Concilium Provinciæ Avenionensis, Avenione habitum anno domini 1849 mense decembri, 4. autem pontificatus Pii Papæ 9

발행: 1851년

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LΕTTRE SYNODiui L. Pis satiee. Cependant est. ii bien dissicile de reconnaitro les enuses verilatiles cloinutes nos Smilliances , oti plutot ces enuses ne sontwlles pos evidentes utous les 3 eux ar te naal ac luel a ses racines dans l0s espriis et dans test Dum : il est nussi facile it en assigner l'origine. de te diri iti ire da ses causes illi it ost facile de ii rer uiae consequelaeo de son priit ille . La I ro idei ce , sui illordina ire punit i liomine en rabandonnant ii Son gens r prome et nux suiles de ses passions, nous luisse voir clairement colle suis conainent Hac-cona plit te niystere de sa j iistice. Quant li Nous, vos pasteum et Vos phres. qui ne pessulis de ine liter les jugeinenis de Di u potir noti e instri iction et potir la xotre. Nous serioris port/s. N. Τ. C. F. . a reconnali re dans les naaux doni nous Vonons desilire te tableau si triste innis non exoorsi. uia grand dessein de inisericorde, si Nous vox tons ceux qui se sui it les instrum nis do leur perte et de pelle deleum si ἡrres, revenir sincereinent de la toto de Ilerdition. Mais pulsi tu iis sontsi luin en ore it abjurer leurs erreurs et leurs impioles. a roxenapte de rapoti e S. Paul, Mus ne nous ea herons rim de re qui est utile. Xous votis dirons in lupiment toule M v mite ), parce qu elle seule petat votis sau Ver. Newye donc pas surpris de la liberisi de nos paroles toujours dictves parnotre charite potir votis . et ne voras recrieg pas si Nous nisti tons te dolgi sur os plates potir les guerir. Votis voti leg, dites-Vous soli ent, que la societe soli salivde et siti ite se ruisermissi Sur Ses bases mais VouS n ignoreZ pas que releinent sonitai non tui de la societe, e est tu sana ille. Or, Nous uous te demandons, te Cliristianisliis est-il toujours respecte et pratique dans vos famillos L culicationdonneo a vos en sanis Pres dii Myer paternet est-elle urat inent chrelictane 'Reeoivont iis de votre t mucite des lecons qui leur lassent almer Dicu et la

sanis . formes d apros les traditions domestiquos , sont-ils esperer uno ghn rution digne d uia meilleur avenir' usitas i non. Oii velit preserver la familled'une mine totale . et i esprit qui rhgno dans te plus grand nombre dessa milles est uti esprit d ambition , de clipidite, de dissipation touto paleiane

illum, aio li, nihil subtraxerint utilium, quo minus annuntiarem Votiis, et docerem vos publieos t. XX. 20.

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i nevitabie de Ra 1ertit. l.n ineme Di Servation se reproiluit, non motus desolante , relati enienta luducation publii pie. Cette education Iκ clie radicalement dans les delix parti s ipii tu coitu, ent : elle est a Ia 'u pres nulle en te qui concerne tessent ii uenis ilia e mar et les habitudes morales, ou plutot elle dextent funi-uemnient dan rcuse par cola im nae 'lu'elle luisse satis sis in el satis re gle des passions naissantes ipi it Ludrait . des le proniter ligo contenir et diriger. 1 e militant pas Di eu et in Religion ii in tele de ses leui res. iluelle actioiit, eui .elle exercer sur tu iliorat de I lioni me On tu ut meme dire quelle lailranchil du j0ug des do oirs, non preciscinent en tes lui luissunt ignorer

innis parce qu elle ne petit les enwigner que comme line Simple convenan eoia comme uno tot depoui viae de Sanction. AuMi, reserve-t-elle prosilueexchisii ement ses 50ins polir la culture des sucultes de l esprit: et u est ieiquo se rex ele d'une maniere usiligeante te ire de celle inlucation. Car, purta, elle exalte out re mesure t urgueti d une jeunosse naturellem iit , ni ne olle la flatte par la lκ reli tive dans l axenir il uiae grande superiori te fur tesu utres homines et tui sitit conce Oir des csperances qui ne seront jumaifisatissaites. Ainsi, au lieu d eleier les ames ait-dessus de la terre par la consideration de raecomplissement de la xolonte de Dieii dans la voration qu olire dei ra de tui. elle les a filii et les abuisse en ne proposant d aut re hut auxiqudes que les uvant ages illune existencst epli more. Ensin. Plle Lunente iiii deplorubis sensualismo en excitant Sans cesse radmiration des inspurs paleianes vlix di siens de celles des Chrotiens, et en ext Usant usi uge lendi esti init,ressionnable, si non a in contagion des maliva is exemplos quellon ecat te pas totij0uIS uvec nSSeg de sotia, du molns il la si duelion des imagos

ti, Ex quo omuis poterilitas in coeli, et in terris nominatur. Ephes lil l .

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i latageretis. A d uni litteiature prosane it uiit on i nivro tous les joui aiis pretuire, ite pcur il en voiler les laeautes artistiques, les sages precautions comitiande es par te respeet dii ii l eii lance ; tant ost Hil le te prix hi onattaclie n la verilubie vertii lCotto odiication dans laquelle la Religion et ses lois tientient si peu de placo itu on los en croi ruit hannies . queis tristes resulta is ne duit olle paspr uire u la lotigue, si, en outre, son enseigia ment est empreint de cet te indiffereneo en uiatiere de religion qui tient totis les cultes potar Ogulementi, uis ' Eli bieni Nous te distans avre doulpur, tet est son caraetere officiet et oblige. Mais elle ne currete pus la stans les voles dii vini. A niosum quorenseignement f elexe au-dessus des eludes classiques et ilia it penset re dansle doniaino des doctrines, c'est alni S qu it acipiteri une pilissa nec terribit potar turrilire et corroni pi et les intelligenees, en leur arrachant les principes de la sol et de la morale eliret leniae. Deux vaStes chanilis Sont ouveris surtoul nux en trini rises de I esprit deri eur et de mensonge , i liistolio et in philomplite. La prenitere est fouvont linenlue ou resuile a plaisir contre Dieii et son Egli se : on it enature les satis, On les isole des causes qui tes expli pictit. on leur attribue uno significalion erronee potar Se donner ensui te to droit

d odieiises pretentions contre la noligion ou contre Ses ministres. A cet te Duure de destruction, reus 'ignem ni philosophique nymii te de sun colu uiae nain pu issante. Nous ne votiions pas decrire colle suis i notion demstreusu de cet enseignement. Nous dirons smilement qu'en proclamant rindepen. lance absolue et mente la divinite de la raison humatiae, it en est venit uret exces de nier il une inanisere implicite te Dieii ierit able solas la formoti via systome importe ii ou tru-milia , ou plutot renou velit des reves non inutias impies qu'absurdes de certains philosophus de rancienne Giaece..ua inteliant . X. Τ. C. F., Nuus en appetons a Votre propre jiigement .pourrieZ- ous ne pas et re effrabes de Pinstuenco funeste d'une semblubli odii aliun . u inquelle se troux e legalenient condam in ta jeunesse si an-

ii in qui ilicitis malum bonum, et bonum malum. Isai. v. 2o.

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Nous lovclions ici, N. T. C. F. . a rutae des causes les plus aclixes denos mullieurs. Si les populationS des villos et en grande partie eellos des uni pagnes ont o ubi id la severite des in Purs antispies et se pervertissent de plus en plus chiique jour, ii qui en est in sutile' X est-ce pas alix classesele res qui leur ont doniae lexemple de l'irreligion ot de ramour effretii, des j issantes' i e peuple u u et volt eneore celix qui tui soni si lieri urs partes lunati res et in ricli esse seloigner de nos oglisos et des prati lues saltiles de la Religion , et ii s Unigne a sola tour de res in Jines eglises et de cesmei nos liratiques , au I int de devenir preMyie et ranger a tout culto public. li volt les Sacrements abandonnes par les heureux dii siecie , la I sble salute devenue di eris: Cest asseZ pour que hient It ii iideli ne tui mento lejoug te plus salutatre de la Beligion. en ne se montrant plus aiax tribunalix de la penitente oti it purifiait sola unie , ni an han litet saer oti it re ovait te pa in qui donne la vie. La sanctification du Diniancile ne tui paruit, graee

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ianite, inconi pati ble nuce lesprit ilo sola teinps, et ii ne se soli lent idiis dii precepte que te Seioneur a particulierement recollaniando h sa si delite. En co joiir. Oti ii est ordon ne a l homnie d interrori pre S 'S tra varix luntrois tr a Dipti l laommage de son adoration, uia grand scandale auquel riterestei fle-insente Se resuse dans los puys oti cile domine, relate ii la Leo dii ololnii milieu de notre nation catholique. Dans plusi uis dc nos grandos cites . Dii Volt les assai res sit iure leur cours ordinati e ; e est la mente acti ille dansles atellers de i industrie, te inhine mori vcinent fur te clinia lier des ira, nil leui et dans certaines contrees, te travati nicine des champs ii est luis sustiendu . li y a dans la violation devenue si coin inunc de celle grande tot respecti. jus tu'ici dans tout te nionde chretien, une Sorte d npostasi e liu blique , cultu hie d alti rer fur nous les chalinients les plus terribies de inii istice dixine. Celle joui nc nefaste, commenei e par la rebellion mi verte coiitre Dima. Pache vo ordina ironient dans les defordi 's et los exei A les plus oupubles. On Iala pas paru te inutin dans nos eglises, ou se precipite lesoir dans les lieux de debauche: on a tiris a degotii tes Sotiates solennites de la Religion , on se plonge avec sureur dans des mysteres duit luitii oldulli inination : et . par ut nrange renuei Minent de thrdre, te jour du igne ir est dolenti reellem ni te jour de Satan. Voltu corninent caecoin-plit a Vec des progrἡs de plus en plus inenacanis , rivi iure de la dei norali Salion dii peuple, depuis qu il a eu te inalheur de Heloigner de la luinistro de Dieu, de sa grace, de ses benedictions , et de se sola straire u raelion hien salsante de son Eglise.

dulis par eelle sotile is ceri aliis qui prostinent, cliaque jour , t uno des plus hellos et des plus nobi es missioras, collo que Dieu n doniaeo a resprit et aut alent. Au lieu de eonsuerer eos dolis dii Ciel k la defense de la i erite ei dein justice, sola vorat iis ne flan servent que pour ulta lucr ce qu'il γ a de plus satiat parnai les homines , et potir propager les plus dangereuSes erreurs.

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s, I .ET BE SYNODlut L. I is se sent ite leur pliai ne i in instrument Ii iur glorisio totis les prinu's, lioliri utrager totites les vertus, potar holit everser tous les principes dans I ordio morat asin de inielix preparer les imuleversenients pi iis nil ditetit dans l or-dro materiel. Telle est la laetio qu uno grande partio de la presse de notreioti Hest imposeo. Elle solidite s dire liguue ni re t enser potir volnir dans tu meiele une multitude d steriis oti simplete des do 'trinos te disputo nit unisme de la morale. et qui volat porter ii tant de mallieuroux, jusques dans les plus petits lia meaux , t aliment enalmis inne des plus mauu nises le

tures.

lienetres pour Votis . Fous presse de Vous uianoncer avec uia juste sentinient de conflance que des j ours mPilleui s votis soront areordos, si votis PHOE lier hor nupres de Dieu les remedes Iasiemsaires.

Notis n'aurions rempli quo la partie la plus dotaloiireuse de nol re tructio . si . api sis votis avoir signaby te mul et ses ε onse plenees terribies, nolis noxeniolas pas votis dire te bien qui doli lo remplacer : si la voix de os Pas-leiirs ne fortuit dii sanctua ire que conmie une volX prophe lique qui volas donon emit les xen ances dii Seigneur satis ous sui re connailre ni issi tesiissources de Ra misericorde doni Nous summes pri s de votis les ministi s Noi IK votas conjurons done . N. Τ. C. F. . par les Pntra illos de desiis- .lirist. d reouter los consciis de Notre asseclion paternelle. Si eos conseiis ne Ront pas repousses . il se manifestera hien tot l armi 1 ous uii rolour publieot sinchre nia Dieii bon liai ne Meut pus la mort ita preheur mala quil se e --

Dertisse et pisi Dive q) , et a la sol sainto qui sit te honheur et la gloire denos i eros. Colle sol ranimeo dans les co um l ur inspirera in priore ardente tui s Vli ve vers te ciet et en sitit deseendre les grades et les beii edictions illii saliveront les ames et te monile lui-mdine. .e premier pra a seire dans colle vote de retour . Sest de rotabili' i'ord rodans la societe domestique. Il saut donc que l' sprit du Cliristiani sitio .

sit Et sanabilas lecti in bis terrarum. Nap. l. 11. et Νola mortem impii. sed ut eonvertatur impios a via sua. et vivat. Eaeth xlv. li.

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Cliaque maison litors sera transforni est on uti temple satiat oti l 'on adorem Dieu on es mi et re vinitd, parce illae tolitos les vertiis de t Evangite y Seront

Ces habiti idos de pietsi ohestienne duias les parenis prἡteroni une soree singuliere avx leeons de ledueation qu iis dolvent donner a leum ensanis lita te preti ter age, aure une sollicitude qui s attacho pia ore plus a ranae lubu Eorps Pn Ore plus au Sori eternet qu'a la vie presente. Colle prerniere seducation est de la plus liaute importanee r il faut pina trer te e de Iensant a sentris de sa vola. asin quit ne a plotyne mini de la 3 esse. mme dans aes demires Dires e). On l a dit avec uno grande raison, rhommemorat est forme fur les genoux de sa mδre. Dps-lom. que de solias, que deprecautions soni exiges des paronis i duelle ei reonsi,ection dans les dis-roum, quelle prudence dans los dsimarches ot dans les actions i seu iis se Uuviennent furtout que Ia voie la plus eoiarte et la plus si ire potir formeri ensance a l'amourdu bien, o est la voie de rexemple . et que les plus belles

terens fur la vertu ne serviralent de rien si ellos elatent en opposition aveo leur conduite.

Il saut aussi que, dans te coneoum de totis Ies gens de hien chacunemploie avec Zele sa part d influence potir en 4ronner i 'education publique de totites les conditions que la Religion ut reclamer, asin que I aeuum ommenere dans te sanctuaire domestique ne scit pas ensuite compromise

l l Sicut et Christus dilexit ΕωIesiam. ea. V 2I. IJ Adolegeens iuxta viam suam, etiam eum senuerit, non recedet Eb ea. Prov. XXII. 6.

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iisi LETTRE SYNODIQUE.liar les iliaiias inhabiles ou itidi es. Les mai tres clioisis potar rempli r certe grande et sublime soliction, assument fur elix inutes les obligations du pere et de la mere, et dolvent se rexetir , sit est Ipermis de parier ainsi. de lout leur amour et do tuu te leur sollicitudo. S iis soni a la hau uuar de cetis ui elio dissicile. iis senti H ipi iis dolvent avant tout apprendre a I ensant a conii attre Dieu , a saliner et u te servir. Quand iis auront aliasi forme le cceu rite televe nux verius chretiennos, iis potirroni fians danger donner aux sa cultes de son esprit tout i essor doni pilos soni suscepti bles. Mais a ouon te, tu iis soni rares les institu invita de la jeu nesse qui comprennent alusi le lovoir de reduealion i Aussi. est-il bien iux sui re qu'une pleine et entiere libertia scit lais e avx cheli de famille . dans te eboix de celix entre lesii inius des lucis iis remetient uia depol qui leur cst plus cher que la vie :e est lo druit improscripti ble de la nature qu'uucune puissance humatiae ne saura it jamais di tritire. Que les parenis a leur tour te sachent bien . Nous 1 oulous te leur dire en cet te occasion Soloni elle . c est polir eux uia de Dirriguum ux de conscien e , d et re attent illi ii iis conlier i education de leuis elisanis illi a des mai tres dignes par la putete de leue sui. par la satiatele deleum minuita et par une solide instruci ion, de rempli r une mission si linuleel si dissicite.

lentii et pas d accoli lilir avec fidelitii. dans lo secret de vos maisons , les inu, ros ii une religion sincere. VOus de veg de plus temoigner publiquenient dans nos temples de votre sui par lassistance aiax ostices , par votre assidui tu non tendre Ia parole de Dieu . et furtout par in participation aux Sueremenis doni vous appreeiereg d'Rutant mieux les Salutatres esseis que votis les frequentereχ davant age. LVt lilicatioti de vos lieres et furto ut les besoliis de vos ames votis defendent de votis en eloigner , non molns que la volonte adora-hle do Cehii qui en est i 'auteur. Les Sueremeliis Sont les eanaux des graeeset I aliment indisi,onsalite de la vie chretienne ; qui los refuse Se condamnea in mori. et monti e d une man id re non e luivoque quo sors Christianismen est pas veritable ou i 'est Pas eclaire. VeneZ dono otis assin ter a vos Dei espour jouir avre elix des biens commitias des trideles: veneZ Souvent x ous roniandro avre oux devant i autet ilia Seigneur, potir sui re ensem hic te plus bul ac te de fraternite en votis ussoyant totis , richus et paux res , ii la mome

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lable satiale et y re evant la meme noli tum coleste, eomine olant totis

lenient hie hs la napine dignite i 'ensanis de Dieu.

ia propagation des bolas livres. Avec rappori de vos Oiliandes fur lesipiellesilous comptons, it y aura bientat dans elinque palmisse uiae bibliollio suo

d uno v rate charit 6 . qu iis les uident de leum biens et de lenta I ersonites . et illa leur inspireront en rctour l amout et la consanee. I 'esprit d irreligion. en resserrant te costiar des riches, a pisuit entre les diverses classes eo satalantagonisme qui sali redolater tant de matheurs : resprit de actus Christ. enexellant la charite dans les ames, sera que te riche et D pauine irent audebant Iun de taures p r se sit mer tu main, ear tous deua sist fouisagede Isis εἰ e). C est alore que la paci, la concorde et une iaciarita dura

lia duandiu secistis uni ex his fratribus meis minimis, mihi fecistis. Maera. XXV. εο tri Venile henod leti Patris mei. MI XXV. 32. η Divis et pauper obviaverunt hibi: utriusque operator est Dominus. P . XXII. 2.

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il saut donc se solametire a sa ioloni si suu veratne, lors tu it ilous defend de convolter et de prendire te bien d a iitrui, et lorsque, dans ses xues tot oum paternelles puur te salut de nos umes . il nous sati participer a la palavrete tu il a ennoblio et sanctifice en ta clioisisSant lui- in me pOur Son partam : dumta n propter vos Venus faetus rat, cuan esset diues ). C est parce quelle adore ce Dieu si paux re . couche dans une creche et sustiendu Sur une croix , que i Egliso aime les pauvres d uno tendresso de predilection. Xous ne polivions dono les oublier au sein dii Ctantile : et c est. inspires par te sciatiment de leui S b Soins, que nous avons porte uti diaeret spi elat fur la charite . dans riniaret des classes laborieuses; deeret qui, senappetant te richo a I aide du pavum . doit resserrer entre t uia et i aut re lestions de la fraternite chretienne. Mais des u present Nous conjurons, au non de leum plus chers intercis, ceux quo l'on clierche n ogarer par rupput d iiiit,onheur chimerique, de ne pas preter roreille a de sal lacteuses promesses. Avulit de linir, N. Τ. C. F. , tu ur resumer nol re pensi e et lout te des- sein de cetie Ietire , Nous mel trons solis vos Seux les paroles admirabies illaesa in t .Lugustin adresinit avx fideles de son temps . potir peindre riteureuso influenee que la doctrine calliolique, sincerenient crue et si deletnent prati ludo . exerce sur Ie bonheur des individus et di s societes . I Egli se catho.

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