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Terre Claser. Li V. III. Igrsans la moindre pei ne jusques sur son
dantes de linge , de draps, de charpie, de pars unas , de re me des ; & quand il
les demander de s a pari. Sa Charitene se hornoti pas au pur necessa ire , ii s'essor oit de leur procurer to Utestes commodites qui dependolent de tui . Potar les defendre du fro id, &des Mosquites doni pincommodite est e treme , il leur fournisso it de bons ride aux de sorte tolle , it allo it les ten
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1 8 et La me du Venerable Perer utre. Comine ii ne se trou volt potnt de Chirurgiens qui eu sient te coura-ge d' alter les faigner, iis eloient obli
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Pierre Claser. LIV. III. 183 de ces malades ; parce que fa Charitelat toujOurs la me me partout. Il fetrouva dans cet Hopital, comine danscelui de S aint Sebastien, un malade si cou veri de plates & d' ulceres quil
infection , on ravolt jette sur une es pece d' appentis e carte & fori eleve de terre; de sorte que pour lui portera manger, ii falloit y monter par une
tinuel de tomber. Cette nouvelle dinficulte ne servit qu' a donner de nouuelles forces ala Charite du Servileur de Dieu. Des qu'il siqui rextremite Ou cematheureux eloit reduit, it se chargeadu so in de te secourir lui-meme. C'ein toti hin spe stacte digne deradmirationdes Anges, & capable d'attendri r les assistans, de voir ce venerable vieil lard deja fori infirme lui - meme ,
Cette echelle , po ur alter instruire sonmalade , te consoler , lui porter sano urriture , & netio ter ses piates ; cequ'il ne cessa pol ni de faire pendant plussie urs Mois consecutiis. Tout l at-
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quoi satisfaire to ut a la fois sa Religion , sia Charite , sen Humilite , sonAmour po ur la mortification ; & c' est ce qui tui rendit cet Hopital toujOurs si cher & sipreci euX. Peu content d'yaller
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Ce qui arri volt tres-s uveni ; parceque les fa ivres qui ne trou volentpoint d'autre consolation que dans unhom me qu'ils regardoient comme leur
noti s uvent la satisfaction de scavo ir
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18 6 La Vie du Vener ab Ie Peretions de son Ministere , ii remercia humblementi Espagnoi, en Passurant,
qesit emploioit a mille differens ossices de Charite, ain si qu'onra deja re mar-que , tui servolt encore ici a enu elop- per les Moris , fans jamais contracter aucune infection ; de sorte que les
Xemple des Negres & des Malades de
lti ai '' solation ; puisque Dieu lui me me seplais it a faire eclater de tems en tem Silarsa person ne quelques raions de sagio ire. I 'Archidiacre de Cartagene Ciant tin jour at Hopital, po ury dis tribuer quel ques aumone S , y trou Vale Pere ali milieu de ses mala des , aueCl'air d un Seraphin , te vis age brillant comme te Soleti, & la tete en Viron- nee d in cercle de lumiere doni tes
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ii ne vini a bout potir la gloire de Dieu & te salut des Ames; de sorteque quand les Religi dux de Saint Sebastieri avolent sati inutilement tous leurs est oris au pres de quelque pecheurendurci, iis falsolent venir te Saint Homine, bien assures de la victoire. On y amena un homine altaque d'un
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plo te, polir te faire revenir a tui; mais en vain. Si on tui appliquoit quel ques Reliques , it les rejettoit avec sureur zs on tui parto it de se consester, ii ne repondo it que par des injures: lui pre- sento it-on te Crucifix P il detournoitia tete en de se spere. Apres uia jour &
tane extreme enute de manger une esse
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surpris e sui si grande & si generale a
Le Docteur Adam Sobo , Me decinde cet Hopital , a atteste juridique ment; que quand ii salso it la visite desmaiades avec le Ρ. Claver , ii tui demando it ordinatrement ce qu'il en pen- soli, & que totales les so is que te Servileur de Dieu lui repondoit; Faues, o Pur , ce qui est de botre Ministere,
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rso La Uie du Venerable Pereune occasion fori singuliere. Un jourque ce Medecin se troiavolt seul avectin malade encore plus infirme d'es prit que de corps , homine soup n-
neu X , inquiet, agite, taciturne, me
entendu fa Confession generale, tui Ouvrit les yeux sur la grandeur de ses