Pauline Foucault

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renoncer a ceti singulisire et eruelle epreuve. lle lui raconlati ratiente silen-cieus dem de Villemoran, acquiescemeni de la vieille baronne Elle la suppliait de ne pas prolonge unedouleur quideVenati une sorte d'injure pour Hector. ε Lebonheu est la; devant vo , prsis de VouS, disait-elle dans chaque letire ne disseregpasi Mais on ut dii qu'une sorte devoi secreto et aiale 'elevat dans locceu de Pauline, chaque lais qu'elle allaitioueher a ce boni eur si ardemment con- voite et si etrangemeni redoute glait-ceu remords' 'elaibelle a sincere 'Mais i etait impossibi de trouver dans Soniceu une pense qui ne sui pactoutea celle passion Elaibee une secrete protestation decla raison qui se salsait eniendre oviles sophismes, e qui ravertissati de prendre garde amn amourriu'ello S'exagerait, par une sorte de vertige de

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de son hesitation, Pauline fougrail cruei-lement. Ses nulla etaient de velites quipalissatent encore es oues lanches et qui meilaieni dans ses orbiles des lueurs sinis ires. lle 'eiati allendue a quelque demarche, puis a quelque emeri iei'Hector Elle s irritat de sa patience ei defendat pouriant qu'on ut donna leseeret de a retratie C secret elati conii de M. de Villemoran mais tui aussi, attriste, elisaye de cetie coquetterie cruelle, salsatiuue preuVe surciui-mem et attendati. Ses letires a sa cousine etaient des epanchemenis contenus dans tesqueis ne reserve honorabie rem pechai de Out dire a sa considente, qui devinait out. Celle-ei transmetiati alor a Pauline ces

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plain te eloumes, ces resignations graves et iovehantes, et la fous mattresse, ravie, exallae, et ourtant courrouce contreelle eme et contre Hector, se debattaitentre revidencela'un sentiment logique, eide ne sals que orgueilleu potniri'hon- neu qui tui prometiat des seeries, des proueSSes grandioses, a nom de .

it siluation anomale, absurde, mais rate, selon tes contradictions ordinatres dicceu humain selon ses depiis et se seinies, ne ouvat se prolongerdaVaniage, an de grand dangers. UneVenemeni de eu 'importanee 'ailleursiour Pauline, mi sin a lovies sesirresolutions. Une ancienne ethve de madam Bellamy se mariait, et ce ut une grande late dans rinstitution quand on apprit qu'en consideration d'une camaraderie recenie,

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toute les ethves de la premiere classe assisteraten a a messe. O causat de rheureus sanoee, dans les recreations, a resectoire a dortoir, ara classe Onitrati ave mille abillages horoscopedes suturs epoux puis la grande assaire de la tollelte reven ait sans esse. O laisai de conjectures sur a robe o selivrait a des paris fur e Ombre devolantide la jupe Le osse ferait4 en potni 'Angleierre Combie coutat le

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Εlle ne put se defendre 'une emotionvive, en franchissant te sevit, en contem plant raute pare les invites en grande tollelie Elle alii, quandria marte tra

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iaire, et salilii repondrelour eux Elle secourba, en iremblant, quan on benit eo jeun couple, ei pendant que orguera lebrati e mari age, Pauline ut fur eslhvres et dans te seu uicaniique d'actions de graces. On se renditis a sacrisite La SOuS-mailresse suivit ses ethves L son enthousiasme subitis echec Cette cohue des amis qui vont serre la main du nou- vel epoux, es baiser empreinlata'uno emolion anale, prodigues par quelques lammes et par es eunes stiles, acia nou- velle epouse, revolierent a sterte de Pauline et tu semblerent une profanation Elle vi qu'on admirati te votis dola martee, que celle i se retournali complaisammeni ou mieu montre sarobe qu'elle donnati,sime radresse des coulurthre. lle vi te parenis qui salsatent avec ostentation leurs liberalites

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de martee.

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dam delacha ave grace la plus grosse neu de sonaomuet Pauline la priveniremblant puis decidement vincue parte charme de ceti scene, elle ouurit les bras ad belle visiteus qu'elle ne on-naissati pas, et l'embrassa avec violence. Celle-ci se prsita ave indulgene a cella singuliere demonstrationimais de sui uneonement presque u seandalo dans larecreation, et resset do la distribution des