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Iul-mδme y Ioger, et ii se trouve des gens qui se fient plus que tui . sa solidit., qui y logent sans Craicite, et
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em pie, qu' ii y a Par torii des Substances simples, qu ilappelloit Monades ou Unitsis, qui sont les Vies, les Ames, Ies Espriis qui peuvent dire Moi, qui selon lo
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a des perceptions Plus distinctes. Les Μon ades qui soni
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lavant socInIen, nevera de Socio. nommἡ Wislawatius, qui avolt employo contre la Trinit. la Dialectique sub . tile. doni cette secte se pique, et qu)il a Volt appriis pres, que avec la langue de la Nourrico. M. Lethnitzsit voledans ian Ecrit in titulo. Sacro saracta Trinitas per nova inventa Logica deserata, que la Logique ordina ire ad grandes dἡfectuositsis, qu'en la sui vant son Adversa irepouvolt a voir ea qel quel avantages. mais que si oti Iarhsormoit, it Ies perdroit tous, et que Par consόquent Iaveritable Logique ἡtoit favorabie a la sol des orthodoxes. On htoit si persuad 4 de sa capacitά en Theologicique Comme ora avolt Propola vers te commen cementde ce Si hcle uti maria ge entre uti grand Prince Catholiisque et une Princella Lutherienne, ii sui appellis auxCoti retices qui se tinretit fur les mOyens de se concio Iter . I hgard de la Religion. 1l ti eri rhsulta rien, si non que M. Leibtiit E admira la sermoth de la Priti cesse. Le Lavatit Eveque de Salisbury, M. Durn et . avant 'en sur ita reu Dion de l'Egli se Anglicaries avec la Lutherietine cd es vlies qui avolent ἡ iis sori go utoes par les Thὐologietis dela Confession d'Augsbourg. M. Leibis nita fit voir que cet Ε 'sique to ut ha bile qu it Aloit, Davo It i
rance uos Religions. M. Leibnita la sontencit controlati Μ. Pelisiati, devenit avec succὐs Thἡologieti, et
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'nir Ies mauua is est eis. Malgrh la grande estime qu on avolt pour tui, on imprima totas ses rat IonDemens avecPrivilege. tant on se fioit avx rh potitas de M. Pelion. Le plus grandovvrage de Μ. LeibnitZ, qui se rag porte λ la Tithologie, est sa Theodi che in prim leti IIIo. oti contio it asse2 les dissiculteg que Μ. Bayle avolt pro potaessur l Origine da mal, soli physique, soli morat; M. Leibnitet qui craignit i 'impression qu'ellespouvolent Dire fur quantith d. spriis, entre prit dyy rhpondre. It commerice par metire dans letaei M. Bayle qui ἡtoit mori, colui doni ii voulo it dἡtruire les dangerem Tadonti emens. It tui appliqne ces Vers de Virgile: i Candidus insueti miratur limen Olympi, Sub pedibusque videt nubes et sidera Daphnis.
II dit que M. Bayle volt presentem ent Ie Vrat dans saSource; charitsi rare parmi les Thἐologiens, . qui it est
fori familier de damner leurs Adversa iros. Volci te gros du System e. Dieu volt une infinith da Mondes ou Univers possibles,qui lous prsi tendetit k l'exi tetice. Celui en qui Ia Combinailan du Bieti mota. physique. Physique et moral, a Vec les maUM Oppotas. Dit uti Meilleur, iambi able aux plus Granii S Ghometri. ques, est prὐ tarsi. De la Ie mal quel conque. Perinis, et non pas Vo ulti. Dans cet Univers qui a merith Ia prἡ-
rence, sorit comprises les do uleurs et Ies mari vallas actions des Hommes. mais dans Ie moindre Dombre,
et avec les sui tes les plus avaritagelases qu'il soli ponihIe. Cela se nil ericore uileiax sentir Par uno icto . phi. Iosophi que, thἡologique et pc utique tout ensem bio. It ya uti Dialogue de Laurent Valla, ou cet Auterar foliatque. Sextus fils de Tarquin Superbe Va Consulter
Apollon a Delphes fur su destin ὀe. Apollon Iui plodit
Sextus se plat ut dela prῆdiction. Apollo D rsi pondque ce n est passa laute, qu'il nyest que Devin. quo Iu Piter
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mais Sextus declare ne temerit qu'il ne peut renoncer 'I'esperance clyὐtre Boi, et syen va. Aprbs son depari. Iegrand Prhtre Theodore demande . Iupiter po urquoi iln a pas donnh une a uire volonto . Sextus. Iupiter ω-voyo Theodore h Athenes consulter Minervo. Elle luimontre te Palais des destin hes, o si tant les Tableanκ de totis Ies Univers possibi cs depuis te pire jusqu'au mei I-leur. Theodore volt datis te melileiar te crime de Sextus, dyou nait la liberto de Rome. uri gouverri ement laconden vertos, rin Empire utile . une grande partie dia gena ehum atra et c. Theodore ri a plus rien . dire., La Theodi che seu te sum roit porar representer M. Leib nitet. Viae lecture immense. des Ariecdotes curieulassur Ies livres ou les Performes. beauco up d'si qui th et mhme de faveur po ur tous i s Aut eurs cilὐs, sut-ce entes combattant, des udes sublimos. et luminenses. dearaison memens au sonit deεqueis oti sent toujours l espritsῆometrique, uri illic, o si la tarco domine, et o si cmpendarat soni admis les agrἡmens d uno imagination heure uis.
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En in Aditant sur Ies dispositions de mon a me dansio ut ea les situ alio iis de mae Vie, je suis exire mementisoppo do voir si peia de Proportiori entro les diver ses combinailona de ma destinee, et Ira sentimens habitu eis
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hIlneis de bien-ou mal-htre doni elles myoni assecto. Lesdivers intervalles de mes Courtes prosphriths ne es ont Iaisia presque aucun tau venir agrἡable de la maniere. Intime et permanente doni elles motit affecto; et aucontraire dans toutes Ies miseres de ma vie, te me sen-tois constammerit rempli de sentimens tendres, tou. Claans, distici eux, qui versam uti baumo saluta ire sue Ies bl essures de moti Coeur iravrh, lambiolent en couinvertir Ia douleur en vOIupth, et doni I'aim able in uveis