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Coriri lacliqueu seminale ne forme po in te Tout entier, esse ηερ vii ne forme potnt non plus une parti integrante de eaout Essen'ajout potnt a PEmbryonii coeu qu'ilis'avolt pas mais, elledonne a coeu preforme de Embryon, ne activite, an i
d'Etres vivam qui ait et plus multiplieque elui de Polypes. 'ai ait remataque adleurs, que e fond des Mers en
est cou vertion ne auroit ire combie pullulent Ies Animalcules de liqueurs On eui s en alte ne legere de par e que j a raconte de leur maniere 'engen-orer Mais de bornes on et sagementim possies a cette prodigieus pullulation. Ces Animalcules on leur maladies, iis se sentcles uns avx uires une guerre perpetuelle Les plus petit deviennent laprole des plus gros est ain si qu'il ex iste par-tout dans lamaturei certain equilibre entre la multiplicationis la destruc
Les races 'Animalculus qui ne propagent a par division propagent pardes oeula o par de petit vivans Lesinfiision de graines de is , de Rai. fori, de Camomiles, de eves, &c nour. rissent plusaeurs Especes ovi pares Le Nos Aninaalculeis hec est de ce nombre M. SPALLANZANI a v pondie, Wil avia te petit eclorre. Il est d'abor rond,
tage, montre ensin te es qui Mractsiris sonaspece .L'Auteti ne produit que deuxaspe, ces 'Animalcules vivi pares mais ansdout qu'il en existe un- grandisombred'autres Ilis tres-bien u 'accouch mentis te decrit. Notre inlatigabie observatevtis' i mais vid'accouplement proprement dit, che les Animalcules des infusions ur a plus eleve en scilitude e. puis instant de lou naissance, de in. dividus viparesis de individus vivi. pares 'est assure par es experien ces decisive que a multiplicatio s' per dans es differentes speces sana aucune copulation Ilis' a potnt nouplus de copulatio che les Animal cules qui propagent par division naturelle. Le regne de Ihermaphrodissime s'est dono prodigieusement etendu depuis a de- couverte de elui de pucerons. Notre Observateu philosophe comclut de toutes se recherches fur laten ration de Animalcules des infusion , abii Chap. XL, pag. 24 , as quem M. de B UFFON AERE DRAM , se sunt rompes en atissant eurs, systemes surrae phEnomenes que pre-- sentent ces Etres microscopiques Leur, origine , dic ii, tant utieremerito disserente de celle que es deum At si eur leur assignent, ii resulte de-lii,
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Vis quelle it ne parviendroi potnt a surmonte la Esistanc des solide; in L cause physique des mouvemen d coeur est dans son
Nature aux tranges commentatres deses Interpretes.
Nais quelle est origine des premiers fondaleuis de ces petites euplades qu'ondecouure dans es infusion de toute eL peces' 'o viennent les premier Ani mal cules qui apparoissent dans te inrisionc ce problem est te plus important de tous ceu que presente Phic toti de nos Animalcules le dira enpe de mois e qu'en pense notre a.
bile aturaliste Cnid Chap. XI .
Commeri croi s'etre assure, que les Animalcules des infusion ne euvent se conserve aufec ilis admet oin que es Animalcules ux-memes preexistent dans la mallere de infusion I presereri'admetire que quelque Germe o petit ceu passe de rati dans infusion devient e principe dura ple
cun age se conserve a se dans lamatiere de rinfusion 'en doutein peu. Iis exige tu eut-εtre, comme Ie otia fere 'etre trε en veloppes de a Milere de infusion ceci requieri de
Νous ignorons si te Animalcules qui multiplient par division natur elle nepeuvent a se propager aussi par desuetis o par de Foetus. Si cela toti it en seroi dono aussi de Ces oeuli
comme de ceu qui euvent tre conserves a sec.
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irrit,hiliteri des experiences reitere es le prouuent i . a li-queu seminale est dono ne sorte de simulant , qui en irritant te coeu de Embryon qui imprini u degre de force M'il ne ouvolt recevoi que de ceti seule lique ar.
ser, que ceu qui apparoissent les premier dans infusion proviennent dequelque cyerme ou de quelque principepre oryanis , Omme on υOucta appellar. Mais tes Germes iennent-il du dehor ou ex istotent-il deja dans la ma- fere de infusion Notre Observateurs'est convainc par ne experience, qu'il est au molns des castu les Germes ne aurolent proveni quera dehors. I a v apparotire de Animalcules dans des infusion qui volent ouilli pendant plus 'une heure. Or, nous avonso ci-dessus, qu'une ebullition de trois quaris 'heure ait peri tous les Germes. 'autres experiences paroissent prouuer, que te nombre de Animalcules qui apparoissent dans Ies infusions, est 'autant plus petit que es infusionsoni et stellites plus exactement Ii a dono te de pense que ceu qui apparoissent dans les infusion stellees
hermetiquement , proviennent de Germes qui ageolent dans la petite quantite 'air que enfermoti te vase. On ourroit ependant obieeter contre ces experiences, que 'air tant plus ou molns necessatre a developpe-ment de Germes caches dans a M
tiere de infusion , i est out naturei
cette parti si essentielle de histoire denos Animalcules demanderoica eire plus approlandie encore Ie oudrois qu'ontentat es memes experiences sur es
certaines circonstances favori sent laiatia sance de Animalcules. Iis ne naitroient pas dans rea pure o distillee. I fautque des matteres egetales ou Animales solent inlasses dans ceti ea , qu'elles ' decomposent. usqu' u certain potnt, pou deveni propre a noumri te Animalcules. La vi de Animalcules des infusions est enferme dans certaines criodes. Diffsrens ordres de ces Animal cules se succedent an te memes infusiona Chap. XIIo. O voit 'abord ' d velopper te plus gros Animal cules ules Animalcules de or fres superieurs.
Q consulte rArticle CCLXXXV, la Dissertatio de M. de HALLER' Pirritabilite, .celle surcies mou-
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Tous perissent eu-a.peuo de Animalcules motus gros leur succedent, qui perissent . leu tour. 'autres plus petit commencent a parotire , qui rissent de meme De plus petits encore leur succedent Cron ire auro it direou cette degradation se termine Ces generations successives 'Animalcules ou. iour dόcroitans, avolent trompe M, NE EDA Am de BuFFos,& leur avolentisit croire que les Animalcules plus petits provenotest 'Animal cules plus grands. Iis ne s'etoient pas appersus, que ' tolent aulant 'Especes o de colonies differentes, qui se succedolent dans lamεme infusion Petoit contre cette opinio si erronee quem de REAuΜuRs'elevoit, quandril ecrivoles M. TREMBLE , i est tres.sau que est frationsyolent of imati de phu en plus
ses premieres id se fur es Animalcules des infusions, cles a presentes commede pure machinules , ouees simplement de italit ou irritabilite Lalongueu deja si excessive de cette note, ne me permet a de sui ure N. SPAL.LANEAN dans a diutatio de cette
opinion de Epigenesiste Anglois Iliae suffra de dire; u'en assemblant les ditarens traici de la vi de ces Etres
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mons, es oues de notre petite machine animale, dolvent revetir e , peu de nouvelles formes, de nouvelles situ tions espectives enfin iis dolvent rolue , se developper Wies changemens de formesis de siluations dependent du
stati que e sot en se declarant o
vertement our me principes. Sansis outes, dit et exellent Observateur
est oblige de se contenter aeune proisse babilit S lassisante dans lacchoses difficiles, i auroit uouve dans ce ureo de quo se satisfaire eniterementi Iese reste don attach au principes deis M. BONNET , non parce qu'il me, paroissent ingenteuc, mais sumtout parce qu'iis soni justes, parce'u'onis eu par eur moyen expliqueriss entendre comment les parties divisees de Animalcules se hangent ense utant 'Stres animesis sentans conclusion on volt par ce recis de rhistoire des animalcules des infusions, que leur generationis'est potnt duriout vivoque ou Apontanis, Qqu'elle est Rumis comme celle des plus granas Animaux acia tot generale qui eut, quetout Animal provienne d unisutre Antimal de mεme Espece, par une volationgraduelli, plus ou motas acceleree. Ainsim descendant aux Especes inserieures,
des infiniment petits , nous retrouvons constaniment des ordis de gεnerations avssi reguliere laus permanens, innremontant auxaspeces superieures ou kces speces doni aucu Epigenesiste moderneis' intagine que la generationput ire sontanti. 'Anmaalcule qui multiplis en se partageant, ne te ait qu'apres avol pri u certain accroicsement Wies eu Animalcules qui proviennent de s division, resultent endernier ressori, de l'evolutio qui s'est falle dans te premier. I en a de Eme de ces lantes microscopique , qu'o pren comm nεment our de simples moisissures upou de produetions fugitives de lapourriture Des observations exactes prouuent , que leu gεneration 'est
pas plus pontanis que celle de Animalcules de liqueur st qu'elle est aussi reguliere, ausi invariabie dans chaque Espem que celle de plus granda Aris
Vossit e que les plus ages Observateur deduisent de rexperiences quin a te usqu)ici dementi par aucune
o consulte te Chapitre IX, de lapremiere Partie.
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e don chasse par te coeu de Embryon dans se artere quile transmetient a toutes es parties, 'o si est apporte au
C fluid doti tre proportionne a a prodigieus finesse des
L fluide qui circule dans Embryon acquier don parta gres de molecules de plus en plus grossieres, qui ha gent de plus en plus a couleur primitive. It tot don Sa
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un organe qu'il 'avolt pa originairement La liqueu de Aneparoit don te transforme en Multi Ρου que e perme opere de eis changemens dans Em-hryon it aut e me emble, qu'il arrive de deux hostes une; ouisu'il soli porte lui-mεme a les arteres de Embryon atoutes se parties , o qu'il determine es uides de En bryon a se porter vec plus ou molias 'aboniane a certaines
L iurabondance de suci sussit seule our changer ne parti . nos eux Queique fibres 'une euille deviennent ne grosse Galle, ors'u'esses soni tro abreuvεes is combie detumeur animales qui 'on pas 'autre origine La disette dessUcs, a contraire , appauvrit les ais hau iis 'oblitterent enfin a parti devient resque econnoissabie, si memeelle ne 'efface eniterement.
LEs tristes esset de εpulsemen indiquent asse que a L
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pos dans le Chapitre IH de a premiere arti de et O
tambour de so laryn ne te soni pas L ligament capsulata e les andes ligamenteuses qu'on observe dans a gresse dei'ergo dumo surria crete, ne soni certainement pas engen-dresci a plus fine dissectio ne eul ourtant les demonuerni dans ergo ni dans la crete Ius y tolent neanmolas, mais laus une utre forme, .la reflacies a rendus visibies o cesse qu)elle euris ait revetir I). e ceu du oulet ne se montre labor que laus a forme 'un demLanneau oint de ventricules , oint 'oreisseties, d molas apparens. Voyegdans les ea memoires dem de HALLE , commentes simple volution amen au our es divers organes, auparavant
invisibies o tro demissis a). Si don o ne volt potnt auiarynx du hevat, te ambour qui est si visibi dans elui dumtet, ii ne 'ensuit oin duriout γ'ilis' ait dans tera ryn du premier aucune parti qui en recevant de impressiondu perme certaines modifications , ne uisse 'acquiue des lanctions propres a cet instrument is imiter in celui de
in te perme agisse fur certaene parties, quq les, difies, qu'si te fasse germer crolue dεvelopper meurir, 'est ce qui est evident par la uerae a voti, par a rigetation
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Si te perme modifi Ia voix, ce ne eul tre qu'en modufiant organe εme de la voix puisqu'si est capable de pro- duire u te esset dans Adulte , doni les bres deja trἡs-de-veloppees, ni acquis de la consistanc , quel changemens ne eul l pas opere lar organe de la voix umerme, quin'est resque qu'une gouit de mucosite organisee 3 DAN ces premier tems, o tout est 'une delicatesse huconcevabies la plus petite quantit de mallere , te plus leger
pression originelle a perme sis a rendent stillante, dur
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o 'Te premier se nomme lapanse
te secondae bonnet, te troisieme leseuit. Iet, e quatrienae la callieite Dan lesecon estomac Palimen est reduit enune sorte de pate verte La decompositio continue dans e troisieme estomac Elle''achev dans te quatrieme.