장음표시 사용
71쪽
die des in es de a vie, ne observationfine et Odtrante, digne i lcisis d'uti meto etd'un age. resque partout che tui relenient
onaux soni pris, non dans 'htroite en inteaeam cito, mala surda vaste cenera molli . Ces traiis Sobservation abondent dans Aristophane it os dono plus ad Mile de ita holair
72쪽
entre vischyle, Sopli te et Euripide Xanthias, esclave de Bacchus, et Aquili; run des iuges
fouinis au potivoi de Pluton , causent tranquill mout de are inpii se passerari'intori r Eaque lotainsa a conversarion t Bemrons vir orsque nos attres soni quesque hos ave Passa ,
des coum nous attendent a) o Partout mill rades sathles et des bris, dos gens qui obrissent et des gens qui commandent, o peut veri r la
73쪽
so εω ait la personnulit . dii poete; et cela es si ura que la com6dih ei, perdantua liberto de
74쪽
purent reno acer si vitea leur commuIncatio directes aveccles spectateum, et iis invenierentis prologue mur ne potnt dispariatre taut entie derrier leum fictions. Mais Aristophane 'en omit a reduit a ces x lenis mesquis neseisit tribune eontrearibune eelle du in re contre celle de ragora, et du haut de se ptimch haranguait se eupte ave autant δ' surance et
race baletae donida voci rememblato celle runpore queron Irille i). II partan des assilires de rέtat et des siennes avee rapto run homnis fur de sonisit, et, hie plus libre que ses rivaux de la place publique dedaignat te premutions
75쪽
pris, parce qu'il peta avec is res et deda foule
76쪽
cipes. Quoique cetis parti des . choeum 'Aristo phalae, ou de Poete parte en o DonL, Stat sana
contrudit la plus interessante is udier, iij en a
non plus a sol ce oratoire, mala inspiritionbrique Cette inspiration est ependanti dos grieis deibitarque contre notre Poete, qui, auli eiu de censeri ter dans te limites u genre, limites non encore tracta. - temps,' istophane a pris solivent acla tragodie te in religioux et sublime de se chinum, me Lainsiχη qui duitiatre svam, te tragique et te comique. PIutarque, en cum,arant Aristophane a mnan dre, commerit aurai pinymo aperi emon, ne cest Pas a Nu qaei melinit en regard dei poetes. disiarent d'age, de caractere, de genrου, et qu'en Voulant les memrer Raane rugiet ab estu i murniit etve aio droit aciniae de ma Merde justico et Peut red'intelligeram. Mur jugersariemen dein poetes austi divere, si fallatile placer dans tautos leum conditions d'arta de
77쪽
laisson volciuriu'-x Agiona les plus limates, parce que rautre, pou demererer fidele aiax inbgeuces Sumari nouumu, a in ne jamai quaveris terre. Il ut si plus juste 'admirer da Aristophanem gente lyrique du premier orde
s pleida sol et puissant, rivalisant tanto d'en- thousiasme et de vehemen inve Pindare, tanto d'ampleur et de majeste avec te vieit Hom.ere. Le premier de ces deu caracteres se trouve auphis aut degr dans es hymiae alternativeuient chantes a lamn decla iece de Lysistrate, v. α47-13ai par es Lachdemoniens et les Athoniens, hymnes detrix et de olei respiret plus pur patriolisine te seconii, dans echoeu de mise ux v. 986-8oo , o te grave
aussi simple que religieu et solennel. Ie ne vois γε ce que la comedie polivati petarea ce deploiemen de haute et magninquo poesie, oes V oureu coup d'aile qui emportalent aucies le poete et les spectateum avecqui I semis biei pluto tente de croire qu'il Davait profit
78쪽
mur totas a temptre Parim ange de nobi inspirationis e quera com6die 'Aristophane, mωὰ son ardente et infatigabie polἡmique, aurait en parseis de tropraec, de tro trivial, et
80쪽
des inimities personnelles, o si ali contraire lya eu de salari unit, de ues et enesminementlogique dans te altaques. Μon essein 'est pasd'entre dans ne longue dissertatio su cemini; cependant ii 'a par impossibila led ne une appreciation complete 'Aristophane, aus examine que a te son potnt de me politique, et potarqubi it 'est Ἀ-ainsi contre certain homines, qu' la distance ounous ommes,'eux et de leur fieri nous ju- Mons grand et utiles. a malignite ciet 1'envis, ou de motis de rivalite et de Mine Privhe, ne sumsent pas mur apiique de tela fatis ot eticam iuun poete eminini, est imi de se conciat ensiusqu'ar evoiraeeu une couronne 'pur rumpenso de soni itriotisme, et de la postsirite ii qua tare leslasilices de Ciceron et de fiant IeamChrysostome, it lautiis que celoete: aitote. de so temps te repr-mant d'une id6 outout a mollis d'un parti. Un rosum rapide deradministration de Phricles et des changemendi introdisits pardui datis Ia republique nous don-nera, leu que mutes es conjectures, is motde cette nigme. Pericles, qui aspirat a gouuernement 'Mthenes, et 'avait our tincre es obstacles