De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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que dans v autre des mites aisennantes 'r'

varies qui se balancent an cesse an sedόtruire, our concouri a rorganisation dugran tout cilis a don unistre supreme. Quoi tout se meu dans univer il

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Ie connois ussi bien quo Pathόe, inutes νε τι tu is objections Uilieue meruire i en est mεme avxquelles e ne vois pastas iaponis; mala a est la faute de mon intellige e , dehon la renue de la Bibline de ma cause; anes iaponse dέpendent de a solution quelque problemes doni e 'aii aucune donania; aime utant dire ave Montagne , e ne Iris pas, que de erumper las hommes avee les athέesin Ies h logiens. Viae quaeque unes des o me donerexplicatio est lue ave la question conmo propulo.

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mae e ne ni que des enigme , que les adipes Eautres flaiates , meeran plus grandnombre Sorganes t ne intelligene plus

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Le hasaia ae rien siit; Iemmata lui-mεme, reest, comme telai dfla die, que te mura ina persu decla nature. De quelle utillia peindue m genre humaunte blasphεme qui Die dόriversorigineis laconservation des tres du concour sortuit& non spontan des atomes ne aut-il pasmieux our nous , ψendre 'une intelli. geneo supiame, que de raveugle fatalito L architecture senseat de runiversχέceleune unit de dessein, & par cons uent unbut de la part de rarchitecte. Ce ut ne eulaue ouvrage des causes secondes ; omne raction insensiae de rate

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de est uction de hymiste qui combine des

cause subordonnέe qui demande rinterventiorid'une premiti cause.

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s estiavident que te ut de cetis fouis innombrabia da ouages qui mposent grande machina dociaras auia humorue darunivers.

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uiae mouvement de marias CGmment dans de romans astronomi ues t-οὐ uten pendant tant a Melas vo

ia terre.

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Un animescule microscopique estis mondepou les infiniment petits notre systεme laire 'est lui ,εme qu'un oint dans tesdέseres de respace lauaison effrayέe 'arrete surrae bord de cestaeucabimes, wit,' aque la superstitio λόologique qui apprenne a les melarer. Ce principe fert de rόponse a tontes ceshivoles objections qu'on ait avx partisens descause finales; - ourquo cette profuson Aorme de germes qui meurent sans sera velopperi uel est usage des asses dans rautruche t ourquoi homme il desdoigis avx ted & des mammelles Ne suffici pas a teste que les causes finales solent videntes dans te plus grandnombre desarees, mur conclure qu'it 'en est aucun 'inutile di inest mille sol plus barrassant a rapore dumazard Sexpliquer ne seule cause finale, qu'au dέsenseutra theismede les explique toutes. Bient se faire que dans la multitude immense des apporis que les tres cnt entre eux, L en ait qui nous paroissent vagum

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declamature, regardoit m eontentemen unia verse des nations commea preuve la plustriomphante de existence de Diei ax; en esset raeeor de rhomme stupideis de rhomme delait de Neπton tau Egre- Blanc, fur ne question aussi essentielle a la