Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

발행: 연대 미상

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Coaps R, A N II fi s. ere fossile , 'autres se nourrissent de substances vegetales , Hly d'autres vivent de substances animales, 'autres, doni appetit est plus tendu ne se ornent Ointo u seu genre. LE Ver de terre se nourrit du-εme limo qui tui fert dea euaite. A aide 'instrumens doni a structure tonne observateur , la Puce Wle Cous pulsent dans nos eine u alia ment succulent, Psbeille Papillo re eissent te plus prεcieu extrait de fleurs. Huitre uis son caille, reqoit avec ea de a me de corpuscules de Insectes de differens genres. elle est encore a nourriture de Penorme Baisines sio goster troit ne 'ouvre qu' i'ea de later elleen avale une prodigi se quantite is aprἡs que son vaste estomac en a separe les sucscies plus novilissans , elle rejette lesuperfluisve force par deux t au places surria Ete Le Vera sole ait se delices de la euisse du meurier. e CheneVis,

.le mi Naisent a Chardonneret Caille La Erebis te Boeus, te cietes, e Cery vont chercher dans es pratries lapilure qui leur a te destinee L mutour ringis, te Tine, te tori appelles a iure de rapinesis de carnage , portent partout i iasolatio .la mort La rivis, te Canata, te Chas,le Chim recuenient les restes de nos table de nos uti sines, Qviventisinsi de meis fore differens. Homine, te plus friandrae animaux appellera lui outes e productions de la Nature , brce tous es climat de satisfaire a se gouis

transforme te vegeta e animal, animal en egetalassa quelles libri 'ptizo; operations, perieures a lovies de forces de la Chymi , la pes sur igne extrali tale de la terre ce jus delicieux te Ver sese, tire-Nil dumeurier e fit rillam Coniment e T Q le Graiso se tangentas dans te mamolles de la Rache en une

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cet amas confus de differentes matteres , revε il la forme deneris, de musicles, de eines, 'arteres c. 7 Quelle force, quelle uissanc debrouisse ce cinos is en ait sorti unmonde, doni la struchire .lharmoni excitent admirationdes ANGE ΤΙL 'est oint de rate metamorphose dans lamature Leselemens soni invariabies Les Emes particules qui enirent a jourd'hui dans la composition 'une plantes, enueront demain dans celle 'un animal C passage ne changera potnt eurnature i ne fera que leur donne u auue arrangement. 'est alasi, sepeu-prἡs, que te meme morcea de meta devient entre te main de Artiste, te signe des valeurs Pimage 'unmeros, o la mesure duciems. Te est encore Par de Outes es composition qui enrichissent, chaque our, la societ de nouueauxhiens. et an rashmble de matteres de ovi genre it te unit,il les combine ous differentes proportions de ceti union,

EN serotici don des productions naturesses, comme de celles de l'arta Ν craimons poliat, en te pensant, de diminue peX-cellence des uvrage, de amature ino qu'esse sol assujettie travailler oujour surrae meme on , elle 'employ avectant 'intelligence, que es moindres productions surpassent imfiniment oute les inventions humaines Un cano est incomparabiemen molns eloime de a perfection 'un aisseau dupremier ang, que horioge a plus parisit ne i est de lamachin organique a plus simple. andis que AucarisON construit 'une. main savantes, o Canar artificiet, Qque salsis de su riseis Setonnement, nous admirons cette imitation

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colles ORGANI sis

D passemblage o de a combinaiso de ces principes Aresultent les corps particuliers L nature des elemens nous est inconnue Leur extrεme petitesse la rosiεret de nos instrumens cies ornes adhaelles: de noue sprit, nous privent de ceti connoissa e Tout eque a aison eui faires, prε nous auoi persuade existence de semens est de nous ourni quelque legere conjecturea surcia maniere doni iis operent LXXXLmous ouvons appost ave Vrallemblance, usi Deux genredi est deu genres 'elemens Hes elemensis ter ou inoetamia 'φὶς ques, te elemens seconds o oroniques. LEs lemens du premier genre soni des corps αε simpleso vhs-homogenes. Un globule 'atriis globule 'ea sonides corps de ce genre LEs elemens seconds o oroniques, sontrae germes, o me dε te commencement, 'atomes inorganiques Les germes disserent des emens premiers, en e γ'iis soni composes; mais iis 'en approchent en e qu'ila sont, comme u , in

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LXXXII. Es elemens tendent ,''unir Cette dispositionὸ ἡ ἡ. '' augmente o diminue dans te appon plus ou moin prochain

certaine Je ne demande mimisu'on me demontre ce que ceti force est en esse--me la nature deI'impulsion ne nous est pas leucconnue: e demande eulement qu'on me prouVe que les phenomenes qu'on eui explique par cette voles, ne laurolent l'etre par es forces εchariques, a nous connues. I attraction emtonienne est uii fait γ'on est forceta'adnaetire: mais omine nou forces 'admetire que a cause de ce ait est attractio mεme 'Ἀ-Non demontre que a pes anteu soli

essentielle ara mallere 3 e contraire ne pariatii pas plus probabie ΤΝous voyons dans te corps rota propriet os essentielles eu primordialac petentae , a solidit , a foroe 'inertis. ous

nommons es proprietes essentiriles o primordiales, parce qu'clles constituent la nature u coem, qu'elles en soni ins parabies, in esse ne euvent ouffii aucune spece de han- gement, qu'esses ne dependent 'aucune cause qui sol hors tu cor . a Mineis e monoenient dependent 'une cauis qui est exterieum in corps ce ne soni don pastae proprietes essentielles e sent de simples modes, mais qui on leur fio dement dans es attribuis essentiet de la matiere; a figure,

dans retendue te mouvement, dans a solidites

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L Iorae inertis inuelqu'impropre que stat cetis expression, LRA' quelle que sol la nature de ceti force , est elle que e

corps persevere dans te meme tat de repos ou de mouvementiniant qu'i est e lui si attraction toti essentiesse , la, tiere, elle seroi contraire hisne utre propriete essentielle, la force 'inertie, e qui seroi contradi ire corps en repos , se mettroit de luLmEme en mouvementa a presenced'un utre corps, pendant γ'il tendroit a conserve so premier tat e vertu de la forcera'inertie De plus, ne propriete , ementielle 'est susceptible 'aucu changement , Ous avonS dit: pourquoi donc attractio syexerceroiNelle plus fortement a pol qu'a quateuc Voyonsinous que les corps alent plus. de solidite en roentandisu'au ero 7 a force 'inertie souffre-t-elle auculae variationes Epta . on a tente 'expliquer mechaniquement attraction is si tes explication auxquesses. Ο eu recour , ne soni pa exemptes de difficultes, celat prouue molns insumance de forces mecbasique , que esu hornes de noue spriti ADOPTON cependant e terme Pattractio. comme trἡs- propre 1 exprime te ait Disons que les elemens Mattia rent les un les autres,' que ceu de Eme spece 'attirent plus fortement que ceux 'especes differentes. Voyon mainte- .nant e qui doli rεsulter de ce principe' de eo que nous:

avon postes in commencement de cet article..

LXXXIII LEs elemens repandus dans outes e parties de 'dὀe suilamature, o donnent naissimc a trois genres de composes au 4. ζ ἡ: Si stilaes, a solides nomoetansh au solides Vanifes Ilis'est men, n pas necessalae 'indique ici es caracteres qui distinguent ces rent' n latrois ordres 'etres corporeis. I ne 'agit actuellenient que . Tisu '

A parte exactement les emen ne lament potnt les

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Corps organifes iis ne font que les developper, e qui 'opere par a nutri ion. 'olganisation primitive de germes determine parrangement que es atomes nourricier dolvent re- cevoir ou devem parties v out organique. V solide non- organis est un uvrage de marquet miso de ieces de appore. Un solide organis est ne toffeformε de Pentrelacement de differens iis Les bres ela; emtaires me leur mailles, sontria hasne de petomeles atomes nourricier qui 'insinuent dans es mailles sontria trame Nepresse pourtant a tro ces comparaisons. LXXXIV. os approlandi 1 mechanique de la nutrition, ne remonion pas a germerici ne nous est pascis e connu. Prenon te Corps organis dans o plei accroissement.

1s est ici effet queri machine doli produires pelles

sont les uissances que lamature me en euvre 'IL 'agit de Epare des alimens es particules propres parieu nature, a 'uni a Corps organise La figure, latrosthur te qualites de ces particules varient beaucoup. Le tis es duCorps organis renferme de varietes analogues. Quoique toutes se parties ne solent formees que d fibres differemment entre-lacees , Outes ces bres 'on pas originairement ne gasse consistance la configuration des ores ou de maillesis'est paspa tout a meme, Outes ne soni a formees de memes

LEs organes de la nutrition is ceu de la circulation sonties principales pulsiances que a ature me ici en eu. aryaelio de ces uis lances, alimen est converti non uidequi, dans te plantes , pone te no de seve is dans te antimaux, elui de sane Ce uide est trEs-heterogene o vh melange.

Principessur a me chanique derassimila

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COR P ORGANIs s. 49intlange On eui te regarde coname u amas de totis es ηθ' in elemens qui enirent dans la composition du out organique. LXXXV. 1 nous vivons le our de cerauide, nous obser- Verons que amature te ait passer par des aisseaux, doni te e al. 'dianaetre diminue graduellement Qqui se divisentis se subdivisent an cesse. ous observerons encore, que dans es animaux, plusieur de ces aisseau forment a Wia i), par leur plisis leur reptis, par eur diver entrelacemens, de masses plus ou insin considerabies, dans tesquelles paroitune liqueur, qui ne essemble potiatis celle que les ais hauxson in y on apportee, qui differe ausi de celle que 'au- tres aisseau sanguin rapportent de ces memes asses auxprincipaux roncs des eines. D ces observations genεrales decoule a theorie de sis tions , une des plus belles parties de Ρεconomi organique. B parot que les organes de secretions soni des speces de Atres , doni es diametres Ont et proportionnes a ceu desmolecules usit dolvent extraire. Ainsi pendant quem sangparcour rapidement les plus grand vaisseaux, i depos dansles plus petit les particules qui leur soni relatives. ΜAis queique ingenteustis queique vraisemblabi que soli

Cette ide , nous nous romperion peutaeire , dans certainsCas, si nous - Padmettion exclusivemento oute uire. Nous

suppostron don encore, que plusieur organes secretoires ne Et impregnes, de te commencement, 'une liqueu seinbla-hle ou analogue a cesse qu'il dolvent separer; en sorte qu'ile est de ces organes , comme de ces andes de dra oude osse , qu'on longe dans uti vase plein de disterentes

secretions dans es glandes, par M. I paris, an 171 . 38 24s Sc.

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Conjecturesut a m niere doni

LXXXVI. ΜΑis comment les corpuscules nourriciers 'unis. sentitis au parties qu'il dolvent Ourrir est e que nousn'avons Oint explique, torsque nous avon posse les premiers principes de la theorie de accroissementi S representera-t-oncia liqueu nourriciere circulant dans Iespetits aisseaux, fous 'image 'un ruisseau , qui depos surses bord les differentes matteres donici est chargeq. Os ourroit se eontenter de ceti comparat sol, 'il ne ' gistbit que 'un simple depol mais ici beaucou plus. Les atomes nourricier neci'appliquent pas sinaplement ara su face des parties iis en penetrent te ista Petendent en

L mouvement de Iasole , quelque fortisu'on e supposedans les grand vaisseaux, ne auroit ire que rhs- ibi dansles dernieres ramifications solio cause de leur eloignementdu principe de la circulation Ioit a cause de extrem finesse

de leur membranes.

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,liis ficace de effet doni nous parions Cette cause seroit UuAi'. 'i.elle ne force analogue a celle qui eleve es liqueur dansles iubes capillatres , o qui ait qu'une corde mouille petit eleveris grandisolds en se accourcissant 7 Cette conjecture me paro1 une de plus naturesses qu'on uisse forme sur e

s eti

AINs toutes es parties u Corps organis soni nourries par ne spece Ymhibitio , comme jeci'ai deja insinue ci-4essuia LXXXVII D la nutrition resultent eu esset principau Pentretie de parties, deur accroissement en out sens. L caelo continuelle des liqueur surcies aisseau dans leLqueis elles circulent te Donement de parties solides tes unes contre les autres le mouvemens musculaires le plus o lemolns de chaleur u Corps organise occasionent dans outestes parties une deperdition de substance, qui, si elle 'etoit sans cessi reparee en entraineroita destruction. Cest a quo lanutritio remedie elle remplacerae corpuscules qui se dissupent, par 'autres corpuscules qui leur soni analogues. LXXXVIII. Ita force qui chasse dans es mailles de fibres,les atomes nourriciers, pro duit extensio de ces fibres entout sens La dure te degre de ceti extension soni relatist a la nature des elemens donicies bres soni compossies. Le plus ou te molias de facilite de ces elemens a glisse tesuns surcies uires ou our 'exprime en 'autres termes, leur ductilite plus ou moin parfaite, en Paccroissemen pluso molns promptos plus ou moin considerable Les bres elementatres de certain Corps organise , auron si on eui, une ductilite analogue a cesse de Por: d'autres Corps organises auron des fibres, doni la ductilite repondra a celle de parrent:

De la dis

position oti. ginelle dea fibres a s'eia tendre entout sens.

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relles de la

d'autres seront formes de fibres qui 'auroni que a ductilited fer, c. I 'AccROIssEMENT en longueu cesse ordinatrement avant elui en largeur. Les lac qui tolent employes a extension des principales bres, cessent de ' porter en si grande abomdances, o qu'elles ni pris out leur accroissement te superflude es sucs se dirige apparemment, vere des let lateraux ouintermediatres, doni ii procure te developpement. LXXXIX. L nourriture que reqolvent les bres qui ontpris out leur accrois ment , augmente de plus en plus leur soliditε. Le attemen continue des aisseaux,, a presioix mutuelle des parties qui tendentis eunt plusieur fibres , uplusieur membranes en ne eule fibre, O en ne eule membrane; augmentation 'attractio qui resulte de augmentationdes mas es la diminution des humeur qui donnent occasionaux parties solides de se approcher, ou de 'uni plus intumεment, u climat excessivement haud, o u climat excessivement froid des nourritures seches, gros ieres, o visiqueu-ses uia genre de vi penibi ou laborieux, soni utant de causes qui contribuent a Pendurcissemen de fibres. L dernier terme de cet endurcishment, est te dernier terme de la vie LEs liqueur qui soni contenues dans testarenter reptis, udans es plus petites ramifications n' sejournentias. Elles sontcontinuellement repompees par de petits aissseau , qui es condulsent dans 'autres ais hau plus grand , 'o esses passent de nouueau dans ceu de la circulation. Si cette resorhtion des liqueur ne se ait oint, esse se comzompent, cette corruption est ne de causes de la morti

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