Aristippe ou de la cour. Par monsieur de Balzac

발행: 1658년

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s'il estoit assis en a mesine place. Que te aiiseau qui es porte , periises ilicii , inue te Publicis cotire fortune, iis se consolent alsemen d naufrageder Estat, ourueu qui Lait via Esquit, dans teque iis uissent gaigner te ord,

dc metire cur Famille en hurete. Nous nous romperion bien , si nous es pre-ntonsiour ces cie violens, qui vetilente ire Pyhi themes, pom Dur Freres qui demandent aue instanc , quo se e face uisure de Vi quoi pardoniae ala Nation. Tolites is ille se petit a dire absolument,qu iis yent de mauuais desisti ias, con. tres: Estat, quiis en destrent a uine. lis se reseruent sculement cur premicres,

leur plus en tres affections Hors deleti interest , i pense que clu de leur Maistre leti seroit fori cher Mais e mal- heurest quil ne sont amat absens de leur

interest , non plus quera eux-meimes. isse trouuent , en quelque lieuinti iis citentia eue cur utilite particulicre se pre

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cien Malade, a propre figure, qu i voroit

perpetuellement deuant luv. II, ne se peti-uent separe de Asfaires, ou les regar, dcr, aue quelque liberte de iugement lis ne euvent ire de leur anae , leur raisontout simple out pure , an la messeler, dans leur passion : De sorte inen-core u iis descotiurent ne Coniurationqui se forme, iis neci opposciat pa neant- moin , de peta domencer es ConiureZ, de laisse de uissan Ennemis a leursΕnfans. Iis non pas e coharage de pro fere viae verit hardi , si elle est tants it eu angeretisse, a restablissemen deleur fortune , quo qu elle sol tres importante, ait seruice de leur Maistre.

Infrme miserable Prudenceo is ne considerentias u via spion, qui doniae des avis, ne uit pas auantage u ne Sentinelle qui ne di moto dc u is sontaussilien cause de latertei Prince , parieti silence , que les uires, par leur ra-hiso Il ne considerent pas que te laisse

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san dans te perit , d oti iis letourroient

n s es au nombre des napolloniacurs de Asianitas , S desciuires liOmmes execrabies 3 quand Ples condamiae totis a laseconde Mori , a cette Mor si terribie, S si est range a ce ac ardent de seu

de sol re Iesiae si a poliat a raye intention duSaint si rit ne veta pas ais curerquil solent compris , dans ne si rigoureus Sentence Mais i vo bien ourtant que e sint lc derniers, cies ires de totis es lasches qui inest polii si honteia de fui dans e conabat , que dedoniae via conscii timide Car our le

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moin , si on tombe, dans e matheur, ala uerre , on eutri excuser , ou si ledes auant e ducite , o fur e nombre desunnemis , ou sur a faut des iens. Et comine te plus fouuent latouisiere , levent, .le olei meritent a gloire dii Victorieu , auis soni iis coupabies de aperte du aincu Au is alter, on se iusti-

se , en accusant a Fortune , qui detout temps a ste estime Maistreste des Euenemens Arbitre sotiueratne des BatailleS.

ce se operations cia repos , te trouue

aucula de ces obstactes , dc de ces empeschemens, qui oppossent aux effet de a Valeur. Cestiourquo totales es excuses de Soldais,in des Capitaines, non potiat

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dre de ses Intentions , dc de se Atiis. Ilis est don potia de pareisse lasche te a cclle qui commence des le Logis, dc qui ne s cineu pas, si plement par es approches par a presencerati Peril mais qui ii en cut ouifri la seula ima gination mais qui fremit at moindre recit, qui luy n est ait Et stans mentir, ili aut bien uelle procede de reniter ωneantissemen de a liberte, qui nais aueci homine , ne derniere corrhiptionde e Principe de generosite , dc de ce

puis uelle si cause quoia refuse mes meson aducti , ion conscia temen a a Verite, ut qucia et stat la onis est passeulement cai able de a proposition dusici dissicile. I n y a pas culemcnt O-yen obtem detix , qu iis facent boniacmine, non heu de eurete inuit se declarent, an dange , our a Patri, quiis disputent ses rotis, dans viae chaire icta cruent de a lata rue Chos e strange Iis alment leti accepter la Seruitude,

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s us te ilire de lataic, que de conclurea ne defense, qui se doli faire, aue les bras , cle sangdautruy. Encore OJons-nous de Gens , qui attendent poti s estoniae , que a mali uais fortune sol venue iis oti resprithardi, quoy quiis yent ranae timide Ces gens a parient autenient , quand adu Temps de a Terre', entre leDange de hix. Ciceron estot coura-geu de ceti sorte de covrage ' ne lilyechappa amat v mo , qui ne fust digne de a grandeur de la Republique Ilestoitiaillant, our e molns dans te Se nat il proteste , e me emble , en quelquine de se Lettres , que si on 'e conui a Festin des des de Mars, i ny fusi rien demeure de reste. Vn emblable Citoyen ne pas pro 'pre a se battre et diis Q ntroit pasvolontier en potirpoliat aux arquebus ades. I a plus de soli que les autres dela conseruation de a Vie , parce quilcroit uelle aut plus que la leur

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. illa est a messeant, de craindre a perte 'viae hos precietas e I redout lablorto Ou poti michi parier, a Nature la redoute en tu : Mais i ne redoute poliat inuies, ni la Haines Mais it messe pris e galement te menaces de Crandri te murmure duae apte. Si se forces ne sint a sufflantes, poti abbatre a Tyaraiani , ii employ sa voi , dc sola ha

urement de a liberte. I crre potir emolias isti armes , te pilas sortinu licui, contredit at Mal , s il ne petit v resister. Totates se opinion volat acia graim

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tation , i se forme via courage acquis, qui est a molias ferme que na

turet.

Nos Prudens ne viennent poliat usquesta Mutre a Mori, iis admetient tant Sau- tres sortes dextremite , qui s en rencOntre ousiour quelqu,ne , qui te arreste des le premier pas ii iis soni, ver te Bien. Iis deses perent, auant qu i faille sculement

mes doni iis se seruento poli ne se pasacquiter de leti devotr. Et parce M'illa valoint de Maxime, dans a Politique, qui ne sol combatu par ne autre MaXime, ausi certain , d ausi probabie hi elle, que Aueni a utant de femes , cde vis ages , que nostre Imagination luyen Velit doniae , iis necle ournent, potarie regat de , que u coste qui peii fairepcur se defendent, par a Raison, contre a Raison. It considerent ousiours que les actions

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de hommes soni ext Olces a caucoupd inconueniens, is considerent tamais, que out te mal qui petit arriueris arriue pas Sol que Dieu te destourne, paria graces sol que nou res uiuions par nostre ad trecte 3 sol que imprudence duParti contraire en rompecie coia estant

uent, en des perils, d ou celles de nos En nemis notas irent. Mais eu prenant eschoses au pis, di presuppossent, pota certains, totis es accidcias qui sint douteux, iis reglent cur deliberations commess iis deuolent totis ueni , c d ordinaire, a

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te octa es, iis euuent differer a chetite, mais iis ne reuitent pas is appurenties ruines, ii iis ne sontias capabies de releuer clis gaignent poli te plus, uel luesiours oti quelque set ines, Qtiennenties Asfaires en stat , en attendant que de plus hardis quaeux biennent raualiter

efficacement.

Gest ne remarque Aristote , que comme a vivacite de lesprit d Alcibiade

deuin extra lagance , en a personiae de sesΕnfans, a solidite de re pri de Phocion, se change en pes anteii , quand elle descendit de luy a a Race. Mais dison plus qu Aristotes Disons que a sagesse de ces Ministres ta attendia si long emps a degcne rer, en fotblesse, en langueu , n laschete: Auant que de passer alias corromptae aleursanitans, o leur Posterile , elle se

gaste des a sortie de leur me sansen veni a tactition lle paroist solbie ent cur proposition en leur conseiis, quoi ne petit appelle , ni prudens, ni a ges, an parte improprement, an faire

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