Études historiques et critiques sur les monts-de-piété en Belgique

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Lo 28 mai 1725, une liste des assi anchis des droiis de laprovince, des villes et auires lieux des Flandres, fui publiέe h Bruxelles '. On y remarque les franchises que voici :Les conseillers amesseum et te surintendant particulier du mont de Gand ont la franchise de deux pthces de vin ;de plus, iis jouironi de la franchise enithre des moyens muranis de la province fur totiles Ies au tres esphces de consomption, par-dessus la franchise des droiis des villes, satis des vingtihmes diis Dysgelden, polir tesqueis iis ne j ouironi que de la franchise de la mollisi. - Les commis et Ies deux seorsitatres n'ont Pas de franchise fur te vin , mais fur les tithres, grains, etc. Aux conseillers et furintendant du mont de Bruges franchise des moyens couranis de la province , de deux pthces de vin et des droiis do la ville fur te pied r6glsi par la transe

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co 'est done pas sans motiss que te sicur Jacquet, qui des 1716 avait demandύ inutilement Ia permission d'sitabit run montine-Pisitsi a Ruremonde contesta te coia pieux de ces institutions dans la r6clamation passablement harmo

ti L'ex Imrienco, depuis 100 ans que les monta soni sitablis avx Pays-Bas, nil voir que la charild et Ia pisitsi n'y apas encore cisi assea grande, Puisque les Pauures n'en sonipas plus mutassea que dans te commen ement Sur lepiod qu'ils s'exercent atriolard huy les monta servent indi fereminent les pauures, te commerce, les dirangers et les riches; on doli les regardor comme des banques, putriu'iis sont en ce mini sortis de leura premieres firis, et que lachose est consondue a uti potnt qu'il n'y a qu'une differetice de nom , de sorte que cc qui est banque est appelύ monNd pisitsi, et que ce qui a έω institusi pour montine-piύω est devenu hanque '. u

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Les causes de la dsica lence qui mena it les monis da- talent de loin et se presentalent avec une multiplicita d&esserante. Falsons te hilan de leur si tuation au mini deuue sinancier et administratis. D'abord, los clusinomonis politiques, la continuitsi des guerres, la destruction du commerce et de I'industrio parte Traiisi de la Barrisire, avalent j etsi nos Provinces, nos

con quent leurs hi ni fices aussi D'ailleum, te capital desmonis sitait singulthrement diminud , tandis que les rentes h servir s'sile valent encore en 1751 h leur chissi e primitis de 4, 871, 410 norins , et quo te servico en sita it devenud'autant plus pesant potir les monis belges, que les si x monis codsis h la France n'y prenaient Plus Part.

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La diminution dii capital des monta belges avait Pli si eum causos d'uno naturo bion ditarente. D'ahord lo gouuernementcontinua it de latro h ces institutions des em prunis si quenta ot considi rabies, qu'un auteur 3 falsa it monter, vers 1750, ala somnae de 2 millions de si Oritis. Cette sommo est Deu sitre

notions prsici ses, parce que les cheis de l'administrationdes monis se protaieni h eos em prunis clandestinement. Εcoutons a ce sui et ian surintendant du mont de Bruxelles :

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d'ύiat, intendant de Flandros, Ilaina ut et Artois, pendant

sur la siluation finanethre des monis de ces provinces '.

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des renti EPS.

Moul eZ h ces pertes celles que i 'on falsa it fur les petits gages, qui sitatent les plus nombreux, et pour tesqueis tesint gi sits ordinat res ne summient pas h couvrir les Dais de manipulation et de conservation '. Cotto diminution dia capital des monis cliait due encoreli quelques causes sphciales. - Εn 1704 le surintendant du mont de Namur luissa uti dύficit de 18, 160 norins. En 1725, colui de Bruges partit aveE Sa Caisse contenant 51 652 florins, doni on retrouva 8 565 florins par la vente de ses me utiles et de ses hiens β. - It y avait une derni sire cause maiori elle de soliva tice potir les monis datis l'en

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vendre Pour 75 000 noritis de change, fit eu 1740 le

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on concoit aissiment que la position des rentiem stit mutirillante k cotto . poque. Vers 17 20 On cessa, Pendant une longue auito Cannias et en rettendans lea fruita de la plus grande Donomio dans I administriation, te palement des rentes star les monis des Flandres'. En 1751 il y avait,deptiis i 'institution dos monis-de-Pisitsi dans nos Provinces, uti arrisii si de 35 ann sim d'inti reis non paysis, ce qui falsa it Polar les reniters une perte de 3, 594 970 norins φ. Aussi fallut-il hien tot prendire des mesures contre la vente desrentes h vil Prix. Dans celte situation dύplorabie des monis, avatimn proevoqud quel ques oconomies dans leur administration p Non:

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reusement ces charges sitaient devenues usinates : On ne

institutions qui en payalent du reste l'intdrsit ordinat re