Menandræi Plocii argumentum ex diversis fragmentis

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Τrage se againe leton nobis, te sublime enthousiasmera dithyrambe lari rimsidis, mutis se

iit interprete de a vi et en alentissantainsita ementis mareste, a conserv&rallum lasciis e ledestre se uel la vervo brutale du allique, e qui adest dirissans dolite d'Aristo phane comme de phisi eum uires poetes, qu ilcomposait se poemes dans rivresse I). Esses ontrune et raut re rinspiration du inmur, modifiee inuisseis vivant la nature de chamne, et la intum de la vie humain do it elles se*artagen tes eu faces Ille seu dono pas ψetonnersi la mussi 'Aristopluinem' pascia reserve pu-

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se a son mut γ'il passait a poete sesamarasareas ea ou ses nergiques de M. Quanta respece de contradietion Vm signate entro te respere 'Aristophane murum

miserit usait Stilleum de son privi e enet allant

io, linit prome triumphalement dans les rates. I est dono

evident que les anciens ne vortientias dans es allusiona quentes a decimam grymihre ce que nou autres modemes, nourris dares le spiritualisme inr-n, pisuvo et devonsu oessa ementa sis.

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Ie terminera par quesque reflexions fur lecaracter morai de a comedie 'Aristophane. On troi e hien cheg tui, et a massaicia remarque e partant du dialogue, ii certain nombre de traiis qui rhuelent une contraimaaicodda a vanine dena vis mala Sest reacception Aristophane est te poete des fatis politiique, religion morale litterature, it juge out ii Hempare de tout il Sumetout mais Seulement par soli core matωriel. I xilest pas uti hi donici ne se fi- me arme, Statiour at aquier, sol poti in disendin. II est rhomme de spicuoque, te poete Minimpar excellenice, et a I semit hisnnant que Platon, mur latre conmaitre Athenes in tyran de Syr cuse, tui eutenvoyh de prinrencesses oeuvres detout auire de se contemporatas, Cette piadite ii lour se saltae retrouse, non seulement dans

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rense te de se conceptions mais dans tesplus petit delatis Aussi Da-Nil dans se pieces in lux de sensualith stae remarquatile commeexpression de minum. 'il conseille a palx, etc est la son theme sevori, ille parte guere auxAtheniens que duionheu materies M'elleleutleur procurer I leur Osis comme appa tomles plaisim duae ps,noutestes j ouisSanc , memeles pilis grossieres Les amnernent de latuisine athhnienne commerae plus secret mysteres dulit conjugat soni talsis surda scene aux)eux des spectateum. Iamais, Daucune epoque de hi toire des lettres, moyen plus materteis 'ontithmis au servicedurae ldhe POur se eonvaincrede la rigoureus exactitude de ce jugement il&ut, quandis a rudia ave sol le osvragesd'Aristophane j parte de ceu que te temps nous a legues dans leur in sigrite in qu'o en a compris et Afini es divers ethments il aut

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connii sertis explique te conia et a riclairer Et 'il est mi de dire qu'apres neci ture sorieuse des comediessesties intactes duloes e, upe ut aisemen se figurer te caractere de fragments il ne est pas molias de prεtendre qu'uti juge inclaire ut pia, a deisut de tout mciniament complet . meme de tota te intique mater-ure,dsiduire dii seu caractere de ces fragment lecaracter mora de a comedie 'Aristophane uti nous en reste-t-il en esset Que ues tires de pieces, quelque ver ora parties de veta conserves comme clariosith par de grammatrienso des compilateum. Le plus ouvent e sonides mois seulement et des locutions tombees endἡsuhtude, que ron cite a ture 'archaismes, comme nous citons le terme vieillis et les toursetranges ou inusitos de nos Vieux poetes. as

rages Aristophane triomphe d/ns te domatne desistis, dans la politique, dans te prἡsent, dansce qui vi atriourd'hui et mourra demain maiura venir, 'est- dire e qui dure, n'est pas a tui. Sans dolite o peia objecter quilious est arrive comparativement intactos ron ense a ce quo te temps a sat des euvres de totas se rival δ .

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composet' su iam doni es austi incompletes, Iepla de quelqu'une de se pieces perdites Cequebat dit, dans la premiere partie de ce travati, des proeωει de compositio du poete sumtpon prouuerlinutilite de ovis tentative de cegenre Ainsi, erae spete, Aristophane est lepeste decla attere, ce'qu'a delaut de demonstratio positive hmontremient negativemens se fragmenta Sans Mute it 'est a b oind'une lude bien attentive our dico iuri cequi se montre a chaque page, e dirais resque

chaque vers dans in com6die; mais dans cette comedie u is tant de mouvement et de te lamatiere, quio regiae en soliveratne, ' produitave iant de lux et 'hclat, quot se sat ais -

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a aucun idini dans Aristophane Non, Arist phane a solidini; mais it Vestias celui de S phocle, ni de hae eare, ni de indiere. travera renVeloppe materielle dinvisibie , d paupabie, duini, ii ne volt pas, commmces vis dela posiste, rinvisibin rimpalpable .l infini, E N dire te beau a tire de lui,meme soli es, et te metriout entie dans la forme. I in de ridiae

ressemble plus a cette lumiere physique, quidsicouvre et sei resplendi la forme ext6rie edes corps, qu' cette lumiere intellectvelle quites γnetre et les ideallae, Cestin politique, cen'est Pas un philosophe. Anfin son succes dans o temps tient ara fessis a grandeur de sanature de poete et a caractere positis et localde salohsim: de ces dein choses tu postarith luia pardonnoda seconde en seveur doda premiam. I suis arrive a lamn de mori tramir molassatisfait de ce que 'ai di qu'eflave de ce que e