Choix littéraire, Volume 10

발행: 연대 미상

분량: 249페이지

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tu qui mirati par ne inspiratio torio siaureuse seisit ἐκ embrasse acia sola te Hai, is beau , te sublimet votis ave beso in de ceti. siergi d style queri Aude ne donne cinis qui emble participe de rent usi me , cqui presentant les objet seu te potnt de inele plus stareant ptavim rapidementa audite sentiment doni rinateve est pωεια Io, en dirai pas mantage, que voerem desti se rassure, ΜONMIEuc; aecla respecto res laisse in Ρublie te sola iacile de tro

ver dans l)ωumctation des tale qui uous sontinestares, celle de talens que uous possedea.

idem,' se propres sentimens. En esset, si rheureus acquisitio que pusti m n ous adoptant, ΜΟΗs1BUR, est unt tomphe public , a perte que nou Gploronsen, me tem est une perte publique. ous -- non approprie te grand honuue auquei

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propres parilaulier Gl Aouae bien communde humanis; si apparisnoli a quieonque almeles Mures , laciniens, Ma Philosophie il

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inimitabie. ἀ

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substituant Ouvent a leur hisioglyphes s eres le tangam commvn, a si bion Aendu leue empire en leur attirant te juste hommage doeeux, me qui ne les conmissent pac Degrand hommes qui mχcoutent in que te fore plus juste auroit si me permetire Geouteroces grania hommes doni la gloire a ourni do beau malim a celle de . de Fontenetile, serotentiacis dignes de te essire , de Pr&ier en cette partie in e dois eratndro de profane in s et tropis dessus de maiori . Mais dans et meu Mecte de mon incapacitε, te uis me permetire es expression de laci moissance ne refuserat pa te plassis de re re graces a Mese biensatiant qui m amis en ε tacd'entremi saugustes mysteres ne laborieuis initiationis Maias devoit4s. Ila rempli rintervade , in combis rabim qui separes las Philosophes Me vulgalae. Lia. gesse 'habis pius ies aeris, o arrive a sontemple en parco an des hemin faciles aio cles spriis se tiennent par me chalae non interrompue. Que bienses plus digne de la re. connoMane publique 3 uel homme rendit Omais, phas gran servie a Phumanitεῖ Le niuetin hancellor 'Angieterro connul

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attaqua les restiges de laseusse Philosophie qui Qnoit impctieusemen de so temx ilpressentit, ii devina qu'il existoitune me odepou eonnolire, it en avertit sontagete, mittes inles fulvans enisa de la trouver. Desse eartes ninuit ou recueilli ce trait de lumiere ii appri a Iavans a ignorer, aux Philosophes a douter, aux Physiciens a observer pa iaci tam de vrais Savani, de vrais Phialosophe , de Hais Physiciens Ilinendi lira, se de tous emca qui it pari , mala it ne pamis γ' ceu qui ctoient e ctat de Pentendre. Cette portio de la socictoque te vulgalae ignorant res Oisive eomme it crest les inres immobiles, parce que leur mo ement luirach e les hommes studieuc, les gens de Letires profitctent seias de la revolution ause paries. eartes dans te connesilanees humaines ilinostreserv am de Fontenelle de mactasiseriou-vrage de Baeon' detestartes , de familiaria serrae Public entier avecta Philosophie de re de laciaison Susage commvn, de Pintrodu re, de ratablis dans tous te genres' dansious te estpriis. Uexctution de elis grande entre sera mandost bien dea'ut' des talens. Lecho

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LITTERA IRE. 23r

dier. a multitude se reisse in troail , in aut a condulae par decinemius semct de Mursie est e mea fatim de Fontenelle; ne cessant,mais de platre Our arvenis . instruire, de apprimisant to cies ommes ave la rassion parce γ il la montre toMouramus es traiis

Gest a si que a plus haut astronomia Hest alta me pseuditiones plus prosonde M. viennent entre se maius de malines do gosit pardes de ovies es graces qui captivent Pia magination Les sublimes s ulations de Deiacartes surrae Syst me planetaire ne paroissent qaeu badinum, qui elopant a lecte plus sepetaeie Mute la thdoris des inres , is conduis sans effor i γ' cene vaste stiri iante hypothae entre te par te meiens de la multiplicit de mondet les compil tions laboriouses dura in Vminale surae preia tiges imposte. du Paganismo , ne sent plus

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tenelle.

Que ues fruit peu Etre pr&oces de a te nesso litigiatre ni par pe dignes de tenae place dans te recuei des chess-d oeuis donius ni t fulvis de pres. Loci deis sone se lable penside rendon graces, sol a la desties sol a ramour Paternet dem de Fodiene te applaudissbns ave reconnoissancea ua sentiment qui remp ehant lataee desiastes

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un te homme aeon a D reprocher ave aibgreur Savola pris parti e faveu de se eo temporalas, de se compatriotes , dans euesameus &raternelle dispute de la inminenco de si tes C que Cicero avolt dit a ramtiquite, o a se seire u crime a Μ. de Fo tenelle de te penseret ardons mous de cette

nature des uvrages anciens nou sei traiter Serre in de preventio dans, de Fontenellera preserene γ' donnoit a relegantectistes, acia Ahode lumineus , a lataneir cision, qui caract&isent laco rages modernes,

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eo de nationalite litictaire. Ehra comment Μ. de Fontenelle se serott-ii 4ouili de eo sentiment dans te mallares oumises augoot, tu quia a pori iusques dans les athematique, I parte de eite gnaeh ininibi avecti melle it persevcta eonstamment dans le Carissiani te Accoutum a rosterae Uidein lyatis tractio bannis pοur amat de la Physique parte plus gran gente de latrane , si ne ut seresbudre acies fvola reveni fisus es auspices d plus gran gessio de rΑΜleterre Lent astissure des v itsi parce qaei les examinoit, a Palmo; pas γ'elles lui chapassent quandi emyoit Pen tre assues. I doutoit longiems avant de voir, ii ne revenoitias au doute apres avola in mais en se fixant ave une es ede religion aux principes de physique gεictale

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