Vita Viglii ab Aytta Zuichemi ab ipso Viglio scripta, ejusque, nec non Joachimi Hopperi et Joannis Baptistae Tassii Opera historica alaique Analecta ad historiam scissi Belgii potissimum attinentia

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d Consti Prive de medire par script son advis sur a provisionin divisio de so ossice, du uel auec tres grande instance lusieur an il avolt continuellement supplie 'enestre descharge Our cause de son grand ages infirmite, san qu'aucune hos fusi traicte publicquem ent a Constit; mais estoit a fame, que es diis trois Seigneursid

Madame ne nouvelle forme de reformation du Conseil Prive S de elu de Finances ausi de ampliation duConseili'Estat, autorite, avec beau coup 'au- tres particulariteZ, qui se aissent ic a deduire, cur equ'ilis' est tro avere ny is en essest, comme tost di-rons Oiennant la grace de Dieu.

Du Concite Genera de Trente.

re sus ditte, urent en tres grande speciale recommandation rexecutioni Concile de Trente, principalement pourte remede des potndis de la doctrine, reformation, institution de la eum esse Partant, our 'estre fori hors denotre propos, e veu j cybriefvement racompter, e qu'enceste mattere a succede de se commen ement usques a lassin. L. Ayant notre ain et Pere enuoye uino te Canons Decret du dit Concite, requerant de les accepter faire publierin observe estroistement par ous se Royaumes, terres, proVinces, a Maj . manda incontinent a laDuch esse, que son intentio estoit 'ains le Dire asinque ceste sienne declaratio se eis incontinentis generallement par ous es Estat que o Allege usi a commen-deri'imprime les Canon du dit Concite Vec raccepta a tion

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LI. Ces nouvelles receues, lusileur se monstrarent sortjoyeulla, dilans que par e molen 'on debvolt spere lasin des aut S. scandales tant e spard estendu par Sali et Eglige Catholicque, parti pou cause de Hereses Sectes, partie our cause des abus. LII. stant a chos mise en deliberation d Constit, se

retrouvarent eu sortes d'opinions te uias dis ient, que jacoit qu'es particularite se Cuvolt trouver aucune dissiculte, tant de jurisdiction, comine des privileges S ultrescholas emblabies, 'u'en Pentiere reformation 'estoit dutout ourve commees necessite duriemps bien te requeroit,toutes lais stant de so metae hos tant favorable .importante, la granderaison prins tanta coeu de Samaj , que a honne volume se doibi executerin mestre en aeuum, non seulement an doubi ou difficulte quelconcque mais avss avec tout promptitude Walegreste quant auxdifficulte particulieres, qu'avec laetemps se Pourroit traie ersu icelles Les utres, principalement les Sejgneurs, D ient qu'avant entre en ne mattere sy grande disiicile, qu'ono deburcit te penser ou beaucou de considerations, qui se presentent acceptant di publiant a Maj I ledit Concite absolute ment. LIII. Premierement , qu'il 'entremectoi en un negoce ecclesiasticq que amais ' este e praesicque enceste Maniere. Item quem voyant les Princes me igneursd'Allemajgnes ub Conne rotent que Sa Maj'. auroit intelligence secrete avec Sa ainflete, que 'icelu ubconin mes-

contentem ent Ourroit succede aut cun inconvenient aux

Estain, ou les oberin piller Oultre ce ussy , que lesboas, tant Ecclesiasticque que Seculier , ne se monstreront

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preeminences, a quo mimi Vaul de ourveoir stantia chos entiere, que non Par apres, a raiso de quo leur

su est Ecclesiasticquesin Secutiers. LVII. Tiercement, que our me ire en euvre les diis decret de doctrine, reformation, estoit necessatre decies accepte di publier mais en ec estolent disserens te una

a des

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des ad tres surda forme qui se deburoit teni ; dilans te uns, questa publicatio se debuoi faire generallement Mindistinctement, inue surcies exemptions se ourroit traicter particulierement les autres qu'il ne se pourroi faire sans grandprejudice, que partant se deburoit declare par ne exception generallem particuliere, ou comm aucuns di ient. par lettres closes. LVIII. Finallement estant te out traicie a loni a plement , 'ad visa de renVoyer a Roy Our en Ordonne a

Ies uelles mectre en euvre , furent depeschees lettres aux

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este usque ore , selon qu'il eniendrolent plus particulierement par instructio que leur stoit enuoyde. LX. En conformite de cestet tres, Archevesque de Cambra set incontinent convocque son Concile provinciat, auque i eust gran traVail, uparaVant de ouvOi acheveravec beaucoupta'Ecclesiasticquesin Chapitres, qui ne ou-

saici par a grande diligeiace, quem Concile a esse illecqpublie En Arche vesche de Malmes ieni' este Dictiouria cause lassi icte ny ussy en PArchevesche 'Utrecht, parti par aut de bonne concorde 'entre Archevesque ceu de so Eglige, parti par aut de bon Zele 'uncoste χ'aut re dilans aucuns personnages prudensin sages, qu'iceuix presbter Ecclesiasticque semblent est re de telcourage, qu'il aiment mieux 'estre destruiet du tout partes Hereses que reformeet, Mestre partie decla Saincte EgliseCatholicque.

De la Respono de Samast stir e besigne des

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, mon intention qu 'il cessent, in qu ilZ 'executent con- re es didis prisonniers, en Conformite de ce que uous, escripuis dois atlladosid: is ceste paretilement en re- sponce de ce que 'ave represente par o lettres du, XXII de uillet en attere d'Estat, ne ouvant obmectre, de Vous dire, que Pour inultant que 'a entendu estat, auquel se retrouvent les assaires de la religio de pardela, ne convient de Dire ulcu changement, in que es, placaris de seu Sam ' Imperialle, in tes iens solent

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is aniere secretement.

gement de peines.

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o meilleur plus promptra malinu regne presentem ent, is que non parua maciere dc considerations mentionne es au, dic article Ne delaissant Curtant 'en tenere in mesme

, cholas qui serviron a ces ins Et cient a MaJ r, pire, tae plus grand inconvenient ce que se represente, cy, de ne Dire par ediet, in seulement par instruction, de Conlaudi provinciaula Dur a diminutio de authoo rite Maultres inconveniens qui 'ensuyurolent .

mira se monstrarent incontinent fori mal conten .en-nuveg mais comme 'estoit ne mattere de grande impor

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que our donne aulcune satisfaction sententemen aupeuple, qui a present, Par a suggestion 'aucuns mauu aisesprit inoit out altere contre celle Inquisition schosetoutem is plus neces ire, cla quelle en facon quelconc-que ne se debvolt oster aussy pou meoir, que les Inquisiteurs. 'usurpassent plus grande authorite, quod'ancienne. te ne leur a est donne , qu'il ne seroti que bien de reveoir examine les commission sis instructions de diis Inquisii-teurs, tant ou sfauoi s d passe se solent conforme a Jcelles, comm asin de Ourveoi qu'a Padveni ains se face, 'uetout te monde entende de cognoisse, que Sa Maj' ne eult ulcune nouvelle te, molnsaintroduction de 'Inquisitioni'Espaigne, selon que es mauutis falsolent courirlebrubit, mais tant seulement garde S entretenir, e que par te passe a est ordonne avec si grande deliberation desolemnite.

LXVIII. A cest advis de euixi Consed Prive se con

ti avis de Cestes Consaulgin aultres, ave que surptus de laresolutio de Sam euillans toutes ij bie declarer, qu'il craindentisor de granus inconveniens, qui bien tostpourroient succede a cause 'icelle resolution. LXIX. Quo oyant te Pressi dent, ' dici, que Puis On melius. craindoit cela, qu'il serottion de rempescher prevenir, non accelere te mal ce que sensioub te adviendroit, sy

avecq un tres long discours de non entre en e our eviter

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LXX. Tout cec non obstant fuit distin conci que considere expresse volunt de Sam ' ille se ouuoi faire

auire hos , que 'executer se mandemens, par cons

mandement de Sam selon que depuis fust Dictis chasi