Menandræi Plocii argumentum ex diversis fragmentis

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buis, inais donides esset de streiax se prolongerent longintemps apres a mors Ainsi, telo

'oi dii euple eleve surcle mines de arist cratie dans uniui de personnalite et d'hgoisme, et non dans rinteret d'un principe, te mut dulux substitue a antique simplicite la corruintisti et i vhnalith introduites dansues modum dola republique, ensincla guerre, une guerre ἡ- vorante ou Ont cabime la gloiresdu passe et les remources de avenir,4M sontries resu is dela. brillante administration de Psiricles. eis sontaussides potnis vers tesqueis se dirigent preriuetoujctum es altaques 'Aristophane me 'est potnt a Pericles qu'it Hen prend a Pericles mortd'ailleurs et protege parfectat ius in momoire si,

Sest a reta de choses donicit est Pauleur, c esta son influence in re persistante, 'est a sonoeuvre qui tui a furvecu Partisan declare desancienne mmum, des 'nciennes institutions, ilmursuit sans Pitie et saxi' reverio cles d6-

1ys passage de Valhre Maxime liv. 8, ch. Mamoigne dures et des poeses comiqites deletis spoque polir. ia gliare et leoni de Psiricata: . Veteris comoediae maledica lingua, quamvis potentiam viri perstringere cupiebat, tamen iti labris ejus hominis melle dulciorem leporem fatebatur habitare inque animis eorum qui illum audierant quasi Muleos quosdam relinqui

praedicabat. .

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Peuple, e terribiem'rroyeur Qtat aucumartisten' se stire te masque ni aucumacteur repr6Senteris Person ge gestin des successeum de Phrbeses, uti de ces hommes qui polimGi h la Ferre, parce que pendant a guerre iis soni plus mcessatres et plus obser is pendant la palx, cememe d-ugogue que Thucydide bus pein si dur, si in pit alae i), salis tolite is tui donnerce langage de cui sinter que hii reproclis Aristophane α). Vesta rhomme que te poete altaque

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radministration deda Mpublique a). Mutrimrien dire de plus nyrgique et de plus amer

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Verstes ouvrages .d'Aristophane, fausta admetire ensuit toute les restrictions convenables. me restera examine comment Socrate, Ieplus beaui te plus pur de ova les philosophes de rantiquite, et Euripidei de se pius granda

Poetes, nil este livres surcia scene auxi es de la Grece enitere. Ιci enchreio retro eram accusations d'inimitte perso inelle Aristophanehait Euripide, ditUn parce qu'Euripide est poete

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trag re, et par onsequent son rival de suecinet de gloire Socrate, parce querae philosophea horun proλω muris murriout comidie, et particulierement murcia comωie 'Aristo phane i) Mnesaisjuriu'aquei potntem asse iis soni rates; mais e sal qu Stamin- de Pres elles niseu de potas Iliaudrait admetire, infla sol de cestruit plus ou motos sondsis , γε on, Socrate Euripide, te trois novis tesplus vibres de totis ceu que te poete attache so pilori, ne resolvent de si rudes, de si se quente attein tes, que par de mi rabies misi de rivallia ou de habae personnelle a plu3 fortemison fa mibit pensemque les novis pilis ob cursoni tyimmi sis, et, qui plus est, immolessans anger, a quesque essentiment 'amoum propreiula'iniare fressia I sci est videlitque tomestis at aques dii satirique ont, memebui, que partout si fili une guerro aehon.e auxidem nouussiles, seudra. Nil se resusvi 44'oviden-

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Murson Fariotisine on sent qu'si volt dans Esestse, e meis aura me de Titan, comme ille caraciarise tui. meme I), rauisur des Perses, se soldat de Marathon, de Salamine et de Plat . Quant a Biripide, si est mus Arist phane uolui qui dans se tragiale a vovi pN auitae in hom- que es Dieuxis exist-tpas a). BIlya done uniti de uves, connexire evidente entre les opinion politique et revomnes dumete et las altaque qu'il dirige contre certaing

mmes ot contre certaines Chose a cohere

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antres de inestre seulement eu eruster C en

ctast mystere deda ouine n iptiale; aut , Vise, pesulante, d'une beaute plus materielle et quelque pe esseontee, date d me aluit d'orgie, et a dans se velites dii an de courtisane ia