Pauline Foucault

발행: 1859년

분량: 586페이지

출처: archive.org

분류: 미분류

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pour me laire agreer on me connaissai tunseu J'avais sollicite, avant monentreecheg ad Fligineters une place de mai-tresse de la premiere classe, et les certi

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la raee, te out entremese de te et idedanse, de musique et de coniseries Dansi institution do madam Bellam G nous avons de belles dola et de honnes grosses pataudes qui soni asse delurees. L'epicerie me parati surioui laurnirdes produlis magninques, et e connais deux eunes stiles apparienant amne robuste maison de la rue des Ombares, qui soni belles et imposantes comme des duchesses. Si j parviens a leur inculque une orthographe sumsante et a leur persuade quedeux et deux soni quatre Hlesiourront pretendre auxilus beaux partis. Je suis specialement charge de dercule les Iasies de rempire assyrien de-vant ces auures ensant doni los hvres vermeilles et les joues roses soni aliemesd'autres fruits uuant a leu edeur, celane nous regarde pas i est elauta dansle corset. Toules es misque te mot amolir

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avec te mariage comme elles pοurroni; elles devineronidusecret qu'elles sententconfusemon autour 'elles e u elles voveroni. 'essentiet, c'est d'en bienirdes reponse satisfaisanies fur arithmetique de te latreuoue aux charades historiques, et de les laire mandeuurerpendant uno heure, surri plano, an , saligue... pou elles l, It me semble armis que quelques-unes de ces belles ensanis penetrent monsecret et me livrent te leur Elies ont dessaqons de 'entourer de 'embrasser, qui me son tresfaillir on dirai qu'elles favent que 'a te moti renime, que j'aim et que je suis almee et qu'elles Viennent respire en moi e parsum de ramour que les bienseances hypocrites leur derobent, maisinu elles demandentavcmoindres rises. Α, si 'Osais Mais e me serais je-

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nuit, quan te dorioir est o parat en- dormi, carue ouehe au dorioir, 'ecarietes rideaux blanes de mollit, e contemple acla lueur de la Veilleu se toules es j eunes stiles tendues comme des cadaures solis des linceuis, ei je me demandeque reve es visite, uelle destine les attendra Combien, armi elles, serontepousesIdelos et pures, combien amantes devovees, combien meres dignes de leurrole 'S'en trouvera-t-il seulementu ne qui soli lammea I'entend selon es bescitis disiecte, selon te dessius de Dieu. in se platu dans les ournau et dans les iures dimaterialisme, didouie, de rennui prolandies hommes liae erois biem Volla les missionnaires de resprit, dela mi duilaisi humain, qui dormentsans se douter de leur mission Demain,

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quan elles 'evellieront, Outes eos petites stiles qui seroni murteempeu Neire avant moim'eniendroni lire a haut voix uno priere anale dans v mmulaire; elles dironi mens e lissaut leur che-veuxit grande assaire de la Oileile commencera; puis elles ironi apprendreine page de vera, deux pages de prose, Missonner des ampliflcalion ampoulae surdes friet ridicules, a ter, ous pretexie de musique,''insipides pianos, latrela εverenee, apprendre a se composeru mainiten, a menti aux regares eton miremesera ces exercices, pretendus utiles, de recreations dangereuses Ou cesvanites en herbe et en fleur se consteroni leum esperances ei leur impatiencol Mila

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sentiment 'amertum et de iriomphe

muriant e me dis que e puis echappera spectacle de es miseres si cussarie quelle eri is essens de et es lavage volontaire que j mmmse

qu'ο ne lis pas sur mon froni et dans mes yeucrivresse de ma consciente Moiseule, te me sens lamme libre pleine de passion et volontairement pure dans celle munion do eunes stiles idiotes Oubimtesu Nais, grandiieu si madam te Savait l, I dois mouerique madam Bellamyest ne belle creature, don te visage impassibis atteste ceti atrophie diemuro de hsprii qui lavoris popanouissemen te plus beat de la sanie Oncla croitveuve; ellei'est que separee deson mari, Vieux marin, qui a presere a solitude aveo a ginite acla vis en commvn avec

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qui se borneis admirer son Ombre Cemuel ancien employe des sinances est

pluto te anquier que te Petrarque de ite Laure Gest lui qui distille enientes et en actions de chemins de sediles essetfde a reconnaissane inopulsabie dessamilles. n ourit oujοur quan ilenire malila medisane ii'a amat riensurpris qui put detruire rideeri'un culle platonique. Allons votia que je deviens mechante et gale, moi qui ai commence celle telire ave irisiesse. Oui, e suis triste, monamie, ouiluio je ne salice queue,euxeire Lesbonheu est Ia j puis avec unpeu de bonite grace, le oucher, te salsir. I m'impose de serupules inutiles Mais aussi, esbes bien te bonheuri Volla ceque e me demande Ce que je crois

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