Études historiques et critiques sur les monts-de-piété en Belgique

발행: 1844년

분량: 480페이지

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분류: 미분류

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Τ D'aprhs une note officielle mmes Irehines, n' lj, te seul mont de Bruxelles devait payer annuellement 30. 000 st. d'inthret 1 des couvenisd'hommes et de lammes; 2, 000 n. h des pupilles et 1 des veuves. y a Concludimus ergo ex supra dictis mutuatarios publicos Belgii et montes pietatis non magis inter se disserre quam duo individua ejusdem speciei diversis nominibus insignita. χ Resolui. ιheolost. de LoTR; 6624

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florins'. Volci uti aut re calcul encore, comprenant Six ann6es de plus et urnissant des donnέes fur chacu ne de

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Arras

Mons

Valenciennes . . .

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Beryues- in Nin q, mus les magistrata des austres villasse bandent Ouvertement par procedures et voles G Ditcontre se contenti de cea prini&ges. La dsifense en cinit dono devenue impossibie, parce que la direction des montaavait torioura succombsi dans ses prsitentions, devant i 'autoritέ administrative comme devant l'autoriisi judiciatre. Lauiolation de ces privilύges semblait chose jugde. Les causes de cette opposition des Elats et des villes a reconnaitre les privi loges accordsis avx ossiciers des mont de-pisitsi sita ient satis doute de plus d'un genre. S'il faut encroire Ch. Cobergher dans sa Relatio=i0. elle provenait de Ce qu'on ne regardait pas ces institutions comine l. ire ou la bourse des par ures, mala abi inemens comme une negociation particuliare doni te gaing ou perte et chamessor cheroiani auae purintendant et officiera Gadita monis.

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natent lieu. Atissi, des 1652, les dorens des msitiers, firent- iis, dans l'intsirsit des principales industries denos villes, d'unanimes rύclamations contre ces franchises 3. Moutea a cela que beaucoup de magistrata avalent vud'uti oeil jaloux Ie caraetore indύpendant donnsi aux monis. Puis a force de calomnies et d'intrigues , on avait fini par rendre leur institution impopula ire, mome auprhsdes Person nes les plus haut placύes , msime alapias des autori ita les plus respectabies. Ces exemptions d'im is et ces franchises devalent, d'ailleurs, choquer d'autant plustes populations, que les temps έtaient durs et les charges

Quoi qu'il en soli de la cause de cette opposition des

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ginis et des villes, torioura es ii qu'elle sitait devenue plus violente et plus gdnsirale que jamala. Le roi Philippe, paracte dέclaratoire en date du 26 januler 165 1 3, confirmaces privilsiges et plasa les Protecteum, surintendant et

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Il cinit bien prouusi potar totis que Ies deux causes Principales de la dsitresse de ces institutions ύtaient te non- rem boursement du restant des em prunis et i 'abaissementprsimatursi de I 'intύrsit des gages. N6anmoins, it sitait hors de doute aussi que Ch. Cobergher, toriours malade Ouoccupέ de l'administration de ce qui tui restati des moeres acquises par son phre 3, n'avait pas conduit les assa tres desmonis aveo cette luciditύ de uves et cette fermetd de volonia γ'il otii saltu potir teni r tote aux circonstances dissiciles que ces έtablissementa venalent de traverser. Les deux Protecteurs des monis, l'archevoque de Malines et te chancolier de Brahant, avalent montrύ sans dolate duethle datis la haute direction qui leur silait confige ; maiarembarras de Iea rasaembler, de leur imposer uri travaa sidu, io hemin de la conflance si public dans les commisgancea pratiques dea membres de cetis commiggion -

Le lait des conlinuelles indispositions de Ch. Co inher est attestidans presque t tes ses leures s/rehinea de Parehende H ; celui du scin qu'il donnati h ses proprilisis particul thres est rapporth dans diverses notes eonfidentielles reposant aux memes Archives.

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monu Par Province, en conservant par conssiquent I'union

NOUA RVOns VH eneore quelles tracasseries les magistratis des villes suscitatent a ces institutions doni l'indsipendance offusquait uti peti leurs polites ambitions locales. Deth un auire proj et de reforme mis en avant par certatus

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