Pauline Foucault

발행: 1859년

분량: 586페이지

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분류: 미분류

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Marte, leve en province, vati et effroi des passion qui n'estias ta mecon-naissane des facultes uissanies de lasemme, ais a deflance resigne descondition du monde Marte n'elait passcandalisee des vertiges de ramour, elleles comprenati mais elle les redouisti. La vie de province est oujoursine prison mais elleis'est pa toriours unaombeau Des intelligendes, plus nombreusesqu'on ne te suppos a Paris, en se plianta cella monotonie aecablante, a ces com-

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merages Vulgaires, a ces medisances mes- quines doni se compos rexissene provinciale, aequihren tune melancolle calme,

qui 'aias 'amertune parce qu'elle est sinchre et qui leur sert de consolation et de conseil. Ceile vie triviale et comprimesta se revelation aussi bien et leuxpeut-eire que a vie relendue libre de Paris A quo pensent ces captives dumenage pendant les longues heures deceaagnera'oisivel forcee rien o atoui uuand elles ne son pas solles Ouidiotes, te lammes de province ontineraison solide et discrete qui cache allandde rame de reserves, et, si j'ostis ainsilire, des conserves de poesie, d'amour et de passion doni ellesi'userontieui-eire jamais, ais doni elles sont fleres audedans d'elles-memes, et qui leur don- 'nent tetroii do juge et de mepriser tesdrames parisienS.

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42 PAULINE FOUCAULTA Paris, parmi des cohues de lammes charmantes, habiliees, reSSees, pareeS, machinees et instruites, o trouve quelque lammes de genio en province legente si absent; mais, en revanche, leSlammes superieuresis soni res-nom-breuses, fous les deguisement de consiturieres habiles.

Ce masque impos parua vanite ei ledespolisme des hommes, aulant que paria vulgarite des habitudes, ceti pudeurde resprit est e secro de te des

devotions rimagine qu'il 'epanouit despoemes silencieu de folle lendresse eid'amour sublime dans ces eglises Sourdes de province, ou ron, quotidiennemententendrecla messe. Si tous ces bancs groetesque qui destionorent les cathedrales 90uvalent parier, iis aconteraten deselans inovis, des tentations terribies, des victoires superbes uve de sanglol ont

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re ἰus ces consession naux sinistres et cesprei res quei'auraient-ilipa a reveler,s'iis letouvalent et s'iis avalent compristbe ne uoudrais pas latre interveni des argumenta iro solennelsiour appuyerceite these mais ne sati-onias die parrhisinire que la province en gendre chegles lammes es heroismes essechis, les acies de violenc stoide ei continue Ieanne 'Are et Charioli Corda sonides provinciales. Une Parisienne eulieui-etro lue Marai, mais elle sui morte d'hoim reur Sur Son cadaure ellei eutias suexpier son crime heroique. Si madam e Rotan es nee si Paris, elle avait ei mediter longiemps en province, a clos de lallatriere, ei elle avali drailleurs ramenudans son salon la province ave sa veriue s simplicite, incarnees dans Boland. La lamme ideat peu syreneonire par-soui, e qui eut aussi hie dire nullo

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pari. Mais a persection Oyenne, necessatre autonheur,40urrat se trouveravec avaniage dans une provinciale accli malee a Paris.

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meni Sur son coeur. Ε regardani par laseneire de sa chambre rherbe qui crois-sait enire te paves de la maison mater-nelle, en contemplaniles totis de la petite ville, elle oussam foupi de resignatio :

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le reste importe eu, tui erivaibelle ens nissani Prene en pitie, et non pas enhaine, ceu qui ne se soni pa inclinesiout crabor devani es rotis decisissde celle assection. Devene bien vite ma

Quant a moi, ne votis inquiete paS,j'ai plusleurs aeonid'etre heureuSe. Latrem iere, 'est de uous vot uniea Hector votia ce que e demande, voilace que je reclamera dumiel dans mos prie reS. Car, nou au tres, pauvres silles de province, qui ii'avonini vo ire savoirni voire philosophie nous serion bienembarrassees de la vi quotidienne, si nous ne croylon pas en Dieu, et si nous ne savions pas prier. Pauline tu celie letire, to ut en salsantu ne dictee. lle etait en plein exercice de

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ta lache terminee, Seule ave elidimeme, elle reprenait o droi d'amour et dehaine et nous favons, par se const-dences comment elle se dedommage ait. Celterious-maiiresse que out te monde observait ei ait une enigme. Ne se liani niave les grandes eleves ni Meccles auires maiiresses, ellea'ensermait dans une solitude mysterieus queri calomni de sesrivales ossayait inutilement d interpreter. uuelque semaines Se paSSereni. Pauliue ecrivati a Marte, qui tui transmeliait des nouvelles d'Hector Mademoiselle deSoulaignes, par des instances de plus en plus pressanies, coniurat sonismi de

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