Aristippe ou de la cour. Par monsieur de Balzac

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empescheseulement de se Direaatri Quela Probite soliderat perpetuelle est troppes ante 'ro dissicile mais que son Image, qui ne charge poliat, a te mes me clat que Origina , dc pro luit te mesime

effet. Que de temps en temps, via ache ver' tueux , qui ne coiiste gueres, ait bien a propos , petat entretent la reputation Dela iis on plus auant, ne te laistentias en si beau hemin res tu auoi fait passer te Bien , pota indisserent , iis luysent trouuer te a raison nable His don-nent at Vicet couleur de la Vertu.S 1 hi prend nute de se desseire lande se Parens , contre a descias expresse decla Religion est Estat, qui ne vetit pas

conseillent de te fatre strangler, aue lacorde d via arc afin qu i neri ci perdepas ne ovile, que a Religion siit satisfaitte S illa via Inceste en teste, doque cet Inceste soli conabat de quelque re- mors rils viennent incontinent a secours

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peines , par ne subtilite merueille es; urrepresentant , que veritablement i ny apoint de Lor, qui permette a Frere de covcher auecia ceu ue ais quil in viae Loy fondamentale de a Monarchie , chlaistresse de totites le Loix, qui permet auPrince de fatre ce O il luyilaist

Pour authoriser. les grandes auten, iisne anquent a de grand Exemples. at Ceis est pas en Turqui , tu dissent- iis, , dc cheg cs Barbares, ii ii aut chercheto des exemples Peuple de Die , lao Nation ainte, ous e fournira plus u ilo nen aut L Roy qui a basti te Temple, i, Leste auis le Fondateia dii Serrail, dc on, ne volt autourd huy, a Constantinople, quo

emmes Et te Sage par excelleiace , ci, Sage Salomon ei a e si cens , quei, Escritur Satiate nonam legitimes , ansa conter celles, qui ne restolent pas Mais Votis aue taen ii parte de a dernierea volonte de David sola Pere de belles

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a este appelle, par a bouch de Concites, .calien ait plus . an deliberer. Ne scaue, votis pas u lit motari sola propre iis, xau premicr oui con quoi tu en donna re I est ray qu i cui regre de a mori,

qui reconiati son innocenc : Mais cet-cete reconnoislance in via chi tard , coson regre ne dura que ingi quatre heures. ccI crut en est re quitie poti faire riger, ain Defunt, ne Statue , aue ceti Inscrip

Faites dissiculte, apres cela delous des- . .

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o,harge d, tardein, qui ou incomm de laoster de vostre hemin, n homine qui ou presse, dans e Mondes, qui votis marche, sur es talon via, Cousin au troisiesine, o in quatries me, degre qui a dessein de auter ousis ces degre , our se metire en vostre, place , us aue quesque consideration, pougle charactere la personiae des, Ecclesiastiques, qui ne eulent a uous, rendre ne Obeiis ance aueta gle Charies-

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noli itioint de melltcur, ni de plus grand

Aa iij

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n auoi poliat exemple de quelque chos , i en saloi faires que e qui estoit inoli , ne te seroi plus , quandri serotis ait inuit stoit honteu a Authorites utieratne , de rendre aison de quo quece soli aes eant a qui a des toties,

de Armees, poti mainteni se aections, de cherche des paroles, d des retexies, potir es deguiser.

innocent en outes e parties de a te,d qui en son ame ne halis esses Superieurs. Par consequent te Prince ne scauroit condanne que des Coupabies , ni rappe questi de Ennemis Par consequent, ii gratisie celii a qui it oste te bien, de ceriti ilne tu oste pas rhonneu , c d ce quillu laisse a vie. Selon leurs Principes la

Loyaute est ne vertu de Marchand , non pastae ouuerain. Iis alleguent de tene scay que Poete, que dans le telon meten me me balance les sermens de Princes, o de Amanis les Sieuae se

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rient galement des ris des utresci ue Iupiter command qu on es ette is vent , comme hoses viles , de nullo

consequen .

Alias en bouffonnant,ac en alleguant Ies abies, iis persuadent toti de bon auPrince quit 'estioin obligera a parole, apres tu auoi persuade quil est passiliet, non plus au fantaises, cita viasion de Legis aleurso lis solistiennent que c est a tu a defini de nouucati auxHomines, e qui est bon malitiai. adcclare autondes, ce' i ii vetat qui soli iuste iniuste a raueni ; a metire leprix aestimatio a chaque hose, austi bien dans a Morale, que dans a Police.' Oila comm se soni te Tyrans. De

cegerme,s eragendrent les Monstres. Deces commenccmens, On vient a metirc

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par se parricides Les Complaifans sonties premieres causes de tant de matheurs; si ces Vent ne fouissolent potia , notisne verrionstoint de ces tempestes Ceis est donc pas an sitiet, que ous en partonsgue quelque emotion , sic questant enlbon stat de e coste la , par a bon- ne conduite de ostre Alten , Humanite notas conui a compati aux eine des stat malades , di des euples DBigeZ. Mais ne nous contenton pas decies

tion.

Puis que, dans te Monde, ilis est poliatde bie de si grand sage dc qui se communique si uniuersellement, qu via bon

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Venin Contre ces mali domestique , ilia est a permis de se serui de remedes cstrangers. Notis somnae oblige de de- metire miserabies , par es Lot de nosse tre Religion obet auxFurieux,&aux Enrage , non seulement par a cratnte, ais ausis par a conscience. ciliourquoy puis que les personnes de Princes, quel quil solent , notis doluent stre inuiolabies , de satiates queles characi ercs u dolgi de Dicti fontune impression , qu il aut reuerer, surquetque mattere uelle sol graticea Our- non nostr haliae contre leur Flatetici, qui nous ellent, dans es miseres fans

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cens a uer , dccles Meuririer a russerie Temples Car en esset eur auis pernicieu encherissent ousiours, fur e re solutions qui on est prises Leurs Maesi me de seu de de an asseurenti for tisient a Malice , quan elle est encore cratiatiue, out se Iis arguissent e qui couppes It precipitentis qui panche Iis encouragent te Violans , quan iis courent acia prore clis eschauffent les Atia res, pres nostre bien, Me Impudiques,

susceptibies de es fortes passions

la Vertu; 'illeu tombe, entre es manas, de ces Prince doux , qui imontis potiate, ni ai uillon , dc qui ne si aurolent se porter a mal , parce quil ne scauroientremue , dei places, leur inclination paressetase Alor encor pis,lour e Peu-