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Iuridiction eccisistastique du chapitre.
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des cursis de Paris au siij et des enterrem enis qui avalent lieudans te cimetthre de la cons siri e . Les eliano ines, institusis dansleur sigilse, furent attach sis au chmur et solamis au Chapitre dedi oti e-Danae, auquel iis juratent respeet et obsit Asance'. 'bgli se de Spint-Benolt-le Bestolarnsi, nonam sie uia paraVant deSainima rhe ou Baeque, fiat donnsie aiax chano ines de la cathhdrale
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Pendant que l'un d'eux la desservati diarant une semaine, i 'autre assistati aux offices de la cathhdrale, et alternatiVement .
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Elienne de Garlande, archidiacro de Paris, ayant bati une sigilse attenante k ses mai sons, la dota de de ux clos de vigne, et ysitabiit, aveo l 'approbation de l'hvoque Girberi, detix chanoines protres, qui devalent hire h la nomination et dans la dύpendancedit chapitre de N Otre-Danae. La prύbende qu'il possύdait fui partagsie en de ux, et servit a fati e les prhbendes de oes chanoines, qui requirent la monae constitution que les chanoines de Sa int-Jean-le-Rondy. En 1134, Louis te Gros approuva la donationdes fontis de terre qui leur avali sitsi salte par Elienne de Gar-lande, et ne s'y rhserva que dix-huit denters de cens '. Le Chapitre de Notre-Da me avait alassi la collation de plusleui scures dia diochse de Paris ; on en troiavera les nonis dans les troispouill sis que nous aVons Publi sis.
y I, 328, 333, 4b7; III, 406; IV, 70.
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Administration des hiens et de la justice do chapitre.
ment ce in hine titre, et leurs offices le nona de SergenterieS, Ser-
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doyennsi, Aecanatus, decania; celui de Sergent, Sergenterie, Serjantia, Serientia, Sergenteria, Sergentisa. CeS nom S Sonta assi donia sis avx territoires plausis dans te ressori des momes ossiciers f.
La proprisitsi, d 'api hs te principe germanique ou 1 odat, em- portant axec sol l'autoriisi, les proprisita ires hiatent en mometempS deS magistrats ; de sorte que les officiers institu sis dansleurs terres rhunissalent te do utile caraethre de fonctioni atres putilios et ii 'intendanis privsis c'htalent done des administrate urset des juges, aussi bien pie des rece 'eurs et des feriniers. A larigueiar, on potiri ait monae dire qu'il 'y avait pas de distinctiona sitablir entre t 'ordi e public et i 'ordi e privsi, et que ces deUXord res n'en salsaient qu'un. Les offices sita ient totis uniquementPublicS Ou Uni quement privsis, fulvant te pollit de viae d'oh ontes Consi thre. On ne connaissait, potar alia Si dire, Pas d 'autre Proseri sitsi que la magistrature, et Pas d'autre magistrature que laProprisitsi. De polivoli , la justice, les re levances hiatent utissibien des institutions patrimoniales que des institutions Civiles. En i 'absence d 'une administration centrale, leS CONS, PBr CXem Ple, reprύSentalent leS impotS, Par rappori ala Seignetar, qui luimo me reprύsentati te soliverat . Il est d 'ailleurs doti te ux que, dans la barbarie dia moyen age, te gotaveria ement dia Peu Ple elattrouxsi autre pari plus de garanties que dans les inisii sits de sesmaitres, et que la magistrature elat pu s'allier mieux qu 'aveo laproprisitsi. I 'imperfection dia systhme politique 1 sipondait a lagrossibi etsi et satis dolite aussi aux hesoins deS tempS. I a justice sita it done uti reventi, car elle rapportati gsini rate-ment Plus qu'elle ne cositati, et celix qui devalent la rendre de- Valent Surto ut en perce ir les Produlis. O utre qu'alors la con-naissa iace des lois leur importati heauco up molns et ne leur sitati
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nhrale sitati teli ement simple et si peia sui elle aia changement, qu 'elle s' apprenait, potir ainSi dire, totate seu te, satis avo ir he- solii d 'hire enset githe ni monae sicrite. Il est urat que les lύgislations locales sita ierit diverses et compliquύeS, et que, Se ComPΟ- sunt de colatum es tradition nelles, quel ques is modisi sies par tesseigne urs, elles sembleratent avo ir exigύ dii magistrat iane in struction particuli hre, acquise, soli par l 'situde, soli par i 'expύ-rienee. Tolites is cette instruction ne tui sitait pas in dispensabie, attendia qu'il se falsait assister, dans Ses assiSes, de Plusi eurs
de fati, et th devait Otre potir elix te plus dissicile.
Si la tot ne changeait pas oti changeait peia, le droit se trRns mettait par contrat, Par libritage ou autrement, sans laisserit' ordinatre aucti ne pretive visibi e Permanente et authentique de Cette transmission. Et tors iu 'il sitati contests, ii se si is ait par te duel ou par les sipreuves judicia ires. La cause Se Pen fel maii-elle dans une discussion de ii tres , 5 molns qu' iis ne sussentem pre inis de teis caraethres d' authenticiisi que in sincύritsi 'etipsit hire nisie satis scandale et sans risque, iis De Valaient qu'IU-tant qu' iis hiatent, appuysis de la pretive testimoniale, e' est-h-dire tu isimoignage des person es solavent mentionia sies da IIS COS
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monae code psinat. La pei ne de mori, accompagnsie solivent de supplices horribies, sit ait pro non esie contre la Plupari des crimes et contre uiae multitude d 'actions, mises an nona bre des plus criminelles par la tot civile ou si odale, et par la tot eccli stastique. Res aut res Peines, y compris la mutilation et les amendes, qui allatent solavent jus su 'a in confiscation , ύtaieni g. labralementiaissi es h la diser. tion dia magistrat, furto ut depuis i 'abolitionde la tibi Salique et des a uires codes des conquύratiis barbares. Λ in i l 'administration de in justice exigeant peia de juris pru- donee, les solactions judicia tres potivalent pire facilement rem Pli QS par te se igne ur oti proprisita ire de la terre, et la juri dictionso troia vult natu Pellement unie k la se ignotarie ora a la proprii id ii ne ita ut dono pas notis bion ner de voti les chano ines et les a uires hi ni fici ors de Noti e-Danae exercer, sui vani l tisage dutem Ps, ta magistrature dans te rossori de leors pr. heiades et deleurs hsini sces. Comme les potivo irs D i talent pas divissis, cette magistrature embrassa it a in imis te potivoir judicia ire, te pou voir administratis et te commandem nt de ce qu'on petit a P Peler
46. Νous avons via que les pr. vois de Νotre-Danae blatent nun ambre de douZe, dans uia acie qui petit remota ter a Philippe
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m Gyenne et tu basse justice ' ; qu 'iis tena tent des assi Ses, et Pou valent ala beso in re iusiri P aide et assistance des habitanis ' ; que
su 'il leui tali di senilia illas sermer et de vendi e les revenus dela justice '; qu' iis donnatent i 'investitiare des censives et r. pon- latent dii payement des cens'; qu 'iis avnient i 'intendanee des marchi s '; en sin qu' iis recevalent les acies des particuliers M. D'un a uire coisi, iis . talent sermiers des chano ines et de leui scopi . bendiers' , et enco ut aient in Peine de l' excommunicatio tis' iis ne leti P payalent Pas leui s rexenus '. Le prsivot de et nouPuyait totas les ans ata Chapitre, Pour Sa Pri Volsi, trente livres Parisis, Sol Xante Sotas Prox inois, uia inuid de hi si et tin timidii 'avo ine ' . Les rentes et auiros revenias cles PrύVota sita ient gύnύ-ralement de monae sorte, mais de valeur dissi rente. Celtii de Bagia lux perce' ait quatre lix res Six Sotas, di x naui is de viti,toutes les amendes de sa justice et illa ut res dro iis casu eis, mulsit renda it sol xante solas a l' Diaure des heures '. Lorsque leui rentes ne leur sita ierat Pas Puysios, iis potivalent salsir les biens fur tesqueis elles . talent assises ''. Les prύvois de Rogoy et de