De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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De unite de DIE , te seu de ses

Si cependant i silloit nέces atremeu ajouter a symbole des inlistes un artici sutressene divine i est un attribu qu'omne petit contester a rordonnaeeur de mondes,c'est punii question qui entraine examen duaginem system des deu principes.

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PARV, tu dogme singulier des eu principes , uis- qeson a trouve galement dans a religiondes barbaresin dans a tete de philosophesspuisque la terre pre Uentiere tonnέe de seuoi Manicheenne, 'a regarde lons-temps commerae 1 stem de la nature. N'oton potnt amanes ropprobre que lui

a imprim se apostasie mais HermEs ain, mais Zoroastres by mai Pythagores c qui

re'. erit 'Phil.ophia a mundi incunabulis ad nstram usque aetatem deducta, deri Alleman muker rom. I. souvrages de ce grand homme ne sent plus , mais son nomvitis Ore r tandis que elui de la lupari des rois , qui εnt constiuit des pyramides , est octile.

cb Les principes de si religio philoisphique sint re-c illis dans le αὐ-Vola levanirile dei'Orient e L .de amemnom d'Eschyle, a Theodice de Leth- niti, e Susem intellectvel de Cud otth, soni des iness-d Bavres de Clarte, fi ou les compare a cene partis de Ia philosephi de Pythagore. m. Formey, qui est ii pluiievrs eard le Fontenelle de Pacadἐmie de Berii analyse insicles principes de ce legislatent. -- IV a des, nombres intellectuet , des nombres scientifiques tes

, premier existent de oute ternite dans Pentendementis divin o. 'est d'eux oue outes choses procedent, Pat

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is de 'unit en acte me nombre infini est patr4 la mo-- nade est te commencemen d repos, . tient de uis divinit ; a dyade e vient, . de celle-c la mattere, infbrme, . dans unlata de discorderi te premis nom- ,, te parisit est te ternatre la tetrade enserme les plus, plosonds mystἡres d'une philosephie divine te nombis de fix est partiit, elui de sep sacre . h. elui de dixti harmonique , Ac rest abrer de la Philossophie , chap. a. Mi. a. - Cette arithmetique sublime a d faire beauco up de sortune armi les discipies de Pythagore, car onoe matque dans les religion des hommes que plus undogmeest obscur , plus il ait 'enthousiastes. Il peucloin ducitecte de Pythagore , elui de

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trine des eu principes a) , rae suffrage de lutarque est du plus grandspolas our Ies ommes qui pensent i est galement lophilosophe de historiensis historie des philosophes. Parcoureet histoire des euples de detix

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fori que vi , si iis pou moi a nature. Les partisans de deu principes ne Αε

avolent Sopsique te mal physque, te malmors qui regnent dans l'univers ; ou fairo Die juste , iis roni fait inconsiέquent. Iliatost bien plus fimple 'attribum I malmora acia liberte de rhomne , Me malphysque a developpement de formes dela maliὰte; mais cette ide Κόtoit pas assere systόmatique ou les philosophes ce 'est

laissa pulse irindustrie de se neur de Iacout de Castille, mant de casse lisu qui

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2 -il cesse Seire principe Nil est secisas , ru PARVI lula lyautre ne poni amaikόtό. Une premici cause ne petit subsister sanaetre active Por dans le system de Zoroastre tandissu'un seni amoit, rautre seroit obli de se reposer. Supposea n accor parisit entre romaeto de Arimane volt te Die d bien qua a prouuerae mal qui 'est pas different de te alte, ει alorcle Diev d mal est un

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cera

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DE A SUPERSTITIO M.

UANTH'examine les religions inventees par te hommes, i est utile deri'arreter uxce potis interne doni elles sent outes pluso molns insectees, oisen qui te mine len- tement usqu'a ce questa talia vienne ac vende les distaudre , fasse rou leseuple memode s credulite, Qvenge la nature. O poison interne , e prin e de maine est la superstition in teste Ia lutosophie de out temps se dechaina contre elle ceservice rendu au genre humain, que renuiemεme reconnolo, devmi bienuendre indulgent our e toris M'o tui suppose. La superstition est eout e que la crωulit asout in culte de a nature, O peut