Aristippe ou de la cour. Par monsieur de Balzac

발행: 1658년

분량: 279페이지

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분류: 미분류

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de a maieste de Empires Plus 'viae is elles on mis ous eursited les Cou-ronnesin es Sceptres Elles Ontiris cur plaisir, deur passe temps dii violement dela Iustice , derexercice decla Cruaute, des misere dc de afflictions dumetare hu-

main.

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est natior accousium Tentreprendre queles iniuste , se impos sibies.

Conabien de matheur , a vostr opinion , en uite de eluy-la' Combien se commetient de violences a rombre decette iniuste Fortune le Courtisant i via Valet, qui ne croy auoi droit de mal-traliter es personiae libres, Vcstre impunemcnt utrage i , en alleguant lenona de son Maisti eclo a i ii de gens au-pres de luy , qui our e molias ne pil-lcnt lsci abstiennent de uero qui ne vendent a veit se audiences qui nes'enrichissent que u rebul de son auarice, des superfluite de s Maison Cependant e Prince ne pecti poliat, ne laisse pasta estre te Coupable Son ignorance ne tu petat poliat estre pardon-nee: a patiencela est poliat ne vertu

le defordre , ou quit ne si ait pasci ou qu i en dure, lur est impute deuant Dieu, toti de me me que 'i te falsiit. Et pariant, uec beaucoia de raison, te Prince,

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dcmande, en crines expres, dans laserueti de se plus ardentes prieres, Qv 1

sonia elle particuliere ue u i ne leurser de rien d estre iustes s iis se perdent parriniustice de cur Ministres Et a ce propos , te ne vela pas Oublier ne satili a se boniae , que sit, dutemps de nos cres, via eligicu Italicia preschant cuant via Prince u es mepais. Estant a miliet de son Sermon, oti l uoi traitte: du deuoi des ouue-rains s ennurant de demetarer tropion temps, dans a Thcse generale, ilen sortit out d via ou , par es a roles , qu i adressa a celu qui lcs cou-

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ble que a Terre 'estiuuerte deuantis , que e voyois distinctement, usques

dans son centre Iay considere te peines de rautre Vie, out e terribi attii ait de a Iustice de Die , doni mon imaginationis est pas encore bien rasthree Par- mi es eschans des Siecies passe , i en arreconia quantite de celui-ci Les Calomniateurs, es Meuririers, te impie , es Hipocrites, accouroient, a grosses trouppes, d se res ient a bor de Abisse me. Mais ayant obserue en cur vi de vi sibies arques de leur reprobation , e may

damne en priant Die , 'ue uous alliezenanser, ous, Mons ei neu , qui estes le

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se potnt aux affections honnestes, ne condanne potnicia fanailiarite confidence La Philosophie , cle Christianisse me saccordent en toti cel aue la Nature , c te iis de Die , quan il est fait Homine , a authoris tout cela, parson exemple. Qui ait don via Fauori, a a Cour de Cie .la Terre te per- metient mu i y ait v Homme nous levoulon bien, qui stat te Consident duPrince Mais quilis' ait poliat 'Homanae, qui obsede our nuit te Prince; qui se approprie par ne violente usurpation qui oulant auoir, tu seul, nbien qui doli estre a tout te mondes, exerce a mes me iniustice , que s it cachoi te Soleil a tout e mondes que s il fermotilas Temples a tout te monde. Que te Prince enuoye, tant γῆ luyplaira , ne reflexion de a Grandeur, suries Suieis, qui ont trouue grace deuant sesyeux Qui leur communique des rayons de saluissances Mais qu'il ne la transferepas out entiere, en cur personiae Mess

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Volc la Response que me rendit, surce viet, roracle des ais bas , te cauant sage Iuste ipse, lor que ele consul

oli Lyra de nos, Regne te dixisme, equinet e ne , incera i on nostr Regne,pou metire nostre seruitude, ou ourl moin nostre uietion me, a pascisse te intention de Celu , qui a fonde es Monarchie , quoia abusast si vitai nement de la ouuerainete , qu on larem uast alnisi de a placo quelle ne sustianaais, o elle doli stre La uisi ance

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Iouueratne est de a nature de ces hoses, qui sint a nous de telle aiion , que notas ne es ouuOns Oniae a utru , ni es a separe de nous-mesmes Llle est legitime, is tant ii elle demetire dans e main de , ceu qui ron receue de ano de I sistat, in Mais a me me Loy eu qu elle ne puisse i passer dine personiae a rata tre, que par e Moyen de a naissanc , Oti par eiecistioni des euples Ici sinit a response de ro racle de Lotitiain. Nos ages redecesseur on est sages en ecy, auis bien qu au reste Coni me iis 14 on pas ait a Couroniae elective, en faueur 'eux-mesinae , iis ne ron pasvoulti endre proprietatres, en faueu duBo , nicia tu commetire si absolument,

qui fus en a pulsi ance 'institue un

to en partie. Mais au contraire, par

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xne Lo , qui est de metae age, dc demes me force que a Salique, iis on ordonne u i scroit inalienable Mindiuisit,le. Et les Politique qui se soni te plus licentie , es Doeteur insolens coemeratres , qui ni fait te proces a leur Iuges, yant eu laiardiesse de toticher, par leurs scriis, aux Oint dii Scigneu , de traiiter de a deposition des Ois mettent expressement e cas , auque les Su-iet ne sint plus tenus de reconiatast re e Prince quan Ly-mem , dissent iis , reconno si ne aut horite 'avere , se fuit Tributa,re de que quin Tant iis ontestim totite sorte de uictio , dc de dependenc , cu compatibi a teque a Roxatile. Et u eii a Ro)aut , diotis tent-il , que a vatiae magnificcnce ,- ne est , dc uine monstre de cre- monte, si celli qui rexerce a via Superieur, o Vn Compagnon λPou mo te ne a pasta auant Ie me contente de dire u i qucique cho- se de plus nobie, dans la Presomption que

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Mais it aut parte plus Chrestiennement,

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