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De sat auque se retro uvolent en e temps ses
LXXII. TL ne sera hors de propos de dire en uel stat
estolent allor les ay d'embas, tant evant lapublication des nouvelles sus dictes, commes depuis. Et certe les hoses alloient de telle sorte, que non stulementies PrelatZ Juges Ecclesiasticques, Inquisite ur se plaindolent cluseu de respectin autorii qu'il avolent ayanis Ies Inquisiteur de Louvain script ne letire a Madamepou estre decharge de leur offices, comme ne servans plus de rien mais ausi plusieur persennages Seculier bienaffectionne a la religion, persennes publicques, 4ulares, signatemen ceul de la Loy 'Amsterdam our cause de
tres lieux, qui chascunciour se douiolent me di solent greve par es dicis Ecclesiasticque Inquisit eurs,
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fus permis cun chastu de iure a se mode, a son laisu, selon a conscience. Et comme plus eurs illes placestachoient de persuade a Son Allege, que e mal de Heresses ne 'extendoit sy avant comme te ruit en couroit,
a contraire les dict Seigneursin aultres di tent M uste-nOient ournellement, que te nombre des Secta tres estoit sygrand quimpossibi seroi decies extirper, inue necessabrement convenoit de leur cede en auicune chola, de leuroctroyer, si non la publicque dimoincla liberte domestic-que mais lariterce opinion des ommes prudensis experbmente encia republicque estoit, que te malis'estoi sy grandque our de sperer ny s petit, qu'on te deust negliger, teni en e de compte, ais que satis Disant chas u ason ossice, qu'il tenoit de Eglis on de Sam ', 'enpourroit spere bo succes/ amendement. LXXIV. Et est sit celu estati commvn vanida publication des nouvelles susdictes. mepuis celles publiees parlattres de Son Alter , scriptes auxi ves ques, ConsaulX, honnes illes, 'est chos incroyable quelles flammes ecta
I seu, 'auparavant cache Gub les endres, ' panchantu ne ' voix opinion non 'seulement entres a commune, mais ausi entre la oblesse, que plus est, entre beau- cou de grande autori te, incul de Consaul mesmes de
procede en out rigueu de placaris contre les delinquans, quelque menus delitis o contraventions que e lassent,
jacoit que les et tres de Samaj , qui larviendrent inconti
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qui prermolent audace croccasio de ce qu'aul cun des Seigneurs mouuerneurs, comm les Princes 'Oranges, C te de an et Megbem, Mai quis de Bergues, Baronde Montign3, 4ultres certi se de a bonne volunte de SaM elle que essus, respondolent en substance, es uns
dirent par ne equeste de trois hoses a ceul de la Chan. celleri de Brabant. LXXV. Premierement que par leUrs lettres le avolent en-charge 'avoi s in de rexecutio du Concile de Trente inant, chola Ecclesiasticque 4 dehors de leur ossice civil
de les placaris de Sa surci faid de a religion , non
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principallement de elu de Inquistion de Ia uelle nepouvolt succede que malo inconvenient. LXXVIlI. Le hancellier .aultres des Consei provincia e 1 Brabant, ab ant eu celles equeste , mandarent auConse Ples Procureurs e Pensionaires de dictes quatre Vibies, estimans leur donne bon contente ment Uec bonnes parolles , en leur declairant leur raye intention, cello de Sa surdes didi potnsis mais it ne prouffictoientrien De sorte que venans unciour ulcuns 'iceuia a Son Alleges, tu seirent relatio de ce que se pallait L mectant Son Allege en deliberation, comme hos de grand oix, de grande importance, sust conseille de prendre informatio plus particuliere e ceste mattere, estgnamment en ceque ouchoita Inquisitiones 4 de latet nvoya au Inquisite urs generaul de Louvain, ou estre 'iceul informeequelle hos que 'estoit de la liberte que eui de Brabant pretentotent. Ab ans te dicis Inquisiteur enuoye leur advis avec beaucou de papiersin instructionscioindis , servans ala mattere, o Allege commanda d 'eXamine te Out , premier a diis Consei de Brabant, dc par pres a Conseu Prive .le out e se trouvolent les dict deu quasi 'unmesine advisci a scauoi d'envoye larequeste a Sam pouria appoincter ωque cependant les dicta supplians auroienta se contenter des dicte lettres,in Direce que de coustumermais in avolt une differen ce, que euix du Consei Prive avolent enceu ne appostille presuPPOsant tacite ment, quece ut de Brabant estolent subject a Inquisition, non plus ny molns que es aut tres Provinces, a quo ceul de Brabant contredi tent, sanxioutes Ois se affirme clatrement, qu ita 'estolent subjedis, usques ce quayans par deuxsois is leur script fori obscurement, enfin furent constrainst par Son Alic Ze de refclairci , declarans par te dis ad vis, que eui de Brabant 'estolent oblige a aut cune Inquisition , me que Delia sori te resident. 4 eul duCoiiseit Prive distans selon Popinion commune sembler te contraire par es dies instrumens , in que sy ceuix 'estolent bastans, que les Inquisit eur de Louvam Troient 'exhiber
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LXXIX. Les Seigne ur principaulid Conseild'Estat, semblablement e tam te de Megbem stans illecq presens, oyansce que essus, dissilent qu'en un inire de Brabant , Son Alaege estoit oblige de suyure advis DConsei de Brabant: iose que euix du dis Duche ne solent subjecta a
mens concernans a religion, ais estant quelque Dis necessatre de procede contre aut cun SHereti ques, enVOyOient
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ossice, pou estre hom me lay , selon que des us a est dict. Et comme par u sienirie auroit is en sollieu Marqua Eveques de Liege ou Inquisiteu genera de tous te Pays, Madam Marguerit Duchescte de Savoy Regente generale des dicis Uays 'en doulut a PEmpereur, dilant qu'elle avoltun aultre Brie de Saraainctete, par te que estolent ordon. ne trois Inquisiteur a par chascun iso pays, a scavoirle Prevost de Chonoines Regulier a Ipre, Our Flandres aut res terre voisines, e Prevost de Ordre desilaollersa Mons in Hainauit pour c pays, aut tres 'alentour, te Doyen de Louvat pou Brabant, Hollande S aut tres, fust tant be igne avec Saciain tete, qu'icelle charge de-meura aus dicts trois personnages, qui de la en avant exe colent leurisiice sans empechementi Opposition quelconc-que principalement elu de Louvain, qui ausi, parcharge de la dicte Dame arguerit sei stilus eur adtes notabies par out te Duche de Brabant, Comte 'Hollande, specialementa BruXelles, o qu'en Pan XXVII furent traictege Justice, parti condemne , parti reced a Peniten e .
jusque a soixantes person nes, 'avantage Fust auis enicelle salson a gavoir e Pan XXIX. faict u mandem ent, o placari contre les Secta tres mereticques, e que dadeptas ei rati XXX l. sust reduict ei adire forme plus ample,
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avecti participation des depute desistatZ, qui D1cti ados mention de Inquisition ' est te principat placari , du
quel en ce tempsin annees layvantes exercarent leur ossicelans obstacle quelconcque : in sol oultre ce leursus donneeune instructio en ran XLV. par Sa Maj Imperiale, aus-s une patente expedie ad chancelleri de Brabant auxi ficier Maultres ministres secutiers, si de donne assistence
exerce divers actes de jurisdictio tant en Brabant, qu'Aultre part ,.jusque a ce que les dictes laincte se soni menes suscite es LXXXII. Une chos est a cauoir, qu'allant les assaires entel termes qu'avons dies , e Princeta'Orengesin te Comi de Hornes Admirat, ultre e qu'iis se monstroient a contens, se et troient chascun maison, a Pintention qu'il di ient de retourne a Consei Cointe4'Eginon partant phi
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De nouoelles de a Consederation de Gentiis homines our e fata de a Religion.
retourne, Propos tres a Certe ce que 'ensuist.
LXXXIV Qu'ayant entendu certaines Choses de tres grande importanc concernans les biens da conservation de tout telays, non molns les angersin perit grandisiimes, queCourroient la des charge de a conscience, service de Dieu, de Sam postpossint toutes aultres choses 'auroit bienvoui trouver en diligenc avec Son Allege, eul duConstit, ourleur donnera eniendre, cle advise dec quipasibit, protestant outes scis, que comme ce estOit Venu asa cognois ance par te molen 'un Gentilliomme strangerbie affectionne a service duraoy, a que i avolt este constratia de promestre de non declare son om , que de-vant toutes choses t entendoit de garde s so S in serment. Et ins passant ultre, id qu'estans par ous es Paysias grandisombre de Satelaires mereticques, selon qu'il est out notoire, qu 'it 'estoit tant practicque par aul-
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sur Inquisition placaris, des queicit se plaindolent leptus, avec grace, pardo de a fauit commis en estendroict. Disoit auis que pour prendre meilleur consei ences endroi de choses tant intricquees , i seroit o de
qu'il avolt bonne sperance que les Gentiishommes ne viendrolent, si non en Ombre de quattrem cincq cens, sensarmes , inue a demande seroi plus tempere que non lebrui ct qui en courroit, Vec beaucoumd 'aut tres choses ser