De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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que rei que de tyrans pussent oppost auxetiationstour de faire obeir; ce monstre semitencore plus digne det 'horreu des hommes pui'u'il necles aveugleroi Melour es endre

Ce iure est consaere a clatret mutes tessnuositόsque mέnage a la superstitio rim- sture sacerdotale est utile a relave dela nature de suture la plante empoisonnέe depuis se germe usqu' son dόveloppementa Μais avant que ἰ'etabiles le culte de Ianature surdes dstris des cultes invenis par eshommer, 'est-yias , propos Sexaminet fiun culte, quelqu'il sol est nόcessatre arhommesocial: ce problεme philosophique est au-dessus de me lumieres, 4e renue oucis refoudre dans la prison de Socrate.

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MN ait que des sites populatres retarde rent de trenteiourcle supplice de Socrate Lains 'HOMΜ

Athὰnes dui aulaόlire decla superstitio ravam tagela'avoiro prolonger te denouement de lapius sublime des tragόdies des sites absurdessent leutiomphe de rimposture sacerdotale raussi thEnes dans e temps-la Gurmilloit-elle de pretres soli Grecs, sol utranger qui venolent rallume leurael amorti a ce Gyexdu fanatisme. Quand iis furent te iugement de rarέopage, la mani du proselytisme es salsi tous & iis Vinrent dans a tison 'Athdnes , dans ledessein d attire chacun Socrate dans si secte; les unsiatoient des aveugies de bonne se qui mettolent leurs superstition particulieres audemus u thόitae : les uires tolent dehardis imposteur accoutumus a mene lamultitude ave te fiet de la crόdulit ,

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oui se crovolent assegialoquent mur con-vauacre te plus lage des hommes. Ces retres diver eous divi si dans leum opinions, at eous rέunis dans te desset doefaire mouri Socrate apostat, tenterent Sa

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te philosophe.L'un ouoit avec te cygne de Leda rautre caresibi laaέnisse Ioa n troisem essuyoities plumes de irat e de Ganymede. Un petit negre avolt appori te anneton qui bourdonnoi faintement dans te dόsertadest Asrique u Espagno avolt amen jusqu'ala biche merueilleus donesta postόrite rendietant Soractes en faveur de Sertorius. Ce qui tessa e plus Socrate ut te spectacle des ceur violees par a religion Lilvit de Baehantes έthevelόes implorer te eiel dans de altitude falces ou la ouislance,

des augures do Rome celebre tout nud laset de Lupercales .des Eunuque consacres a service de Cibele ou de Combabus, montre ave ostentation e coutea avecteque iis 'eloient retranches dumombre dos

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a, qui pleuvolent eu cie Sέcraser u peuple, fugitis qui avolt eu audace de se mire

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x nivers.

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i, te polypheme dea ympe., Cest blasphemer se justice, que de lan comparer a la notre i ne se Venge pas, de rhomme , parce que rhomme ne peuta, ut uire Uaneantit a les machines 1 organique qui se derangent, ii tes e D sectionne is i