Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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ration.

rudes qui dorinent a rombre de res Dis sile leux, san mire fouet quede solide leum uoupeaux, sans intre clude que te leve et I eoueher de Mones litus heureo encore les pociaius hevelsis qui Mndissentiis ement dans oesimusinisses, et les inhvres lammehe qui gravissent sancessor les octes mear es Heureuses out aes eri tures qui ouissent de la vis sanctitime et sans exesis Comme iis to sient undes angies die min, M-lia aperint dans le eripuscule une vaste ligne lanelias de nanc de is montagne, qui re nauda vallia fun

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marere lanc init mutenue par de colonnes corinthiennes d'un marere rose veinsi de Meu, sisarem Puno de rauue par in vase de malaciat ou raloes Messest se grandes aretes sipineuses et pius d immenses coum qui se succsidatent dans une prosondeur,raiment Meri que, et que remplissalent, comme des lapisintendus, de riches parterres bigaresis de plus belles seurs Laio-sεe doni tontes ces plantes talent fratchement inon-dω semblait Ies revest eneor d'une age 'argent. Au centre des omements symyrique que ces parterres

dessinatent surde sol, des sontaines, aillissant dans desbassius dedaspe, silevalent leurs et transparenis dans res bleu du malis, et te premis myon si solet qui commen it alasipassercle sommet de rhdulce, lambant in cette plui fine et bondissante, eo Onnan inaque leti'une tigrette de dismanis. De superbes salsans de Ciane, qui se deranginient a perieis scies ted de Lesia, promentient parmi les Murcleum panaches dentigrane et leum nanes de velo s. Letaon tales suries mons in robe de pierreries, et te canaes muriusi, a pollinit 'Meraude, poursuivait, dans les bassius,les mouehecd'or qui tracent surda sursare de rem descereses institissabies. Alcri moque is plaintis de ces essem captist ale callures melancoliques et thres, se Maient lasmille vota joyeuses et bruyantes, les mille familiainsise te es des libres esseaux ducieL Leriarin espiegla et confiant venati se poser a front immobile des statues. L moinem insolent et peMeuxallaitdsirobe la Murem essem domestique et s'envolait pouvant aumoindre gloussemen des eouveuses le chardonneret

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commeruntur encens, commeminat cantique mur

Comme elle se laisinit mollement alter Leette sanini, sis, enivrsie des suaves ode s duri min et si datura, eontente Sine dans ceste clieuxet4'scroyant presque reine esse se rapprochad'une haute et longue cro

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Des vota de lammes pures et harmonieuges montaient Versiim commemne priise servente et pleine d'espiar, et des voicd'ensanis sensitrantes et argentine rapo datent licelle-ei comme les promesses Ointaines duiniel exprimsies par rorgane des anges. Les religieuses dimient: si Ange duraeimeur, tendisu nous tes asses lectrices Abrueinous de in bonisi vigilante et de in comsciante piliε. Dieu adiit indulgent et doux enuetoutestes Vertus, entre totidis testicissanees dicies; carit 'adestinsili secourir, a consoler les ames, si recurissis dansu Vnse sans Musiure lecta es qui soni vers- auxpiedid Christ, et Dies presenter in expiation devant

in justice Memine, o res-Salati Et les petites isses repondaten d haut de Ia nes

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Puis les vlarge reprirent o te plus eune et te plus pur de anges cest tesque Die ericle demier, ear il te crin apris rhomme, et te mi dans te paradisio ratre On compagno et son ami. ais te serpent vim et tu plus missant queto sur resprit de rhomme Uange dela eothee deseendit Our punir mi, tu scivis rhomme dans rexit et tupris sol de infimis γ'Εve mi aucio , '

monte et redescend inressamment dela teriet auceieux,

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Is I ELIA. de leur chemilla couleuvre et te scorpion, prδis hia-- per sur son beroeau; c'est lai qui ouures las secilleta clumisses quand nous cherchons dans le tene sacr una mede a nos maux; 'est tot qui nous sat renconueresors le verset qui convient notre misere, et qui metamus nos eucles lignes fiantes qui repo sent la tentation. BuInvoquegrange gaesten, dirent les Vociensantines,

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de me qui s'Meve et augmente aveo teragesin d wleii, ii se decida si sonne a la rille diciolire interieuret a salae demanderaclia par une curiise Au bout dequesque instants, inqui rapporta decla par de Psitrangere e est ainst γ' oncla dsisi a me fleur qui, dans lalangue symbolique de Salams, signissiti Mim VH- marina, qui man enset e la science de ces emblemes Orientauch LMia compri quela'sittitis adie insiv eabie, et repri seu te chemi decla ille.

et d'adleurs eis est polim ii adleu lantemel, ne 'rerite des maris a traveremne rille, qui eussent pu

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208 LςLIA.vous distratre de vos revertes et porter te bruit durior cledans votre meditation Vous semiae uous ire impose eette retrait commmune pratique de dDotion, et stetessori ou votis rattacher a decidsies devenues trosetroites pour ous me parat asse triste. Irra dans instaterminations pueriles queique chos de maladis qui atteste rimpcissance de rame . Plus vous ous eis cea de nier par uoue conduite ramousque ous mea uressinio plus il me semble que cet amour mal ureux

Je,eux simplement rester iei commeon malade dans umbospice, polim sciure unissigime nouvem On se nne hien decla peine et is impose bien des privationspou meri te corps O peut bien, e pense, eo mire auiam potir usiris rame torriu'elle est menaeae de mula die mortelle Ilo a longiemps que e 'egare

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ne ous wuvenexpas amenque je suis seinme et que maearriere est limit in de certain termes instanesum

bies il lallait me contenter de ce qui sest rorguta et lu

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dintelle et doulo eum dans te monde La sociata lui refuse les grandes occupations de resprit et rexerescedes passions politiques L'siducation premibre, dontelle est victime, a ren presque toriour impropre auxtrava de la science, et te rejugsi in ovire tui rendlaute aeuo publique impossibi ou ridicule ollui permet de cultive les aris; mala les motio γ'ilce eitent ne soni a sans danger, raustinia des minum est ut-ine plus dissicile hin caracthre asesitique qu'a

deat decla vie, ne Iaisse polat de repos , eeo qui en