De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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potnt susceptibi de persectio : o ne persectionne que ce qui ealtὁre porcla notion qualyaranai re supreme se prέsente avec a me me clari a rentendement d'un ἡgre dii Senisalqu'Leelle de rauleur de provinciales. L mo de science 'est pas plus nitioue

exprime ridia de existenc de Die quo pou designe te sentiment de la pudeuri Cestra thόologie qui , in que rari do

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scitέ rhomme qui ne est pas, defire de

la voi commencer.

Et que seroit, o cieri rasse de cecin- fortun que la tyranni opprime a forcetu' verte , o que rignorance condamneribus levoile de la justice, 'il Κέωit potis de Dieu qui te derobat aux fureur de rhommel laphilosophie qui enseigne arabuse , menerotealor a bonheu , pluto que celle qui en-Digne a se priver our ovir ωΝεron qui embras si patrie seroi plus sage que Codrus qui expire ou elle. Le plus sage desinthέniens est accus Saavoi pari contre les dieuc quel sera te iugoentre Athenesis Socrates cere meme duvinit qu Aristophane blasphἡme en a de findant, 'ue te philosophe Aend encorsen expirant. Aussi te sage persuad γ'il est unistre qui iuge les iustices humaines, vo;tians fremit se existence se ditaudie in en vani la igue, it se croi plus heure quo

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volt en Laponte les campagnes couvertes

eune eigeiaternelie , tandis que air brille de mille seux; έt est dans te ciet, Hoplus affieu hiver ἡgne surcia terre. Si avois e monstrueu scepticitae de Diagoras & de Vanini , e frόmirois encoresse seire part a genre humain; e nev drois pas arracher de ses eu te an- deau qui tui cache rhorrent de so seri; di par humanit , i rebatiroista'une mainredifice que e renuerserois de rauum heu- inliseruent inuit Hes lumieres de mon. eserit

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Enrretien de Socrate O de Philoxene

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d timidit .