Œuvres de J. Delille

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PARADIS PERDU, LIV. VII. 287 Mais tant que je eluis, aulant que ede dot

La terre, sans sonder les mystores des cieux, os Dein champ asse vaste a ton it Curieux. De mome que te Corps lamina su novi riture Mais dans eur aliment totis deuxint leur mesure L sage est salutatre, et abus dangeret X.

Entends-moi dono apros que 'ange tonsibreux Lucifer fui somnoni, quand a splendeur premiore Sui passoit eniciat es anges de lumiore, Ainsi que e soleti, ait coleste SojOur, Eclipse en se montrant les astres de Samolir), Quand Satan par son nom)'il faut que e 'appelle, Dan Sa Chute enti ainant totat unleuple rebelle, Fut tombsi dans e gouffre, aurat Our paternet Remonia triomphant te iis de ' ternol, Au milieti des pariums, desiliant et des ouanges. Alors, comptant dii ciet les nombreuses phalansses,

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288 PARADIS LOST, B. VII. v. 39.

Though wide, and this high templeno frequent Vith ministerios due, and solemn rites But, est his beari exaltlim in the harmAtready done to have dispeopled hea' en, My da mage fondi deem'ii Dcati repati That detriment is suci, ille tylos

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L ciet qui es vomit necles CCCVra plus. Mais a plus grande part me dem cura fidole Leues ille habite en cor a patrie tornolle; Et Diei ne inanquela dei urs OboisSanta, Ma cour d'adorateurs Di me autet d 'encens. Copendant 'ennemi Polari Oit, fier de nos pertes, Croire qu'il a laisso ces demetires di sortes

De me mains, Sortii in nou vel universa

Tot mori unique ensant, mon Verbe, mori imasse, 'est par tot quo e velix a ComplirhoniuVrasse Va parte, et qu'il soli fait; moi ome dans ton scitisse ei Sera molimine et mons olivo ir divin. Plane fur e chaos, finis sa vieille guerre; Va, si pare d'un movet te ciet et a terre

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Thougha, uncircumscrib'd myself, retire Andiu not forti my goodness, whicli is nee

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Puisse a dolice pati habiter currilour lGloiro ait Dion doni a main Protogea 'inno Cence Et annit de s cour a lebelle insolence, Au Diei qui fait des inaux uno fource do biens Par tui, illunite plus beau plus dignes citoyens,

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2M PARADI SE OST B. VII. Nor staid but On the wingsi cherubim Uphfled, in paternat lor rode Far into chaos, and the worllunt, orti; For chaos heard his voice im ali his traiti Follow'd in bright procession to belloid Creation, and the wonder of his might.

Thomst id the fervid hecis, and in his haud

Bound through the vast profundit obscure An Isaid thus far extend thus far th bouiads, This e thybus circumferetice, o ortili Thus God tholoanti created thus the Carth.

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'unum'arrote au centre, et 'autre, dans les airs, Marque en tournant te cercle ou sera 'univers. . Monde viens jus tu ici tes bornes soni prescriteS; Beste dans toniticeinte, et connois tes limites. Aitis Dion fit d 'un mot et a terre et les CieuX. Mais de ce vaste amas, sombre et SilenCieux, Lamuit coiivroit oncorda matiore infoconde

Les CouVe solis son alle, et verse dans leur sein Son ametroatrice et son solime divin.

Au seu vivifiant de s Chaleui luissante Le chaos se foconde, et a nature enfante. Tout se ange is place et chaque germe impuri tranger uda vio, ali nil dii solis De obscurPlonge in masse inerte et sa grossiore te; Attirant, attii si, 'oti ei 'otrori'allie

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, Let there bestistit, salii God and forti, vitii listhi

Both when fit si evenitis Was, and when fit si morti.