres Une main humide privia sienne. Assons done tui di la voci ado te de Lella d aipitie de tot ensant xiens fur mon inur, et oubli ia

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x XXVII.

QuΑΝn Stento fouleva in Me appesantie, des etant siroiseaux annon ent a tota dans les campagnes las proches durio . L'horigon blanchismit, et rat statis dimati arrivati par bouflaecem umees surde fronthumide et pale dij eune homme Son premis mouve-ment ut d embrasserasilia mala esse avia rati hown masque, et esse te remussata emententui salsant signe degarder te silence Sisinio se fouleva avecessori, et iris de satime, d'simotion et de plestir, ii 'appro-eha de la senεue enu'ouverte L'orage sitiat enti mentdissipe les Io des apeum donide etes etait chargequelques heures aliparavant 'etaient roulees en longumbandes noires, et s'en allatent unes une mussem parte vent vers rhorigo Misatre La meririsai mee unlegerimit seclames ecume es et nonchalantes surdes te dirivage et surdes degres de mactre blane de lavilla Les oranger et les myrtes, agites parde fousne dii matin se penchaten suries stois et seco ient laurebra hecen neu dans ronde amere Leclumlares pa-lisinient aux mille sentires duialais Bambueci, et que, que masque erraten a perie inus te peristyle horde de pales statues. Oh melle lieure desiclauses s eeria Sthnis enii urant ses narines et scpourine a cet ala vivissant. O mal elici e suis sauve,ue suis rajeuia Ie sens en mia un mme nouvem de vis 'une vi plus suave et plus pletne Lesia, e veux te remercier a genoux cari'sit aismo ant, et tu as vovi me ueris, et tu 'as mi coim

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petite insessormee par ths Mikd'orangers hi descatalisag Elles glissatent mollement comme de beatico, dies suries eaux ealmes de libate, et bientot elles allatent passordevant les terrasses duiavillon. L'Orchestre si silence, et uile barmi desserine tisiatique cingi l*hrement en avant de in petite notis. Cette embareation, plus stele et plus hiemitis q. leg