Aristippe ou de la cour. Par monsieur de Balzac

발행: 1658년

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tori de sit catl x nonas, ins offenser a veritable Sao esse. Quelle erreur de sinaagine que a Sa- gesse ne uide amais stre covi agetisse; quelle dolue ousiour cratia tres, de Otisseiotar trembler Ces nouucata Sages con-noissent les Sages de Antiquites lis onticu Aristote ulli bien que notis, , Onti as ait cantinoin leti prosit de ce leuet oracle , apporte par Aristote IL

Queique deplorable que soli a condi

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selourner. Iis se troiluent bien dans e Mal, oui ucu que te a ne es presse pas , cinia iis en eculent a derniere X-trcmite Ce leti est asse que a Mor sola remis a ne autre Ois , Qque cependant, on es laisse otii de quelque intercalle de mauuais Vie. Sans dolite iis se-roient de opinion a Poete Espagnoi, qui dis it que a Fiezre quarte flori nebonne hos ue parce quave et e , on e Iois osseure de iure et an ypou D moin de utare si mois Jour e molns de ne mour,pas de mori ubile. Ce n est don pas regne , e n est pasVaincre , eis est a trionapher, e quiis font est sculement iure , .cncore vitare dune strange sorte Cest passer amatis a rapres dis nee est se traisne ius

ni pat , ni uerre , ni re veri est nrepos de paresse , est via sonam e lassou pissement, qu iis procurent a Peuple parartifice, 'uiis est, ni bon, ni naturet.

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seulament ardes le Mahades , d leti fabre te vis age bon. Iis vetilent appriuoisse laRebellion , en a cares1 Il laiaoulent de bieniatis,4 de gratification Mais parta iis a rendent plus putis ante, non pasmeilleur Iis augmentcnt a force , ne diminuent poliat a malice. Qiaciques- is iis tu ostent quelque hommes, qui

Tolite leti Expericiace est quine Histoire de matheurs arriue a cui quiosent, qui latreprcianciat. Out e quin est pas alse, iis te nonament impossibie; Et Ia Peu leti grossiisant ic obiet , dc cur multiphanc, resque aqua fini chaque indiuidi , quand trois Malconicias se retirent de a Cour, aueque cur traii , iis es urent ne armee 'Ennemis, a a Cana

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Communaute aprecelle, an troiauer de

resistance Apres quo , iis ne se metient poliat ei deuot de les hastie , mais istas client de te a Muci S au licii de les alter istiter auec de canons, d des soladais, iis leur enuoyent de gens de robbe longue , charge doli res de condi tions lata prometient beaucoul plus, quil ne ourroient spere de a Vic

toire.

Aliis iis obligent te Prince a descendi e de son Throsne , ou traliter alaeque se Suieis D via ouuerain , iis font ne Personne priuee, c d n Legislateii , via Advocat Par cette breche, iis rompenti Entre-deu qui e separe u Peuple changent a Pulsi ance en Egalite Les Coupabies montent fur e Tribunal deliberent de leti propre ait, aueque leti Iu-ge ais nominent te heu de a Conferen-ce on accepte Il choisissent our conferer, es Personiae en qui iis on plus de confiances, Mon tes eu donne Et la iliae se parte, ni de pardon , ni de grace:

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Ce seroiciat de termes tro rudes, S qui leti ieroicia naal aiax orcilles , Mais e Maistre os ense declare solennellement que out a ste ait, poti te bicia de sonseruice sat bon re, a se Scrutteur infideles, des iniures ii ii a receues

Ensin te destein de nos Cens 'estantque de congedier a Compagni de separe les Allie iis cur accordent plus quil ne demandent Iis soni prodigues de lato publique est ne menagent Ointi nona uino ue Et decette sorte , iis emetient si te ord de detix exirciniteaegalement angeretis es : a sol qu ilveu ille teni sta parole , cn ruinant ses Amatres , sol qu i restabiisse se Asfaires, en violant a parole , it si totasour reduit a viae deplorabie election oti de ha-Zarde sona stat , potir stre fidele, ou de

Mais si auant toti cela , .las hos esestant oecore niteres , i destre prendre

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viae resolution genereus , digne detur ne eu plus que a boni soli

belles ri 1 se lasse Sespuisse se coisses, potir ouldore les armees de se Ennemis, o de payer ou les ours ne hos quiln acquieri ama Alor ces habiles Conseillers lily viennent representer, aue beau- cou de mines rac grimaces, qu i nes aut pas igri te Asfaires inue les Sages cedent acia violence dii Temps , commeles Dieu a a necessite dii Destin que es Princes, qui on regiae deuant tu , nonios remuer cette pierre ; qui auroit de

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par te commun es in qu on a de leurcia tremit conduire e sale traisc,

a conserue detix Partis ci via stat, sarinque via puisse destruire toti a sei lau-

tre.

Iis soni ulli e plus ouuent bon Amis de Estraneers. Que fert illae edissimuler Il apprehendent caucoui plus de des plai relati Roy leti Volsin , que de effer uir e Roy leur Maistre. De sorte quiliae aut poliat parte solis cur Ministere, de proteger es olbic , contre oppressession des plus oris, de re vellier e Pre-

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tension qui doria ent i denti eprendre rientior dii Royaume inuesque lustice , quelque Bien scance, quelque facilite, qui sem-ble persuade telles Entrepris es It condannent a memoire de Charies uitiessenae audissent les vorages dἹtahe Iis se moquent mesines de ceu de la Terre Satiate, ius tu a offense la piete des Sie-cles passe ; Ne crat an potnt de redire apres via Impie de celli que e

tolent de se et res du Temps de ma lales Populatres que 'estolent des eu nesse de nos Princes des chaleur defoye deleur Conscillers. Via de ces gens lam a s ustenti ii Alexandre nauolt amais

blance.

Que si a mollesse de cur Consetisne reuaut pas ousiour acia vigueur aux boniae inclinations de cur Maistre:

Si quelque initare sensibi , qui ne sepelit dissimule , oblige rEstat a via esse

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sentiment public Alor ne polluant pasbia mercia hose, dans son principe, iis ladescrient tant quil petiuent , dans csiuit tes , dc par se effets. Et conam si a Victoire ne valoit pascies si ais de a uer-re , quand ne ille a cile pris eiur in nem) est perbe , dissent iis , que degagner de a sorte Tant de gens de biZn

achetieroi de nous ruiner F nous falsons et ne seconde Conquese. Parcit Ministres ne potiuolent se consoler a Carthage de Vietoire d Anni-nibal en taberi iis criolent dans le Conscii , quand on apportoi de Oniae nou- uelles, quoia versiit a plein boisseauxles agues de Cheualter Romain , qui auolent este tue acia uerre Visit a se

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mes, s nostre Argent. Iamat les assaire de a Republique ne furent ni plus curissantes , ni plus uinees neue

inmars, ni plus de reputation au dehors, ni plus de miseere , dans es ent illes. Parcit Ministres onfeste cause de laiuncte detix Empires, d on perda Rome Constantinopi , par a fatale mollessis de laur conseiis lis latiuuert a portextous es Barbare. Il on honteus ementachete a Pat , sol de Goth , oi des Vandales , sol desciuires duples de 'Aquilon, d oti out levia deuot venit , dans te Monde Ilsint conte ou rien e des-honneu de Empire cette infamie duNom Romain, potarue que par a dou

ceu dii Mot , iis piissent corriger amertum de a Cliose , que quan iis payotent Tribui a leursannemis, i leursus permis de dire quil donnotentiension a cur Alliea It ne se sint poliat foucie de a fortune de Auenir, c dece que deuiendroit a Posterite, ourueu. iis pussent utant iure , que itastat

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