Choix littéraire, Volume 10

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Nemon aussi moder que sublime,' te a 4 εΜ. de Fontenelle tuumqme. Attaque plus dlane seis par de adversatres redout les , si essita des eritiques am&es ubquantes , humiliantes meme , si un te hom- me potivost tre humili et vix traiis es plus

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Teis fluent les tralis distinctisi du eam re

mais,

Democrite a m a motus cent aus.

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te, te ser de Galil ,- pou passer dans

les la Sage, Henricle Grand sans cesse i qui

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quinias par desiuiet factieuc, o assaillis pardes volsin talom, quela monumens melle traees inemeabies de iniustie de hommes'

on a se piandre comme in Conquisant e turbateur e Prince que les conqueres coni γ

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a approcher Buvent, Minterditisne sonction

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doni rexerete me seroi si cher I sens quae te ne po rois me livre in sentiment de mora coeu iam me laisse seupςonne de flaterie ieria que e ne ourrois peindrestant de vertus an blesse eelle qui releve te pri de to te les vitres Falloit- actas que our, velope en entie la grandeur de so ame, si

nous en coutat les tarmes te plus ameres, es

inminudes te plus cruelles Que ne Duvon nous ignorer, que ne puls-j oublier usqu'odit ait porter es verius presque sur-humaines

qui se deployent dans te circonstances es pluseritiques cles plus aecablantes pou phumanutε, te mΦris v anger, te sacrifice de sol meme raecor si 1ssicile de la ressignation de la sensibilitό Nous e sommes objet permanent de ceti sensibilis qui cataflarisele mellieu desinois Ce 'est pas u vain ture mur tui que te nom de se Commun He rexpression du sentiment qui domine entur nous oecupons dans son coeur a memeptae que es eniam nos droit e conso dent me les leura, ciis almen a disputetave nous 'obstance' de respere, commeil nous permetient de disputer me emes

reuis

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combim una re se en respectiale Iur Padoption des Aru ctrangere.

innocence.

Qui ne sentioin auiourdnaui que charmeus repandent fur nos i ta combien iis sent cessiiures a noue bonheur, sol que dans cesctu sta, tars en apparence, vεnctabies en enset s. et excellent Discour compose a Paris par Μειδε Mehetan, ut recite a Copennam par r. De a B umelia rae iour de rouverture de Lewn publiqueade Langues de Belles-Lettres Francoises mus don-nerons dans te volume vivant celui de r. Malis muris,Me occasiona qui est blande lui, a qui en est digne.

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ros, o que tenant u pineeauiglicat, iis tr cent ces grand mouvemens qui te agitoient:

soli que surae alles dumόnie , iis melarent les vastes Globes de cet immense Univers , o quo portantis oei hardi fur lamature , iis tui are ehent se plus intimes seerelsa est que plus no-bles encore , iis sVlόvent i qesau sein de a Divinitis, aetis diselopen se glorieux attria buti, Mannoncent se lota ave majeει ouqulamis des ommes , iis prEsentent a Vertuseus Phahit des Graces ' enchantent nos sens

Graces auctumictes dontes Europe brille εtoutes paris, apologie desaeaux Aris est in ille di si e sol fui amat superflu, Hest sans dout dans rite auguste assemblae , od de meique edi que e porte me regards, en uois que des citoyens qui te timentin qui

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percies auantase s en examinant cette propo