De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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dans ne discussion melle dόfireroient quoi ne fusse que prudent ilis'en coate sans dout de renverse des aureis mais 'est parce que a plume est pacifique qu'ellos'όlἡve contre des culte sanguinatres , ωjone dόtruis uelour prόveni les plus grandes destructions. D dόfinis la medecine des docteurs, rari de eonjecturer ; ins dans rόchelle des connoitas ces humaines, i faut ranger et ar avec

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sensibi , lacinέdecine estua plus dangereuis

Leshommes sans principes qui crotroient. la machine animale degradέ , si la main d'undocteur n'en remonioli a chaque instant les restaris, ne faventias que lamedecine futignorέe des Grecs pendant cinicenis anc ah, qu'elle te ut connue des Romain pendants sese que par opprobre qu'il repandirent fur es hommes qui exercerent b), Qqu'encore aujouro'hui dans cetis molliό

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qui te decompose Il est probabie que I plupari de nos mala

dies iarivent de aliaration duriuc nerVeu , o ne eul4tabli que de si ivoles conjec, tures surcia nature de ce fluide qui parolirextrait deuous te autres , surcle niόchanitae M'emploi te cerveautour te silire , Turia rapidit ave laquellari est transmis partes nerti datis toutes le parties du corps potiropcter nos sensations ita nature nous monueles esset , mais nous laisse ignorer te causes: elle travaille derriere te thέatre 4 cacher sesressorti se contrepolds, nos docteurssent tranquillement au parterre debitant leurs paradoxes, leur polsons de s ordonnances.

Comment e udeci appliqueroit citra propos e qu'il appelle se remedes, uis. qu'il ignore resque oujours e siue desimaladiec que est par exemple , te siEgo de la sievrericia plus ordinatre de celles qui altaquent les hommes policόs pns es deuxmondes Galien te placo dans e coeur Μorton dans te cerveau Sylvius dans lo

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um maladie, doni te germe a uelqueseis attendu vingi an a se dέvelopper despotes jusque dans les termes de leur ari, iis don-nent aleursinivoles receites le nom sestueux Sor nnances quan iis ne volent plus dans leur orguealteus ignorance de reflaurce

contre te mal qui empire, du haut de leui tribunal ces inquisiteuhs terribies condamn*nt leur victim a mourir. Il est ura que detemps en temps te malade en appelle a lanature, qui te νέrit out a laritas de sonmalin de se idolatri mur les docteurs. Cestia uis uite de cera potitae que

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norent avec leur oracles. .

philosophe celebre emptote les armes de la aisen, contriace mlines Mecin que Μollere avolt dria undrves aveo celles de la plaismaterie. on doli jouter . ces dea sufflages celat de Niomme plus lloquent de ce secte M L an decla medecine, dit l,

is inaque ou te seulilaifi doni iis solent susceptibias.

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&in perroquet Moliere luian me, te Maudes docteurs, en avole un il est ura que quan Lovis XI tui demanda te motis docetis contradiction, rhomme de seni r pondit me naivet ciet homme es mon

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ca L immotte Sydenham 'εtoit pas loten de mes principes il definit a maladis 'sor de a nature qui rem de disruire leuerme morbisque , our ope er aquia risen d malade Volci se termes: Morbus es con me naturae quae materiae morbiμα exterminationem , in aeri salutem molitur. --maistes docteur totide seconder cete ore, oblisent lamature , combattis acta sol le ma MIeur remedes. ι Paisque la nature sente ἄν presque oujouis contre la contagio : ourquoides docteur ne 'exercentiis a suris sujet qui paroli de lent competence si Par eux-mlmes iis ne sentias asse foris pou traiter trematiere, que arappellant-us , leuis secours es philo-.