Historia de utero duplici, alterutro quatro graviditatis mense rupto, in Hungaria, anno MDCCLXXXI. in cadavere ab auctore invento. Cura C. E. M.

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determiner a finir raccouchement leplus prompte ment possibie , toujoursce pendant mec les plus grandes precautions, & dans ce cas ci, on fati faire al'ensant te mouVement de rotation de devant en arriere , & pendant que l'on

pour rem pectier de re tomber. Du resteon se conduit comine dans les accou-chemens precedenS.

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R. On doli faire la me me mano u-vre que torsque l'entant presente te Ventre, avec cette seule differetice ques la face regarde l'os pubis on fera lemouvement de rotation de devant enderriere, dc de derriere en devant f laface regarde l'os Jacrtim. Le reste a l'ordinatre. D. Lorsque dans tous ces accou-chemens it se rencontre queique Vicedes os sacrum ou pubis qui retiennentia tete, comment doit - on se conis

D. Lorsque l'enfant est mort dans

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pas se charger de cette besogiae.

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grand se in de ne rien laisser ni dans la matrice, ni dans te vagin. D. N'y a- il pas d'autres positions, contre nature , de l'eniant dans lamatrice que celles que l'on vient de de tallter λR. Il peut y en avoir encore d'au- tres, mais elles dolvent avoir rapport

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DACCo UCHEMENT. I ITa celles doni nous avons parte, dc entes comparant avec attention, On trou vera sans peliae les manseu ures iacces

satres dans les differens cas.

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SπR les devotis des Sages em mes. PARM 1 les aris utiles tu necessatres a la societe, it en est peu doni rutilite& la necessite solent austi reelles que celles de rari des accouchemens. C' est par cet ari, helas trop neglige pendant longiem si que notis naissons pour jo uird'une boniae ou cr une mauu aise sante, selon que les secours qui nous Ont e sed onnes Ont e te plus ou molns prudens, plus ou molns e clatres. C 'est cet artprecie ux qui conserve tous les jours aretat uia grand nombre de s eis qui dolvent en Dire la force, & des meresse condes qui dolvent encore renti chir de leurs productions. Pourquoi doncle Voyons nous meprise & avili ' Ν'en cherchona la cause que dans pignorance dc la temerite des femmes qui rexer-

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cent. Peu instruites dans la conno ista sance des parties star tesquelles ellesoni a travailler, de des dangers de leurs

times de leur inperitie. Mais tesmal heurs sans nombre, sulte funeste de leur pratique tenebreti se , te cri de

gnes des accoucheu ses doni la pratique sera sure , de qui connoissant les de-

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Je distingue les devotrs des sages-femmes en de ux es peces, les premiers regardent te physique de Paccouche ment, les autres la religion. Je delati ierat dans la premiere partie de ce disco urs les devotrs qui ont rappori auphysique de raccouchement, & je par-lerat des devotrs de religion dans lase conde partie. Ixς PART1g. La plupari des sages femines de la campagne, je pourrois meme dire des villes, s'imaginent que,

po ur exercer l'ari des accouchemens,

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pas plus ce qui composent l'arriere falx, & soni sur cet articie dans desprejuges qui les des honorent. De la

Ceux qui regardent te physique dei' accouchement se reduissent a quatre :i'. Une sage femine do it con nolireto utes les parties sur te uelles elle a atravaille r. Σ'. Lorsque l'accouchement est naturei δί facile, la Age iam me do it se contenter d'observer la nature sens agir. 30. Si l'accouchement est laborie uxoc dissicile, elle doli secourir la femine dc travailler a sermon ter l'obstacle quis'oppo se a la sortie de l'ensent. R. I 'accouchement est - il contre nature ξ Tout l'ouvrage tombe sur la

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sage - se in me , & elle do it changerprompte ment la mauu ais e position de

to utes les parties sur tesquelles elle a atra valiter. Cette connois ance est d,utant plus necessat re, que sans elle it 11'ya rien de certain dans la pratique . de s

sem me potarra t-elle decider qu'an accouchement est nataret ou laboric ux , si elle ignore l'anatomi e tant des os qui composent te bastin, que des parties qui contiennent te foetus de qui serventa sa sortie λ Elle sera tous les j ours exposce ou a laiger perir l 'ensant sans potivo ir te secourir , ou a sacrifer lamere a des efforis mal en tendus &toujours impulit an s. Le bien de l'humanite exige donc plus d attention dela pati de ceux qui la re colvent, δί iis dolvent craindre de se rendre coupa-