Aristippe ou de la cour. Par monsieur de Balzac

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il se petit ire de ces Esi agnois, udeces saniois, tres gens delicii aussi, tres, Vertucu , que non sculcmen iis soni plus inde tot que e re mais que passant de indevotion a Implete , bietaloin de sacrisse aux Graces, iis en ontabbatu es Autet , iis ni mis te seu au Temple de cestonne Deesses, ii s cstor- centra ei aboli toti a fati te culte Achelion de fati e cur Eloge , S de representer dans Espece , es Indiuidus que vostre Altesse a remarque , en diuertes Coum, o i esse teste. l est impostibi de s approcher deus, san se pique lis citcnt des potiates, codes alguillons, de toti te corps 'curs lotianges mordent ue cur carciles egra tignent : Et conam i y a certain Mal- adroiis, qui choquent lcs Visages, ii iis vculent baiser cu de mes me ne si au- roient obliger u en des obligeant . Iisne Sauroiciat prometire, quave des elix des ourciis , qui menacciat. Il ac-

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sent.

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SEPTIES ME.

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que notis ne es prenon pas a nostre

La subtilite de Intelligenc , a solidi te du Iugement , a Prudence Ourageus , la Hardiesse consideree, ne sint pasdes hostes volontaires lles ne depen dent a plus de nostr election , que lasante, la belle aille Notis ommes res ponsabies de nos fautes, non pas de celles de a Nature Ii ny a personii quis it tenu destremabiles Mais it ri y en apoint qui ne sol oblige destre son: Et si nous ne ouuonsiournir acta gloire dii Publi , de a Valeur de a Sagesse,

notis deuons, pota te moins, contribue dei Innocenc , aha repos de a commune So

ciete.

Que diron nous don de ces Heureux Insolens, qui combattent, Dens eignes de Dployces, authorite de Loix de a Iustices qui apportent au Ouuernementdes Estat , via dessein forme de te rui ne ; qui rennent eu graisse , d leurembonpoliat, dii sic, de decla substance des

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Prouinces si uisces qui bastist ni cur Alation, debris, de a dissipation de

alie diron notis de ces Valet insuppostabies , qui angent cur moin tres querelles , aue les bras de les armes deleur Maistres, qui declarent Crimineis de LeZe-Mai cste , totis ceu qui ne se prosteriaciat pa deuant eu ue qui par ne a lxsanglante .cruelle , oire de deuit, de funerailles, portent lesicuples auraeses pol ; reduissent les plus gens de bien, ne potiuoi se auuer que dans a Re- uolte Que diron notis ensin de ces lasches Courtissens, qui soni e Triomplaatcurs, de non pas est les Victorieu ; qui iovissent dans rois iuete , des ei ne , S de sucur de grand Capitaliae qui attendent acla Comedie in au Bal , es nou- uelles hi gain des Batailles, d de a priscdes illes , doni ii aut que les Generaux

Regardea les dans lancienne Histoire,

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fliction au Familles desolees au Orpheltias, lata Vehaues Car quo Messetant sortis dela boues, iis ne solent, a biendires, Parens de personne , iis croyen e tremeritier de toti te Monde Il est potnt 'Officie de a Couroniae , Oint de Couuerneu de Place , doni iis ne pretendent que a succession cur appartienne Iis ne pensent poliat estre en seure

cipice, qui sol en a pulli ance in Au

tre.

Vostre Altesse me ait signe que certe Description tu aitu est quelle aimela Verite, quelque neglige , en uel que des ordre u elle uisse estre : llerauroit rotaue belle les pieces de a Description scrotent placee plus iustementi si linois pris arde, de plus pres, aux Re

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pas a Volire Allelse. Consulton cncore, Monseigneu , a longue experience dece vieta Mondes, ne expericiace , qui embrasse tant de iecies, d tant de ais. Dcmandon tu de nouuelles plus parti culieres de ceu qui rotat ouuerne , nec pit de tuu de ces Gens, qui Ont regiae, sal, Cotironiae , an Droit, de sans Me

rite.

a Pagilite de lati corps laicaute de cur vis ages It se fontis aloi par desseruices honteu , dc doni e payementiae se petit demander ei public is semcticiat cla credit , par a cule recom-

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mandation dii Vice.

Leu dessein nestant que de seire de

proposition agreabies , iis ne regardent poliat s iis profitent , oti s iis uisent: Poui uel qu iis platsent, e leur est asse . Et our stabit cet stroit commerce, quil meditent, aueque te Prince , iis sinsinuent dans son sprit, par intelliget equiis aschen d auoi , aueque es passions. Mais 'estant ne is empare de sola esstprit , iis en salsissent Oute les auenues, d n y laissent a seulemen d entre a

n Confesseur Queique solbie ciendreque soli inclination qui a ait Mal , iis

bitude violentes opiniastre, dine legere disposition. Cesson des Petrones, de Tigellinsaupres de Neron son des Advocatsde a Volupte, qui plaidentia Cause, contre a Vertu reuisissent beaucoupinieu que ne fit a Volupte clie- messe

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nae , quand esse se presenta at ictine Hercule , c te harangu dans e Cari c-

Il est a cro able de combien de

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Eux disputent quelque temps de la Faueur,a a Cou d vi Prince de dix-huit ans Tantost elle a te essus, d tantost elle

Disant de a resistance, iis a conduissent, de degre en degre, a la Tyrannis, Mau Sacrileges. Au commencernent, iis se contentent de