Pauline Foucault

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Ces Ouies soni es supplices de mon

illusions a craser de sa rat sonarulate, de sonao sens soldatesque iovies cessseurs de rame qui deviennent des vertus, apres avol et des reves. Voulant me premunir, Lm'ariant de sol montre renuer decla vi humat ne,

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I endroit. hique e sus en age de comprendre, ceteros ignorant, qui 'imaginauriu'une parite de ses douleurs venait de celle ignorance, se aia de me laire instruire o me mi aveo de filles de

marechaux de France Iessus elee en pa- iure a la science, ele-mele, ave des compagnes vanile es qui se moquatenide mon ardeur auaravati, et qui me reVin latent les coles dumonde que mon perem'avali caches. J'aurais pu me depraver; je eras que me pervertir, 'est-adire que 'appris a connailre te mal a me mefler dubien que rinstruction incomplete, en ne me laissani aucune illusion me suggeratouriant des oules,

ner.

de suis savante, 'esbainire que jerepondrais imperturbablementis pre-

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mire pedant Venu; et ouriant, 'envierignorance qui ad sol. Oni'enseigna la religion, commeta gymnasiique et rari decla composition mais ma sureuri'apprendre et de dedai-gnerme queriout te monde sali, ni que e trouva les livres de prieres sol et insi-pides, que 'a peuri'eire dupe, en m gen0uillant a coiera'une chrelienne quine salisa epeler, ei qu'ilue a des momenis ou, acceptant Dieu comme une hypothese, je me reserve de te disculer. Je ne suispouriani pacathee: 'ai des heures 'adoration solle ou 'adjure ee Die que esais mon debileur de me donne la vie et

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22 PAULINE FOUCAULT nepas trouverun mari u nomani.

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s resignation Ie me suis dii que et homme san galanterie, sans analite, prosondement et simplemeni devove, qui me comprenati, me devinati, elati te seulcaeur immuabie, te seu diuinani qu'unamour comme te mien, polsoni seu uepulisi allere ni dissoudre. I me suis dit que celie tutelligende sereine qui m'ai-mait en spriii'aurati jam ais ni desaillance ni degoui; et jelai alme, ei jeraime, a mouri de son dedain, a meque de sonabandon. Mais c doui incurabie, cetio platera faux saxoi qui m' aitetnte me sat hesiler et m'enchain a sevi de debon heur. J'ai peur dilre trona e de metromper moi- meme o de romper tes

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Dui Cestia lalaison de ma conduliederaison nable Ie ais me defendre contre cet amour doni latense me ravit, comme e me delandrais contremimal heur. Je ne serat la seminei'Hector quequalid, aineve, brisee par revidenee, H

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26 PAULINE FO AULT

Dites de ma pari araeeior combienie 'aime, et combiencie ais sessorcer