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TRO UBI ES Das PAVS BAS DUAE OV. si
sleur querelles par ouites parta se commencolent a
soliciter es Gentiis hommesa aut tres de qualite Maussylas amis, dit Cardinal, ou estre de la parti des diis
trois Seigneurs, d aut tres de mestae parti : des quel plu-seurs se presenterent incontinent, Heu monstrerent faveurpou estre leur serviteursin amys anciens; les aut tres our
d experimente es Choses publicques, amateur extreme da
XV. Que plus est, stant a diverses lais declaire tantin ruculier qu en genera par charge de la Duchesse tau
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pleust a Die qu' celle si finale ne fust te changement duGouuernement de a republicque, di destructio de la Lindie Fo Catholicque.
surptus de ce que concerne ladiit Matiere.
XVI. Omme es choses alloient 'icelle aniere , e . Roy yant rece la letire lataitte fust omeespace de temps a se refouidre sur a responce qu'il serae, volt donnerri ouites sol a a fin apres grande, longue deliberation, Print ne resolution respondit eis de Juing 363. e ceste substance. es Cousians, 'a rece vociet tres de ungietae de
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Veurs. De maniere que out considere ne trou volent plus apparent molens Our sorti de ces Calamite , que parras
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s'appercevolent clatrement que e commendemenis expresdu o ne procedoit que de dessiance entrejecte entre SaM ses Estaig,in membres 'jceu par sinistres informations de person nesse affectionees a son servicem a bien
ment de plus en plus a partialite consultans es diis Seigneur surcia letire de Sa formarent ne responceen date du XXIX. de uillet 1563 en a quelle se sale mention de la ditie remonstrance presente a Son Allege, doniit enuoyarent auis copi a Sam ' supplians de la prendre
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dJceu ne 'en ouvolt Onnement absenter, sens delaisserce que Concerne son service mesmement en temps oub-teu au que ii venient les dangereust meneces subtilea practicques de volsim de tous coste supplians partant tres humblement, donne te credit αλ a leur escriptZ, qu'ilresperolent avoi partans en a presen ce de abi ' prennanta surptus de bonne partes simplicite de leurs lettres, 'aultant qu'il ne soni potnt de natur grand orate Urs, plusa constume alien Dire qu' bie dire, comm ausi i est milux stant a gens de leur qualite. XIX. Depuis es lettres scriptes 'accroissoit de Gur a. autre lactainein malueuillance contre te Cardinal de Grande les, se se mantis bruidi, qu'il avolt Oui faire uer quel-
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s'entremestre de celle alliance, ny ussy 'oppo se a cella ,. afin 'eviter partialite de discorde. si non qu'aulcuns ontescript in L Maj orians leur humbies services, S monstrans generallement te despiat si qu'il avolent de eoi tescho se alter e telle sorte Volant te Cardinali que desius,
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XX. UStans es negoces es termes suscit quant a rabu, de S partem en d Cardinal de Granvelle . la Duchesse ei in continent appelle les Prince 'Oreuges, Conate 'umon S. Ad ual, es requerant que uisque les choses u Cardinal se passolent selon qu'1l sca volent, qu'il leur pleus de retourne a Conseit Eslat luydon ner Pallistence qu'ildi molent accoustume de Dire es assaires Woccurre es Dia commen cement ii seirent quelque dissiculte, mais avec la grande instance que leur Dic Non Allege en presen cera pressident, se monstrarent ensin. contenci'ain syci faire, a condition que cie Cardina re-tournoit a Constit commesse di i qu apres trois mois it retourneroit qu'ilZ 'entendolent 'P continue ain dot la en avant les diis Seigneurs vindrent continuellement a Constit, traiciant les chosesin negoces avec grand
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asse urer, stant out Oubson, combien que de present ensolent a plus de repos que deVant, .mesines depuis te c-tour 'Armentiere Secretaire de Son Alter ab an dictχ'avoir
ce questant serviteur& assa te qu'il estoit,in destrant sui-vre es pas, vestiges de se predecesse urs, qu'it pleust a Sa Maj oultre a declaration laicte de bouche par te dictArmentieres confirme te metae par ne silenne letire pou estre eniterementin de tous pOinet asseure , lasseuredes falsi te cal omnies de se adversatres. Supplia de meDmes, que les assaires de a Principaulte 'Orenge ussent sa- vorablement recommande a son Ambas deur en France,
nn age de se qualite se reserant a surptus au lettres escriptes au civites 'Egmont laetornes a la an de continue e so Conseit 'Eltat, mu'il en chargeroi de echesa son Ambassadeur de France ce que e Prince tu prioit
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quant a s Principaulae, furent les dities lettres de SaM escriptes en Valenc te 23. Apuri 156 .
u'avec te temps sur vincirent de incola Venie 'nSsor notabies, premierement les Seigneur di leur al-lle aians opinion, que te Conseit 'Estat stoit, o du molnsdebvolt estre te che de Ouscies aut tres par consequentd'avoi teni la urintendenc de reniter GoUUernement, sans outes sol avoi ve ence temps instruction comme ladisolent didie Conseil ad vini que peu ape plus eurides negoces qui evant ouiolent est re traicte a Consti Prive, ou en celu des in ances , en Disant relation des choses plus importantes, principales a lamuchesse par vole ordinatre furent ire: au Conseild 'Estat, traicte par vote extraordinaire, 'o succeda ave te temps, que te ait negoce de lareligion des placaris, PInquisition commen colent assolblir, comm avssy celuy de lacius hic tantor linaire u Grand Conseil des utres Consauix provinclauX, que celia des gracesin de remission des crimes delicta, semblablement des ordon nances publicque S politicque . se monstrans plus eur de a nobiesse in aut tres fori rebelles a la Justice, an teni comte 'icelle, si eschoses ne lassent traictees par Pausiliorite de Seigne ur dudit Conseit 'Estat. Et comme a Coustum estOit que ousce ut qui ouiolent , IouVOient presenter requettes a Son Allege librement sans crain te, lassent gens particulier ou Villes publicques, se practicqua en celle Dison, que uig
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richi par molen des ossices c benefices, emblablementdes privileges, Lotheries, laut tres Choses de Finances, non molns de remissions tardon dei delictg crimes enormes, non sans murmure u euple; plaige de laJustice, & domage des Finances de Sa oindita mauuat
fame que de ce procedoit a Son AlteZe metae, abuse par sinistre information des diis serviteur comme de bon ministres Mossiciers, o tollites Dis ne tenolent te i placepou Dire bon issice, m de mecstre remede en e stans prevenu de ovies VOyes O duriout exclus Parriceux.