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Μonde chaque page nous montre radoptiondes ris ommerae partage de plus grands'inees Voye Alexandre, cette me si elevees
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rassemble dans la Suede outes le lumictos de la Philosophie dans la personne d Princerae. Philosophes is transplante dans lem est s
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talavent ali plus hin deses de missane dodestoire.
saco NDE PARTI R. si adoption des Aris, en clevant te Prinee,
les poeucis te plus trous Ili hinnissent es
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iu testabies maxime qui apposent que te bienpublic Melie des particulier soni des tres dissesens En ad cistant les moe sin en Ala xant Ies sprit , iis combient respace qui diavisoit elui qui commande' elui qui obses, iis raproclient leu gloire que err ur avolt desimie, En partant de la gloire , te Ueniens potnt
tineisloire 'o Uemanent aucuns mantages.
I parte fune stolae solides, qui liee me rutilite publique , suppost, dans te ei de PEmpire , plus de lumseres O plus de bonheur 'au dehors une Missa e plus eclatante & mie
Ie dis fiscir que les Aris adoptέ augmen tent les lumieres Chaque euptela in certain nombre de connoissanees di de talens Lam ture verse ale pres partout se bienialis aveceompensation. Μὰ e . la sola de tous les h maini, elle eur dispense se don me uno
Prudente messere is elle les Moera ncles diavors climais, se leur besein te plus pressens. ais es dons pars sur oute la terre, si aut les rassembler, es Art semblabies vix graces qui timent a se teri toriour pax lam in se separent me regre di aves Perte,
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objere les plus petitsin te plus ego nes in volt te magni ue prόsent de adoption.
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I Uest polat de morteis qui missent se susfire si est e de pay qui puissent se passerdu seeour des intres Lamature en divisantis Peuples par des mers, te ais is par des
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Mais γ'u Empire sentant e qui tui mat que , 'empresse de aeque ir; que , embl bleo et insecte in sim qui compose sonimis G sue de toines le fleurs, si d&obe actaque Nation e qaeelle a de plus utile iovola Pindustrie e grand objet de a politique,
metue en omne es fiuit de la terre, eo vertis en or las produmons les plus viles, fi
te, grossi mus les ours par te concour desεtranger qui vom en Aule pe ter unaetat olice inre Uest potatis vice, e fleuritie commerce, o iagnent les agisnens, ea se mutit lient les re urces. Fortunε habitans desbords durauideretέe, 'en atteste votre bonMur. Comment vos in eo mareeages sonNil deumnus de platae sertiles , vos o Ddes des Villes florissantes, vos haumine de Palais Pomp*ux, Vos Barques de pεeheura desalot-tes redoutabies, qui ouvrent les Mers, scraeportent dans vos superbe porta te riches se de Punm de vitreionder ous mea seu es miracles en appellant les Aris de ex tesmias de Univere, en uvrant, agile tout mctite fugitis, a ruus talens trangere.
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Bannisse les vom saltesia noula eette salestgdomestique inis que cou au dehor ne po teΣ-vous polat a voire uissanee 3 QSomne disse polat questa sortune des Batsest avehi e la balance mehe oujour a lalongue desedi de lasagesse; cette sagesse consiste surtout omnis oute les parties ducorps que onagouverne, tan decies seire uir de concera; 4 metire his 'habitet i dans I redoutable prosession de a guerre. Ο Θ'eme qui est plus propre a ce Mimbi avantage que adoption des Aris' Unita qui ne communique possit me sesvossim, ne communique guctes avec tui Ane. meme sprit qui elo ne de Aris ramgere, scio ne de la culture de Artanes dans
une utre Province Les Provinces se regasedent mutuellement commeistrangeres , ωs emtretiennent dans une es*έce Pindisendance r eiproque de clara desunion, consequem-ment Passeiblissemen de forces de Etat. Vadoption des Aris exeitant lχmulation, sevellunt ride du commerce, anime par- lurcthange mutue des patriotes. outes les dis. ferentes parties Sun Empire se r issent a sidans, sessi potnt; ou les ruons Aoutissent