Galliae antiquitates quaedam selectae atque in plures epistolas distributae Lettre de J. Bouhier

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cloe con Ies au dessetas qui Pεla flant. on volt encore deuet des gramdes totin antiques , qui forti fiolent i a Ville: l'une est octangula ire, & rau-tre est ronde; dans te bas elles y ont des troire qui servolent pour Epier, ce

de bon heur de conserver de si beaux restes de rancienne magnificence. Ony trouve aussi un die grand nona bre d inscriptions,& plusi euta niorceaux de

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tite colonne.

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quites, que i 'on rencontre dans cette Province.

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ti talens , & une antenne pendante avec une coriae tout aut Our, doni une

ter: ainsi est fati colui de Somnueres. Celu, de S. Giainas, rapporte par Boucile est singulier, en ce qu'il a une belle porte arentree & a la sortie,

difice paroit plus eleve , parce que te terrain vaen pente. Prῆs de la porteon y volt rancien pavε, tali de pierre vive si belle, qu'elle resemble augranit, avec des laches rouges : il va afleg Ioin dans la me , & Uest cor possi de quartaen de pierrct sori grancis & sort gros, uesinien joinis em

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son d'une colonne qui paroit y avore ete placee anciennement entre les

pierres civ pave; u repond au pilastre qui est enue les deux Portes, & se

atrois senetres quar rees, mais qui ont audessi s Un arceau de pierre. On

roient avolt place dans queique galerie que ce sinit. A present on volt en- Core a Paris un auue precicux recueti, parce que S. Em. M. te Caris nude Polignac vient d apporter de Ronae plus de I I o pieces antiques de mar-bre, stariam, bustoe , tetes & bas-relie se, doni d y en a de tres-beaux, ct bien dignes de la paria ite conno issance qu'il a de tostes clioses. On entro e aussi quelque1-um, qui soni sori estimabies, quoiqu'm petit non

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connu, puisclu'il est sori distinguε Par son bonsosit dans les belles let tres,&par ses bellos qualites. c 'est tui a qui je do is la grande Iescription de Thori gny, que j'ai enuoyE a M. te Marquis, a qui je sais auis mes cona pli-inens. se suis avec respeci,

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L ET TREDE M. BOU H IER

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Vossus, qui avolt adopto ces conjectures de fauniat se, ne tarda Das Leen repentir; & conarne n Eloit devenu in ennenii, ii se fit Lin platur dotasuter son sentiment , en ses reniarques sur Pomponitas Mela, Is. 3.

oui dire, que Proserpine fui fille de Ventu, ni qu Iercule e sit Ethani ou reux de Prose ine. Mais quoi pie cette raison soli bonne, it en attroit psi encore onposer