Oeuvres / Delille, Jacques, Volume 3

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Les sublimes penser et les vastes dessetns. maiestueti eneor dans sa ruine auguste,

son air imposant, his laille robuste, II semiae que durirone inέbraniable appes, L iardea de Ilatat p/se en entie surdui.n commenceri et la nuit dans sa marche tranquille, Et desiuidi hraean Ie repos immobile, Son molns silentaeo que te proson respectuo' la Aule attentiva imprime son affecti

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. PARADIS PERDU.

Pour nou son sceptreta'or est Ia verge de ser. Ρourquoi torsque fur nous gronde encor so tonnerre Delibeζrons-nous dono surcia pati surda suerre ZLa guerre nous perdit, nous perditio ur amat , Et te ne conetois vias Ies termes de lataix. Que terme accorderat ummai tre a se esclaves , Qite les fers, les prisons la gene te entraves, Et tout ceriaeau vaincus imposent les vain queur, Que trai te, quelle lo convient a vos graniis coeurs pDe nourri dans notre ame ne balne implacable De harceler sans sin te Die qui uous accabie, D insultera la force en conservant respoir, De socoue se fers, de miner so pou voir, Et, usque dans les cieu troublant facio uissance Attrister son triomphe et lasse s vengeance,

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II est peutiaue, si est une goae plus domo

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Veri te stata Orient nous inurneron nosseu ,

Et sue nos corps stetris . que ronge u seu culsant. Un air pur versera son haume biensaisant.

Mais qui de nous ira cherche ce beau rivage pQui de notis,toursvivant celeuible vage, Seu uris, dans rabime et dans Pimmensita. , Percer de Pinfini Ia vaste obscurit4. D 'avancer, flansonoer dana cetis nuit palpablepis Qui Pourra , Pelevant Tune alle insatigabie.

Monte , monte satis cesse, et Sun via assurε Arrive triomphant a terme destre pumes postes enauana, ea nombreua sentivelles

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8 PARADIS PERDU.

Alle dones, de inon sori compagnon glorieo, Qui dans te matheur, hine etes l'estro des cieux,

Concerte entre Vous e quidans ces demeures,

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o is plute oraseuse, ou lea tristes stimas i

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M PARADIS PERDU.

Porte se pas errans et aes langueur reveti se ,

I eis que es fier rivati des outes olympiques, Des combat ne ens et des rates pylatiquus,

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tas uns de Ieu destinio ur romper la riguear Luttentilagilite, 'adresse et de vigueur;

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M PARADIS PERDU.

Cliaque accent les transporte , et ces douces inervellies De la laute en exta se enix renides oreilles. D'aut res, par de disco urs , charmes bim plus puissans, Les discour vont ad ame, et Pharmoni aux senso' Trompatent plus noblement Phorreuerau noi abline: pari fur es baute urs 'oti leur raison sublima Planai d'un vo bardi fur et horribie Iieu, Ces esprils immorteis flantreten aient de Diei; Iis discutalent seclois, a longue prescience De lotu sur Paveni exersant saluissance, Ea providence auguste , et tu terme certain Ou marche d'unias suru'immuable destin. De mille obteis divers leur a me embarrassde De dedate en deζdale ζgarait salensete. Tour a tour revenalent dans leur long entretienL'inexplicabie inigme et dimal et dualen, Les vives passions Pemri qui te surinon te, La liberte les Iois, et I gloire et la honte