Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

발행: 연대 미상

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de laχοπuptio paries innuenoec turesses L penu jaune et transparente commmuniarchemin se colle et s attache surdes muscies retires et dureis Iecmembra-nes des leures se piissent autour des denis solides et Millantes; les iis demoerent implantis auisu desyeu sans email et sans couleur; les traiis di isagerenservent une sorte de physionomi austhre et inline; la front lisse et tendu posshdemne certaine majest lugubre et les membres ardenties inflexibies altitudes Ou in mort te; surprit Ces tristestasibris de rhommeretiennenti caractere de grandeurriu'on ne aurait nier, et illae semiae pns, en tes regardant me allention que te reveli mi impossiliae. l. depouille queu'mais solis lecyeucavait quelqueehose de plus sublime recor a ause de in siluation. Ceringielix, in Psans convulsion et satis agoni dansle inime de la priere, me semblait revgiu 'une aureole de lolae. Que s etaitri dono passe autour de hii durant ses demiers instants Condamn amne inflexi- Ne penitenc pou quelque nobi laute, 'etait-il en- domi dans te Set eur, constant et resigne, ali land deris poste, tandis que se steres impiiοyabies han- talent rhymne des moris surria με Cette suppositions si auouit quandbe me sus assure qu'aucune partie dii Aouterminis sitait muroe et quci n' avait dans e lioueo acre aliculte aucune apparetice de caehot Chtait dono roram revolution ire qui avait surpris e mari rdans in retraite. It etait descendu laieul-htre, en ei tendant les eris semces duieuple, pοur echa erin es profanations, recevoi te dernier eou surdos marches de raules. ais la trace d 'aucune lemuren'attestat qu'il en ut id misi. I m'arreta Memire

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222 L MA. illi reeroulement des parties superieures de rMinoeso Ma main surieus des vianque sciui mali subite-ment eoup ta retraite, et M'il ui avait saltu se resigne a subirile supplice des vestales It etait mortinns tortures, avec oteleut ire, nu milieu de ces affreti xjours olla mort etait unitensait meme au ineredules. Lavait renitu son me si leu, prosterne devant e Christ et priant pou se bourrenuX. Cette relique celaxenu, e cruciux, me devinretitineres Ce ut fous cette volite sombre et stoide quo j alia solivent eteli re ardeur de mes pensees a'e veloppalla uti nouueau δtemen ta depouille sacris dupreti e Ie 'agenouilla eliaque ou aupres 'ello. Solivent j et ii pariata haut x Oix dans les agitations dom Sollifrance, commera n compagnoti 'exi et dodouleur de me pris d'une suinte et solle assection potirce adaure de me consessa a tui: e lui mobilia les anguisses de mon me je lui demanda de se placerentre te ciet et moliour nous reconcilier; et soli ent, dans mes sives, erae vis passer devant mon grabat comine resprit des istolis de Iob, et serentendis mu murerri'une voi mihi commea Mise des parcies de

J'aimais ussi dans cetis chapelle outerrain ungrand chris de marbre blane qui place au sondi'une niche, aves dii tre autres iis nonde de lumiere par

une singuliere tristesse surcle beau frontine u Christ. de me plaisais dans la contemplation de ce positique et douloureux symbole. Quoi de plus ouehant sur in terre

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que rimage rune torture pl1ysique eoilroi nee par rexpressioni une joie oelestet uelle plus 13rande penseo, que plus proland emblemesque cest lexi martyr, lauigni .de sanget declames, etendant sestras verile eiel Oimage de la mussrance, ele re sui une croi et montant commmune priere, comine Dincens, de tu terre aux

Le secondiive fui mois pessibi que te premier. La patiente resignationisve laquesse 'avais 'aborduavaille si rendi e mon existence possilite a mille deri solement et des privations in aha onna Panne sui ante L indole e et lesio eries de rete axesent changela siluatio de mon sprit de me sentias plus sorte, mulcaussi plus irrit te, plus accessibi a lisoussrance, molns ealines la subis, et murtant plus parasseus arsiviter Τοute les rigueur que e 'elais impossies avec Me me deventient amhres dei' uouvias plus rette Olupte orgueilleusequi 'avait inutenue d'ub d. La risvet de jours 'interdimit te triste Haisiriles hi eries surcia terrasse, et dii fund do ma ellule

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ou s'e ultient les longues heures du soli , j'enton is plaure la bise lugubre Muvent, lasse des etaris quo je salsessio -'isese desidet extineum, inea Ned'attention dans rεtude, deis e dans la risexion, je me laismis domine parda tristesse de me impressions exterie es Assise dans rembrasure de ma sen ire, e voytis Ia lune ψεleve lentement a dessus desinit e veris de Mige, et resulae in tes iamilles de glae qui pendaten au sculptures dentesω de elon tres Ces nunc ides et rinantes avnientis carno- thre de d6solation doni rim ne saurai donne rideo. Quandri vent se essest, u silene de mori planait fur rabbaye La ne esse desachai sans bruit de rameaux des leuciis, et tombes en stoeons silenelaux

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ne se solent vanovies devant mon examen se ere

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lo ut est de ber 'her in do ilexi aurateu declivitor I out elai'est-ilias te combie de ro ueli ou de la s lie sanctous ces ramnement de latenseo, les homines, livres au sevis plaisiride sens, ne seratent-ilspas plus heureu et plus grands' Cette pretendue et vatio de resprit humain, petit-etre que Dieu lais prolixe, et au Our de la justice petit treinu il la eou-xrira de sola mepristAu mille de ces irresolutions, e cherchais dans les lix resin direction a ma volonte notiante Les naives poesies des ages primitiss. les cantique voluptueux de Salomon, les pastorales lascives de Longus, Ia philosophie rotique 'Anacreon me semblatent parmis plus religieuses dans leur sublime nudite que les Muptiis in liques et les sanatique hysteries de stilite herese. Ilais te plus fouvent e me Iaisinis enuatne par vite sympathi plus immediate vers te livres ascet ues. est en ain queue vovisis me delache des impression inutes sph ituelles duishristianisme; ' revenuistorio g. Iei'avais dans resprit qu'une eunesse passa ghre Our tresfailli aux antique de roseouae, Ourmurire auximbrassemenis de Daphnis et de Chloe. Uninstant sustisau potirisse cette chaleu saetice qu'une veritable simplicite de coeur,'entretenait pas, que les sevcd'un solei d Orient ne ventientia renouVeler. J'aimais si lire la Vie des minis, es beaux poemes, eeSdangereti romans, ou humanite parat si grande et si solet qu)on ne peu plus ensuit se baisse et regarde a terre les hommes eis γ'us soni. J'almatices retraites et esses, prosondes, es dotale sileuses cou-xees dans le mystere decla cellule, ces grandkrenoneemenis, es terribies expiations linutes ces actions solles et magninques qui consolent les maux volgati es de in

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xie par u itoble sentimen d orgueti atte. 'aimais avssi h lire ees consolations disces et tendres que les solitiares recevalent dans te secret de leur time, ces en-uetiens intimes dindele et de resprit rint dans linuit de temples, es eorrespondances naives de Franγis de Sales et de Marte de Chantal; mais furtout estpanchement pleius d'amo austhre et de mεtaphysique re eus entre Die et rhomme enue JMus dansrΕueharisti et rauleur inconnidelmittation. Ces livres sitaient pleius de meditation, d attendrisse-ment et de posiste Iis inbellissatent a solitude iis prometinient agrandeur dans risesentent, latata dansle travan, te repos de resprit dans la saligue du corps. 4' tro ais te esset d'un te bonheur, rempreinted'une ingesse si desiclause, que eis Ouvrais en Iesai-sant respiar d arriser auissime but je me disias que, comm moi, res homines minis avalent με p uves par de violentes tentations de reisume a m de, maism'ila les Maienos montω eo age ement j me distis ausia que renoncer a mon seu*re aprhs deucans de eombala et de trioniphes, 'sitan petare Iesui de si rudes essests et agis avec plus de soli e ore que delacheia auieuriu'en me rauaeliant a ma4ἡwlution,

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sacres plus a Dieu, que 'apparientis a rhumanite, et qu'ilratait temps peuNeue de reinumeri esse, si e novoulais perdre enuerement rus e de monioru et demon intellige e Les j re 'amissement qui tr-- valent si solixen place dans ma vie me laisinient unlong essroi, tu me debatinis Hismativementisonti et apprehension de ridistisme et cella de la solis. Un sola, je me sentis prosondement ebrantee dans mami religieuse, et didouinae passai Dratheime deis

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Ι 'orage augmentast; e renues dans micellule, seulendron raimm abrit de abbaye La nuit vini debonne heure la pluis to ait par torrendi, te ventis gismi sans interruption dans les long corridors, et les pales clatris Elei alant Quiles mees qui crevalent de laute paris. Morsae uouva dans mon solement, dans la securita de mon abri, dans le vim ausiare, mala reel, qui 'enisuriat a mille duraἡwrdre des Mementa, un sentiment 'indicibis bien tre et de re-

vestrio ruines des in billonide mussiese et de cratem'il semia surdes arerisseaux incultes et Sur les de-

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aule,'egare et noti ai Lentre re pes et Ia minanee; rameneg-mo a de grandes et solides penssies par uno rupture elamelle, discive entre mes et vis is es, paruo alliance indissolubie aveo 1 Mitude. Je m'agenouisses devant te Christ, et, dans univri vemen d espuis et fientralament, j'ωrivis surria mu- mille lanehein sement queae ius a Mute vota danale silende decla nuit: ν Ici, inratre incor pHin de jeunesse et de vis seu consaere a latriise et ada meditati in parumserminii solennel et terribie. Ιl jure par te ciet parda mortet paria conscience, u de ne mais mitterr Mye et d'frivre inutu te reste des bour qui tui seront comptis fur a

terre . n

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