De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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Cest fur. tout dans les animaux , qui sentplus a portό que nou d'ente recla voti dela nature, que son instinct triomphe D'unco renserm ait esein 'un absorbant qui corrige pauidit de se humeurs, i avalerala chau de murailles u chien malade achercher dans unciardincla plante qui doli lopurger on pretensque te cheva mari sur-charg de sanx se roti contre des roseaua

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intermittentes : a reste , 'est en 'όloignant

de cette simplicit primitive que les docteurstόussissent seuvent a rendre angereux es remedes de la nature cilcsent du corps de rhomme u laboratoire de chymi , o lamori solita crevset audieula grand-ceuvre.

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n'eurent Sautre pharmacre que quelques plantes

piratio ι Tartes facilite parraestrictions, par les sudorifiques,' sur, tout parausam

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Les tempόrament pituiteux demandent les amera, te cordiaux , es boitans astringentes Qtout e qui eut fortister te issu fibrillaice& multiplier se oscillations. La nature indique a rhomme bilisu les narcotique , es boissens lόgErement acides, quelques eau minerales is out ce qui eue divise les humeursis temperer eur acriis

monte.

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ye ne prόtend potnt, en appellant senseesse rhomme Lia nature , lematter , commo Paracelse , Sune aine immortalitὐ ii faut bis que nos retaris 'altErent en aiso deleti tension, que te seu principe qui nousa organis nous consume, Qque inus las suides, qui en circulant dans 'nos aisseauxentretiennent notre existen se volatilisene

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n est piant ne hyperbole de dire quePARV R ii de dichuit centa maladies qui affligent res- μα humarie uis en a quinete cenis quiviennent de la nature des alimenti doni si se nourrit, o de son intempέrance. Cependant rhomme 'asas plus de besei natureis que les animauc te principe de sadόgradation vient molns de se sens que deis imaginatio qui en pervertit rusag : nne meuri piesque amat ' physiquement doseim , tandis que phomme blas qui fait o tribue les eu mondes a se table , ne eueseire de grandorepas sans 'exposer a mo iravant age. Epicure, que es ommes plus libertinaque voluptueu prennent mur mattre

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la nature humatne & ceu des Musulmans

qui gόmissent te plus seu te entraves de lasuperstition rajoutent encore par leur mante de eabstent de parsum , de ne piant avalet

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maractes au petites malistis, os en re plusque e plus δέ desiervis it passa qua-rante oursis quarante uit sans mangere ii aut bien croire a ce prodige , uisqueBayle, qui a tant dout , ra cruin ra annonciό tonte Europe b) Le ait te plus extraordinatre de ce genre est elui qui est rappori dans te transactions philosophique Puchomme έcut di,t-huit ansavec de Peau c). Il est probabierine son sangctoi extrεmement Oid. que et in deto eur rendoit plus lente e luia circulationdes fluides , dimit est ses si cretionsin remp&