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CORps ORO AN Is s. 393 NEEDHA., u de ces Colombs modernes qui aurontra gloire 'ερ VLd'avoi te premier cotoy cette Rεgion des infiniment petits La nouueaute de ces decouvertes, a singularite des objetsΘ'elles presentent, laciεputatio bien meritε de leur Aute , Qte ut que e me iis propos dans et Ouvrage, 'eng gent a e donne u extrait. Je me suis euNεtre tro arrete dans le Chapitre VII decla I maarties, surcle observations que . de Buproia publiees dans lemlii genre Celles de . NEEDHAM leur soni fori analogues mais elles renfermen des particularites qui te distinguent Qque 'at 'autant plus de laisi a rap- porter, que e ais plus de cas de la sagacit de talens duce lebre Observateur mous devons regretter que ses eu aientsouffert de attentio qu'illa donnee a de si petits objeis cit auroit repris se curieuses recherches cies auroit portees a ne plus grande perfection. CCCXXX. REΜ1ERE ExPhRIENcE. Otre hysicien a rempli Decouvertes une litote de jus demouton fori haud lida cesse ave au ,h M sui tant 'exactitude, que si esse avolt et hermetiquement Wil le Animalva tenue dans de cendres haudes. 'VI
ΡΑ cette maniere de proceder il pense 'εtre assure, γ'iln' avoltis oeus ni Iniectes vivans, sol dans la liqueu qu'ilvouloit observer, sol dans at qui occupol le uide de la
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tomes Ouvans excessivement petits
tum separation des eis de parties solatiles, 'est partage enflamen , qui on produit totites e dijerentes sortes 'animaux
micros pigues. ΝοTRE habile observateu asoute ne hos bim extraordianaire,, qui merite la plus grande attention Je la apporterat encore dans se propres termes Ces meme animaux micros pia ques, pres 'etre assembles a Dudis verre N avo, peritutout mouvenient, se soni reduit de noti a m ne subsanc IL
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petite spece On volt cene opεratiot se reiterer , usqu' ce que HAP. VI.les lamenso les Animalcules, en se degradant continuelle-ment, alent atteint a ne telle petitesse, qu'il ne solent plus perceptibies a microscope. CIN IEME EXP RIENcE. 'ingenteu Physicien a su varier se procedes Aurate de laire infuse les grains, i leur a stranche les extrEmitε pou les empεcher de germer il les afiches perpendiculairementisar unctout dans undiem fori mince qui notioit fur reau. CEs graim in humectes, ni tento po A parraeu bout inferieu de long ωnombreux lamens, qui 'εtenciolent dans 1'eau qui tolent tres istbles Di me simple. I a coupe de ces amens it en a mi les fragmen dans de petita verres concaves, qu'ilis emplis 'eau Cetoient des vertes de lanetles qui tui fournitatent ces assin commodes,
si bie appropriAricia petitesse is la nature des objeta
'il se propolait de sciure. LEs fragmen qui ouolent fur ea de ces petit hassinc
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en ait, commeri'on volt, de rais Zoophytes , Wil pense quetoute les Moisissure soni recis ement de a meme nature. SI XIEME EXPkRIENcE. Avant que 'avoi et achemine a tenterces experiences, Auteur avolt apperς de paretis lamens dans la farine u Ble nielle i). I avolt observe ceti farine cotarompue 'animer, outes es sol qu'il humectoit Qquandi l laimoit se essecher pendant de se mainesis des mois, i tui iussis it ' repandre ne ouite 'eau our a ranimer, pou contemple de nouueau te spectacle interessant qu'ellelui avolt presente tandis qu'elle tot encore fratche. I compara alor les lamen de ce led aux Anguille de ea douce. Ces Anguille microscopique ne se mou volent pas 'un, vement progressis mais elles se contournolent si elles-mmesen maniere de vis. Esse se balans olent in a diverses re-prises, cette sorte de mouvement oscillatoire ne es it que1orsque oute humidite volt acheve de 'evaporer D Blednieli , arde a se pendant eu ans, tui volt offert les miSmes phenomenes, de qu'il tot venu a Phumecter a I
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HUITIEΜE EXPERIENeE. Enfin il a retrouve de ces lamens jusque dans es liqueum seminales Ilis vivi leur formationleur developpemensis leurs speces de metamorphosesis de generation, Wil a reconnu que out se passe incomparabis inent plus ite dans es liqueur que dans es infusions Ilipense que es ninaescules permatiques, soni produlis parra filamens I). CCCXXXI. Lus ore reflεchi fur es diversis experiences plus o sent combren il est dissicile de 'asi iuret ici desvrai 8 de dissiper ous es outes qu'elles fontisntre. 'a indique
dans a premiere experience, te piacautions que . NEEDΗArma voit rises our interdire ventre de ces hioles auxesnsectes du dehors, o a leur semences Fonde sur es precautions it se croit en roit 'en conclure , que les Antimalcules. u'i a decouveris , 'etoient formes dans es liqueur mεimes, en vertu 'une force productrice, ve tatis repandue dans mutes.les parties de amature. ΜΑis est ii bien sur que es hi oles ustant et scellam austi exactement que si elles avolent et hermetiquement pc sequemces de M.
i ' ne belles recherches de M.
SPALLANEANI fur es Vers permat ques, doni res donni te recis dans lagrande note qui est a la fi d Chapitre VIII de a premiere Parti de ces fiderations , demontrent de la --niere a plus rigoureus Perreu de . NE EDHAm, sur origine de ces Vers. II neci'etoit pas moin trompe dans es expεraenees sit les Animalcules de M. fusioni, comme e te fera voi bien. tot, d'apres le profondes echerches dusavant Observateu de Reggio. I suis forcela'applique aux experiences de M. NEEDHAn uoles Etres microscopiques
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laum de exemples 'un accroissemen trἡs-acchere des numalcules 'une consistanc incomparabiemen plus delicat ouplus rare, se developperolent te plus rapidement, a lestem des developpemens dolvent eue relatius au degre, de resistanc de solides. ΤANois que on ignoroit a seritable origine des Vere dela viande, u'une aine hilosophie 'eclairoi potnt emcore les spriis, o penii bonitement que les molecules dela viande, mises en actio par ne fermentatio convenable .s'arrangeOient 'organisolent de maniere , produire de I
nera de femence, tout e qui eut seruvi a la multiplicatio de Animal. Jene restraignois doncisas e motra ne signifier que des ae sis de Petit via vans Laiocte o laivmed'un Polype bouquet, ne isnt proprement ni unoeus, ni un petit vivant maia elles sariele principe d'un nou a Polype Voyeg
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bies, des millier d'yeux , c. On jugeoit facilement queleur generatio ne devolt pas tre aussi reguliere que celle des grand Animavi, doni admirabie organisation ne ouvolt trenaeconnue. REDI parui couvrites viande in restat i en interdit insi 'approche aux ouches la viande se corrompit ne produisit pas u seu Ver Les mailles de restauidem. NEEDΗΑΜ tolen elles asse ferre es 3 QvAND ou explique Papparitio de certain Animalcules
dans ne liqueur, ii recour a de forces productrices, a des erius egetatives, ne meNon a des mois ara place de choses 3 pelle de a-Non de es forces 7 Comment conqoitionm'elles organisentes mattere, D'elles transforment de molectates inanimees en tres vivans, te vegetat en Animal Cette me vellieus opεration 'execute-Nelle out 'un ou o par degress Ce 'est pas Out 'ua oup, uisque ron nous endecrit les progrε ce 'est a non plus par degres, o parune sorte molation, uisque te developpemen supposie a tion combine de tous es organes. ourra-t-on se res udre admetire que te cervea sol forme pres le coeur, orsiqu'on songera aux apporis si nombreuc, si varies , si compliques qui lient te coeur a cerveat Croir Non que e coeu puisse agi avant te cerveau, ε que ron aura que actionis premier suppos necessalaement cellera secons plus on approfo di la nature de Animal, plus onci'aide des lumieres de Anat
mie,' plus on se persuade qu'un out si harmoniquet' puratreforme pieces prὸ pieces. Et si ron se retranchoit a dire quela force generatris produit son esset u seu coum, e de-
'U'ai asse dit, que es mois conqoit facilement , qu'il est dans ea
de cerυeauis de catin ne signifientias Insectes, des organes doni les onctionsu cerveau is coeur eis que ceu repondent plus ou molns a celles ades Animaucles plus connus. Mais o cerveau coeur.
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Choque la bonne hilosophie 3LA atur entiere depose contre les generations equi ques. Voye les varietes de la secondationis de a generation 'ena trace te tablea dans e Chapitreis dans te precedent: ce- pendant ou les Animau si dissemblabies enir'eu parcia maniere doni iis soni econdesis doni iis engendrent, se remem-hlent Ous en ceci qu'ils irent leur origine 'un Munal demenae spece Les olypes, si differens de tous es utres Animata par te proprietes singulieres quides caracteriseiit,4'enon pas ne generatio molns reguliere, moin univoque Je aisque Ous devon nous tent en arde contre les regie generales; e ai, e me emble, asse prouue mais e sal aussi, que les exception dolvent tre rigoureus ement demontreespour tre admises, sur-tout lors'u'elles choquent lacio la plus universelle la plus constante, a plus invariable de ovies cellesque nous connoistans. Or, e demandera M. EEDΗΑΜ 'ilest ussi rigoureus ement demontr que les Animalcules de imfusions 'oni potnt ne origine emblabi a cesse des utres Animaux , D'il est que les Puceron multiplient sans accou-plement 3 CE silaniens, que . EEDΗΑ , transforme en parfacts Zoop tes, en sontails reellementa O plutot avons-nous despreuves M'il existe de rais Zoophytes j veu dire des tres qui solent a la solsis dans te sens propre, egetaux, numaum Ρour juge de ceti question il laudroit contiolire e caractere qui disteren cie Animal de la Plante, ceu quioni te plus medite e vjet, avouent de bonne o leur igno
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CORps ORGANis s. o Irinceti . Quand on abstrai de l'Animal, out e D'il a de 'ερ νι-rωun ave la lantes, si est surpris de voir, qu'il ne reste aucu caractere qu'on uish regarde comme distinctis Bour MAAv di it que a lante se nourrit par de racines exim. risures is Animal par de racines interieures. II comparoittes emes ames, des racines Mais ' a-Nil pas u temso PHomme te plus parfuit de Animaux se nourrit par des Tacines exteraeures 'a'Embryon ne ousse-Nilias dans la matricedes speces de racine Τ Ε les oeus qui roissent a centre des Galles, ne sont-il pas des Especes singulieres d'Animaux, qui se nourrissent a la maniere des lantes a 3 irritabilite , cette propriete si remarquabie de la bre musculaire, paroitroit notis fourni u caractere plus distinctis: ais est i certain qu'au- cune partie u Vegeta ne soli irritabis 3 7 De Animauxqu'on multipli de boumre is que Pon rem , de Animali qui multiplient naturellement par rejettons , ne sontpas plus de rais Zoophdites que la Chenille o te hien Cesentieulement de Animaux qui on plus de proprietes communes ave les lantes, que 'en ont a Chenille o te hien UnAnima lant , ne seroi , a proprement parte , ni Animal ni lante i formeroit ne classe a pari, une nouvelle nuance, uia nou vel echelion dans echelle de amature. ΜΑis es lamen de . EEDΗΑΜ ontra mouvement une sorte de vie Des atomes 'en delachen .s'en eloignentun peu La tige me branches de quelques olypes a bou- qiιet , se donnent ausi des mouvemens r de atomes 'en de-i J'a plus developpe ceci dansi Chap. XXXIV, de la partie X de la
a Voyeet Attici CCCXXV. Si te experiences sur irrita- Bilite de plantes, que 'ai indiqueesciatis a note de 'Art. CLXVIII, ne
rensermen rien 'equivoque , elles confirmerotent bien e dout que e manifestois ici fur a non irritabilite u vegetal. 'avois manifeste les meme dou-tes , Chap. XXXlII de a partie X dela contemplation de a Nature.
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4o a CoNs ID RATION sua Estachentis 'en eloignent, Si es olypes tolent austi petits que les Animalcules des infusions, ne nou meprendrionS-nous pas u leur veritable natures Demeterions-nous a forme de PInsectes Apperceuriosis-nous distinctement et assemblage ει mirabie de branches, de rameaux, de loches 3 Devinerion nous la division naturelle de celles i, out e qui concerneune multiplication dontra Regne animal ne nous offire potiatd'autre exemptu i)J Je ne euae poliat insinue par la , queles Animal cules des infusion appartiennent a genre des uolypes, 'ignore profon dement la structure de ces Animalcules leur origine .lour inaniere de multiplier Mais e eux donnem entendre, que leur Xcessive petitasse ne nous permet pas,
M. EEDHAM conclut encore de se obse tibias, que es. Animalcules, qui se delachen des lamens, soni produit partes lamens. Je 'en uois auculae reuue De Animaleules aeriens o aquatiques, tune petitesse extriste mus 'introdulia roient en grandis Ombre dans a substance lamenteus da grain qui 'en nourriroient , qui ' de velo eroientis ' multi-pheroient, qui abandonia ero ient ensuite les uias pres esau tres, ne pro duiroten Nil pas des appareuces qui se appro-cherolent beau cou de tota ce que notre Auleur nous racontea
J'en dis utant de seniblabies Animalculas qui se logerolent dans une Moiusiure is qui multiplierolent, comme quantite